Pourrez-vous encore supporter la vision d'une croix?
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Pourrez-vous encore supporter la vision d'une croix?
Pourrez-vous encore supporter la vision d’une
croix ?
Le vrai visage de la crucifixion
La Passion telle qu’elle est présentée dans les images
pieuses, les tableaux d’artistes ou dans les films, est bien
loin de la réalité bien plus prosaïque.
Le supplicié était fouetté à l’aide du
Flagrum talis tessellatum, c’est un fouet
auquel on attachait des osselets de
mouton (tali) ; il était fixé à un manche
court, il avait la propriété de lacérer les
chairs. On utilisait également la plumbata
faite de cordes garnies à leurs extrémités
de balles de plomb qui martelait les
chairs. La couronne est en fait une tiare faite
grossièrement de ronces de câprier qui
poussent naturellement dans les interstices
des murs et dans les pierres dans
l’environnent immédiat des soldats. Les épines de câprier sont
recourbées et acérées et s’incrustent douloureusement dans la
chair.
C’est un spectre rebutant
tuméfié, défiguré, la barbe
arrachée, méconnaissable,
qui s’achemine péniblement
au supplice ainsi que l’avait
prophétisé Esaïe 700 ans au
paravent : « J'ai livré mon
dos à ceux qui me frappaient,
et mes joues à ceux qui
m'arrachaient la barbe; je n'ai pas dérobé mon visage Aux ignominies
et aux crachats. » (Esaïe 50 :6).
Le condamné porte la poutre
transversale jusqu’au lieu du
supplice.
Dans le cas de Jésus, on peut
s’imaginer un homme
ensanglanté, défiguré et
tuméfié par les coups, titubant,
vacillant sous le poids de cette
poutre qui constituera la partie
transversale de la croix, se
dirigeant péniblement vers le
lieu d’exécution. La crucifixion a lieu hors de la ville écrit Plaute dans
Miles gloriosus. Selon le chapitre 24 du Lévitique, les condamnés sont
lapidés à mort à l'extérieur du camp, en conséquence à l'extérieur de la
ville. Un archer marchait devant le condamné, il criait le jugement et sa
raison, donnant le nom des témoins, ajoutant que si quelqu'un peut
démontrer l'innocence du condamné, qu'il s'approche.
A huit pas du lieu d'exécution, le coupable était sollicité pour admettre
son crime, puis ses vêtements lui étaient retirés, mais pour chaque
condamné, on donnait une boisson faite de vin mêlé d'encens afin de
l'étourdir (le seigneur Jésus l’a refusé).
Sur le sol, le condamné est cloué à la base des poignets sur la poutre
transversale appelée patibulum, puis hissé sur le poteau appelé stirpen
qui pouvait être un simple arbre, voir un arbre tronqué ou mort sur
lequel était fixée la poutre transversale à laquelle était suspendu le
condamné à une élévation à peine plus haute qu’une hauteur d’homme
(environ deux mètres du sol). L’emboîtement des deux parties de la
croix s’opère selon le principe du tenon et de la mortaise. Le poteau qui
était donc fixe, servait à maintes reprises pour les supplices. Les pieds
du condamné sont cloués l’un sur l’autre d’un seul clou, ou
séparément, les jambes partiellement repliées de telle sorte que le
supplicié est presque dans une position assise. Il est complètement nu.
Sur les plaies viennent quantité de mouches, Les sphincters
(muscles abdominaux) se relâchent, l'urine et les excréments
coulent le long de ses jambes, « Mais moi, je suis un ver et non pas
un homme, l'opprobre des hommes et le rebut du peuple. » (Psaume 22
:7). Pour pouvoir respirer, il doit se hisser sur les pieds, mais la
douleur insupportable fait qu’il retombe, tout le poids de son corps
lui tirant sur les bras et les poignets. Le condamné glisse ainsi sur la
poutre de haut en bas au besoin de sa respiration jusqu’à épuisement
total, jusqu’à l’asphyxie ; une cale de bois appelée sedecula, peut être
placée à la base des fesses. Pour les plus robustes l’agonie peut durer
plus d’une journée. Comble de l’ignominie, cette contraction
musculaire peut provoquer des érections.
Le mobile de l’exécution est affiché sur un panonceau fixé au sommet
du stirpen. Voilà l’image du crucifié !
Le sacrifice de la croix est abject,
répugnant ! Une véritable compréhension
de la crucifixion fera que vous ne pourrez
plus supporter la vision d’une croix
romantique. Le seul intérêt c’est le Crucifié
Lui-Même, et non-pas la croix !
croix ?
Le vrai visage de la crucifixion
La Passion telle qu’elle est présentée dans les images
pieuses, les tableaux d’artistes ou dans les films, est bien
loin de la réalité bien plus prosaïque.
Le supplicié était fouetté à l’aide du
Flagrum talis tessellatum, c’est un fouet
auquel on attachait des osselets de
mouton (tali) ; il était fixé à un manche
court, il avait la propriété de lacérer les
chairs. On utilisait également la plumbata
faite de cordes garnies à leurs extrémités
de balles de plomb qui martelait les
chairs. La couronne est en fait une tiare faite
grossièrement de ronces de câprier qui
poussent naturellement dans les interstices
des murs et dans les pierres dans
l’environnent immédiat des soldats. Les épines de câprier sont
recourbées et acérées et s’incrustent douloureusement dans la
chair.
C’est un spectre rebutant
tuméfié, défiguré, la barbe
arrachée, méconnaissable,
qui s’achemine péniblement
au supplice ainsi que l’avait
prophétisé Esaïe 700 ans au
paravent : « J'ai livré mon
dos à ceux qui me frappaient,
et mes joues à ceux qui
m'arrachaient la barbe; je n'ai pas dérobé mon visage Aux ignominies
et aux crachats. » (Esaïe 50 :6).
Le condamné porte la poutre
transversale jusqu’au lieu du
supplice.
Dans le cas de Jésus, on peut
s’imaginer un homme
ensanglanté, défiguré et
tuméfié par les coups, titubant,
vacillant sous le poids de cette
poutre qui constituera la partie
transversale de la croix, se
dirigeant péniblement vers le
lieu d’exécution. La crucifixion a lieu hors de la ville écrit Plaute dans
Miles gloriosus. Selon le chapitre 24 du Lévitique, les condamnés sont
lapidés à mort à l'extérieur du camp, en conséquence à l'extérieur de la
ville. Un archer marchait devant le condamné, il criait le jugement et sa
raison, donnant le nom des témoins, ajoutant que si quelqu'un peut
démontrer l'innocence du condamné, qu'il s'approche.
A huit pas du lieu d'exécution, le coupable était sollicité pour admettre
son crime, puis ses vêtements lui étaient retirés, mais pour chaque
condamné, on donnait une boisson faite de vin mêlé d'encens afin de
l'étourdir (le seigneur Jésus l’a refusé).
Sur le sol, le condamné est cloué à la base des poignets sur la poutre
transversale appelée patibulum, puis hissé sur le poteau appelé stirpen
qui pouvait être un simple arbre, voir un arbre tronqué ou mort sur
lequel était fixée la poutre transversale à laquelle était suspendu le
condamné à une élévation à peine plus haute qu’une hauteur d’homme
(environ deux mètres du sol). L’emboîtement des deux parties de la
croix s’opère selon le principe du tenon et de la mortaise. Le poteau qui
était donc fixe, servait à maintes reprises pour les supplices. Les pieds
du condamné sont cloués l’un sur l’autre d’un seul clou, ou
séparément, les jambes partiellement repliées de telle sorte que le
supplicié est presque dans une position assise. Il est complètement nu.
Sur les plaies viennent quantité de mouches, Les sphincters
(muscles abdominaux) se relâchent, l'urine et les excréments
coulent le long de ses jambes, « Mais moi, je suis un ver et non pas
un homme, l'opprobre des hommes et le rebut du peuple. » (Psaume 22
:7). Pour pouvoir respirer, il doit se hisser sur les pieds, mais la
douleur insupportable fait qu’il retombe, tout le poids de son corps
lui tirant sur les bras et les poignets. Le condamné glisse ainsi sur la
poutre de haut en bas au besoin de sa respiration jusqu’à épuisement
total, jusqu’à l’asphyxie ; une cale de bois appelée sedecula, peut être
placée à la base des fesses. Pour les plus robustes l’agonie peut durer
plus d’une journée. Comble de l’ignominie, cette contraction
musculaire peut provoquer des érections.
Le mobile de l’exécution est affiché sur un panonceau fixé au sommet
du stirpen. Voilà l’image du crucifié !
Le sacrifice de la croix est abject,
répugnant ! Une véritable compréhension
de la crucifixion fera que vous ne pourrez
plus supporter la vision d’une croix
romantique. Le seul intérêt c’est le Crucifié
Lui-Même, et non-pas la croix !
Timoléon- Messages : 5
Date d'inscription : 27/11/2014
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