Yéshoua (Jésus) cet inconnu du monde chrétien et des autres
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Forum Juif et Israelite Nazareen - Suiveurs de YHWH - Torah et Yeshoua :: Foi Nazaréenne Juive et Israélite :: Les doctrines des hommes VS La Doctrine d'Elohim
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Re: Yéshoua (Jésus) cet inconnu du monde chrétien et des autres
Bonjour à tous !
Pour compléter mon message du 18.02.2017 concernant la manière dont les juifs titraient les différents livres de la bible. Dans ce message j'ai voulu démontrer que le titre que l'on trouve habituellement par exemple pour le premier livre de la bible est faux, n'existais pas à l'origine.
C'est par souci de maniabilité que le livre de la Torah a été divisé en cinq livres d'où le nom de Pentateuque. Dans ces livres ce sont les grecs qui ont donné des titres comme Genèse, Exode, Lévitique, Nombres et Deutéronome mais les juifs désignaient et désignent toujours je crois (si quelqu'un peut me confirmer sur ce point) chaque livre par le premier mot important de son texte jusqu'à ce jour. C'est ainsi que nous avons :
--Beréshit qui signifie "Au commencement"
--Shemôt qui signifie "Voici les noms"
--Wayyiqra qui signifie "Yahvé" appela"
--Bemidbar qui signifie "Yahvé parla à Moïse dans le désert"
--Debarîm qui signifie "Voici les paroles"
Dans nos bibles ce sont par ces mots que commencent les textes des cinq premiers livres de la bible par exemple. Ces premiers mots donnés en raccourcis servaient d'appellations orales et non écrites des livres puisqu'ils figuraient déjà dans le texte. Ils n'étaient pas écrits en doublon et ce sont bien ces appellations ou premiers mots qui sont développés par la suite dans le texte. Ainsi "Voici les noms" donné en raccourci emportait avec le sens de : "Voici les noms des fils d'Israël qui entrèrent en Égypte avec Jacob". Le mot "Voici" indique bien que cela va être détaillé, c'est une annonce comme pour Beréshit, Shemôt, Wayyiqra, Bemidbar, Debarîm.
Je ne trouve pas les mots pour mieux dire afin de vous faire voir ce qui est réellement écrit.
Amicalement.
Le Presbytre.
Pour compléter mon message du 18.02.2017 concernant la manière dont les juifs titraient les différents livres de la bible. Dans ce message j'ai voulu démontrer que le titre que l'on trouve habituellement par exemple pour le premier livre de la bible est faux, n'existais pas à l'origine.
C'est par souci de maniabilité que le livre de la Torah a été divisé en cinq livres d'où le nom de Pentateuque. Dans ces livres ce sont les grecs qui ont donné des titres comme Genèse, Exode, Lévitique, Nombres et Deutéronome mais les juifs désignaient et désignent toujours je crois (si quelqu'un peut me confirmer sur ce point) chaque livre par le premier mot important de son texte jusqu'à ce jour. C'est ainsi que nous avons :
--Beréshit qui signifie "Au commencement"
--Shemôt qui signifie "Voici les noms"
--Wayyiqra qui signifie "Yahvé" appela"
--Bemidbar qui signifie "Yahvé parla à Moïse dans le désert"
--Debarîm qui signifie "Voici les paroles"
Dans nos bibles ce sont par ces mots que commencent les textes des cinq premiers livres de la bible par exemple. Ces premiers mots donnés en raccourcis servaient d'appellations orales et non écrites des livres puisqu'ils figuraient déjà dans le texte. Ils n'étaient pas écrits en doublon et ce sont bien ces appellations ou premiers mots qui sont développés par la suite dans le texte. Ainsi "Voici les noms" donné en raccourci emportait avec le sens de : "Voici les noms des fils d'Israël qui entrèrent en Égypte avec Jacob". Le mot "Voici" indique bien que cela va être détaillé, c'est une annonce comme pour Beréshit, Shemôt, Wayyiqra, Bemidbar, Debarîm.
Je ne trouve pas les mots pour mieux dire afin de vous faire voir ce qui est réellement écrit.
Amicalement.
Le Presbytre.
Le Presbytre- Messages : 54
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Re: Yéshoua (Jésus) cet inconnu du monde chrétien et des autres
Bonjour à tous!
Avons-nous eu connaissance d’une vérité exacte ?
À la question posée ci-dessus nous répondrons par la négative, non ! L’homme n’a pas été capable de vraiment comprendre la parole de Dieu et vu l’histoire de la chrétienté il est peu probable qu’il ait fait des progrès depuis. C’est ce que nous disent certains passages bibliques. Par exemple Dieu lui-même ordonne au prophète Daniel qui voulait comprendre ce que Dieu lui disait : "Ecrit, certains au temps de la fin comprendront et la connaissance ira en augmentant". Dans le livre de la Révélation chapitre 1 verset 3 il est écrit en complément de ce que Dieu ordonne à Daniel au chapitre 12 verset 10 de son livre : "Bienheureux celui qui lit et ceux qui entendent les paroles de la prophétie et qui gardent les choses qui y sont écrites, car le temps est proche !" Il est bien évident qu’il ne peut être question ici que de garder les choses vraies qui sont écrites. Cela signifie qu’au temps proche de la fin si nous écoutons bien-sûr nous comprendrons la vérité ce qui signifie également qu’avant ce temps nous sommes dans une certaine ignorance. Nombre de versets signalent également notre état d’ignorance, citons Paul lorsqu’il s’adresse aux Hébreux dans sa lettre chapitre 5 et aux versets 5 à10 : « … au sujet duquel nous avons beaucoup de choses à dire et qui sont difficiles à expliquer, puisque vous êtes devenus paresseux à écouter. Car lorsque vous devriez être des docteurs, vu le temps, vous avez de nouveau besoin qu’on vous enseigne quels sont les premiers rudiments des oracles de Dieu, et vous êtes devenus tels, que vous avez besoin de lait et non de nourriture solide ; car quiconque use de lait est inexpérimenté dans la parole de la justice, car il est un petit enfant; mais la nourriture solide est pour les hommes faits, qui, par le fait de l’habitude, ont les sens exercés à discerner le bien et le mal. ».
Nous serons certainement étonnés de tout ce que nous apprendrons à l’instar de l’apôtre Jean ou de ce qu’il représente au temps de la fin lorsqu’après le déversement des sept bols de la colère de Dieu par les sept anges l’un de ceux-ci l’invite à découvrir qui est Babylone la Grande.
Généralement les chrétiens s'accordent pour dire que nous approchons des temps de la fin. C'est donc aussi la période où certains comprendront et verront leur connaissance grandir dans la vérité. C'est le seul grand signe qui montrera l'approche du grand dénuement annoncé. Seuls les avertis comprendront comme au temps de Noé, les autres boiront, mangeront, continueront à faire la fête....
Amicalement.
Le Presbytre.
Avons-nous eu connaissance d’une vérité exacte ?
À la question posée ci-dessus nous répondrons par la négative, non ! L’homme n’a pas été capable de vraiment comprendre la parole de Dieu et vu l’histoire de la chrétienté il est peu probable qu’il ait fait des progrès depuis. C’est ce que nous disent certains passages bibliques. Par exemple Dieu lui-même ordonne au prophète Daniel qui voulait comprendre ce que Dieu lui disait : "Ecrit, certains au temps de la fin comprendront et la connaissance ira en augmentant". Dans le livre de la Révélation chapitre 1 verset 3 il est écrit en complément de ce que Dieu ordonne à Daniel au chapitre 12 verset 10 de son livre : "Bienheureux celui qui lit et ceux qui entendent les paroles de la prophétie et qui gardent les choses qui y sont écrites, car le temps est proche !" Il est bien évident qu’il ne peut être question ici que de garder les choses vraies qui sont écrites. Cela signifie qu’au temps proche de la fin si nous écoutons bien-sûr nous comprendrons la vérité ce qui signifie également qu’avant ce temps nous sommes dans une certaine ignorance. Nombre de versets signalent également notre état d’ignorance, citons Paul lorsqu’il s’adresse aux Hébreux dans sa lettre chapitre 5 et aux versets 5 à10 : « … au sujet duquel nous avons beaucoup de choses à dire et qui sont difficiles à expliquer, puisque vous êtes devenus paresseux à écouter. Car lorsque vous devriez être des docteurs, vu le temps, vous avez de nouveau besoin qu’on vous enseigne quels sont les premiers rudiments des oracles de Dieu, et vous êtes devenus tels, que vous avez besoin de lait et non de nourriture solide ; car quiconque use de lait est inexpérimenté dans la parole de la justice, car il est un petit enfant; mais la nourriture solide est pour les hommes faits, qui, par le fait de l’habitude, ont les sens exercés à discerner le bien et le mal. ».
Nous serons certainement étonnés de tout ce que nous apprendrons à l’instar de l’apôtre Jean ou de ce qu’il représente au temps de la fin lorsqu’après le déversement des sept bols de la colère de Dieu par les sept anges l’un de ceux-ci l’invite à découvrir qui est Babylone la Grande.
Généralement les chrétiens s'accordent pour dire que nous approchons des temps de la fin. C'est donc aussi la période où certains comprendront et verront leur connaissance grandir dans la vérité. C'est le seul grand signe qui montrera l'approche du grand dénuement annoncé. Seuls les avertis comprendront comme au temps de Noé, les autres boiront, mangeront, continueront à faire la fête....
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Re: Yéshoua (Jésus) cet inconnu du monde chrétien et des autres
Bonjour à tous!
Les hommes ont-ils eu connaissance d’une vérité exacte et complète ?
À la question posée ci-dessus nous répondrons par la négative, non ! Nous avons à ce sujet de nombreux passages qui le démontrent que ce soit parce que l’homme n’a pas été vraiment capable de comprendre les paroles de Dieu ou parce que celles-ci étaient scellées ou sont écrites en allégories. Par exemple :
# Dieu ordonne au prophète Daniel qui voulait comprendre ce que Dieu lui disait d’écrire de ne pas chercher à comprendre ce qui n’était pas pour lui mais pour certains qui allaient au temps de la fin comprendre et faire grandir la connaissance. Daniel 12 : 9 et 10 : «Et il dit : Va, Daniel ; car ces paroles sont cachées et scellées jusqu’au temps de la fin. Plusieurs seront purifiés et blanchis et affinés ; et les méchants agiront méchamment, et aucun des méchants ne comprendra ; mais les sages comprendront.»
# Faute d’avoir compris pleinement les écritures, le peuple juifs n’a pas reconnu Jean le Baptiste, ni Yèshoua.
# Nicodème grand enseignant d’Israël lorsqu’il rencontre Yèshoua fait montre d’une certaine ignorance, une ignorance qui sera attribuée à la plupart des enseignants en d’autres circonstances.
# Nombre de versets laissent entendre l’état d’ignorance des tous premiers chrétiens au temps des apôtres, citons Paul lorsqu’il s’adresse aux Hébreux dans sa lettre chapitre 5 et aux versets 5 à10 « … au sujet duquel nous avons beaucoup de choses à dire et qui sont difficiles à expliquer, puisque vous êtes devenus paresseux à écouter. Car lorsque vous devriez être des docteurs, vu le temps, vous avez de nouveau besoin qu’on vous enseigne quels sont les premiers rudiments des oracles de Dieu, et vous êtes devenus tels, que vous avez besoin de lait et non de nourriture solide ; car quiconque use de lait est inexpérimenté dans la parole de la justice, car il est un petit enfant; mais la nourriture solide est pour les hommes faits, qui, par le fait de l’habitude, ont les sens exercés à discerner le bien et le mal. » C’est on ne peut plus clair et vue l’histoire de la chrétienté il est peu probable qu’elle ait fait des progrès depuis ce temps, c’est même une réalité flagrante.
# Dans le livre de la Révélation chapitre 1 verset 3 Jean écrit en complément de ce que Dieu ordonne à Daniel au chapitre 12 verset 10 de son livre que nous venons de voir, il cite de : «…bienheureux celui qui lit et ceux qui entendent les paroles de la prophétie et qui gardent les choses qui y sont écrites, car le temps est proche ! » S’il est demandé de garder les choses écrites c’est qu’elles sont comprises et le fait qu’elles sont lues à haute voix montre leur aptitude à être des déclarations officielles. Cela signifie qu’au temps proche de la fin nous comprendrons la vérité ce qui signifie également qu’avant ce temps nous sommes dans une certaine ignorance.
# Si Dieu nous ordonne de sortir de Babylone la Grande, cette mondialisation de fausse religions qui nous imprègne tous, c’est peu dire.
Nous serons étonnés de tout ce que nous apprendrons à l’instar de l’apôtre Jean ou de ce qu’il représente au temps de la fin lorsqu’après le déversement des sept bols de la colère de Dieu par les sept anges l’un de ceux-ci l’invite à découvrir qui est Babylone la Grande. Il en est étonné d’un grand étonnement de ce qu’il découvre et s’il est tout étonné c’est parce qu’il ne savait pas ou pensait à autre chose d’elle n’est-ce pas ? En effet pour sortir de Babylone la Grande il nous faut renoncer aux faux enseignements qui obscurcissent notre intelligence spirituelle et nous empêche de découvrir la vérité. Appliquer les bonnes démarches pour aller à la suite de Yèshoua ou sortir de cette Babylone la Grande ont la même signification puisque se renier consiste à se couper de tout ce qu'on nous a appris depuis la plus tendre enfance.
De ce qui vient d’être dit, il ressort que nous sommes tous des prisonniers de Babylone la Grande et ce qui fait que nous sommes ses prisonniers est que c’est nous-mêmes qui pour différentes raisons retenons le mensonge qui nous habite en ne luttant pas contre lui comme il le faudrait. Il nous faut apprendre. Cela fait de nous des acteurs et des membres de Babylone la Grande.
Généralement les chrétiens s'accordent pour dire que nous approchons des temps de la fin et peut-être y sommes-nous. C'est la période où certains selon des paroles dites au prophète Daniel doivent comprendre ce qui est caché et où la connaissance doit aller grandissante. C'est ce grand signe qui montrera l'approche du grand dénuement annoncé. Seuls les avertis comprendront comme au temps de Noé, les autres boiront, mangeront, continueront à bien vivre, à faire la fête....
Amicalement.
Le Presbytre.
Les hommes ont-ils eu connaissance d’une vérité exacte et complète ?
À la question posée ci-dessus nous répondrons par la négative, non ! Nous avons à ce sujet de nombreux passages qui le démontrent que ce soit parce que l’homme n’a pas été vraiment capable de comprendre les paroles de Dieu ou parce que celles-ci étaient scellées ou sont écrites en allégories. Par exemple :
# Dieu ordonne au prophète Daniel qui voulait comprendre ce que Dieu lui disait d’écrire de ne pas chercher à comprendre ce qui n’était pas pour lui mais pour certains qui allaient au temps de la fin comprendre et faire grandir la connaissance. Daniel 12 : 9 et 10 : «Et il dit : Va, Daniel ; car ces paroles sont cachées et scellées jusqu’au temps de la fin. Plusieurs seront purifiés et blanchis et affinés ; et les méchants agiront méchamment, et aucun des méchants ne comprendra ; mais les sages comprendront.»
# Faute d’avoir compris pleinement les écritures, le peuple juifs n’a pas reconnu Jean le Baptiste, ni Yèshoua.
# Nicodème grand enseignant d’Israël lorsqu’il rencontre Yèshoua fait montre d’une certaine ignorance, une ignorance qui sera attribuée à la plupart des enseignants en d’autres circonstances.
# Nombre de versets laissent entendre l’état d’ignorance des tous premiers chrétiens au temps des apôtres, citons Paul lorsqu’il s’adresse aux Hébreux dans sa lettre chapitre 5 et aux versets 5 à10 « … au sujet duquel nous avons beaucoup de choses à dire et qui sont difficiles à expliquer, puisque vous êtes devenus paresseux à écouter. Car lorsque vous devriez être des docteurs, vu le temps, vous avez de nouveau besoin qu’on vous enseigne quels sont les premiers rudiments des oracles de Dieu, et vous êtes devenus tels, que vous avez besoin de lait et non de nourriture solide ; car quiconque use de lait est inexpérimenté dans la parole de la justice, car il est un petit enfant; mais la nourriture solide est pour les hommes faits, qui, par le fait de l’habitude, ont les sens exercés à discerner le bien et le mal. » C’est on ne peut plus clair et vue l’histoire de la chrétienté il est peu probable qu’elle ait fait des progrès depuis ce temps, c’est même une réalité flagrante.
# Dans le livre de la Révélation chapitre 1 verset 3 Jean écrit en complément de ce que Dieu ordonne à Daniel au chapitre 12 verset 10 de son livre que nous venons de voir, il cite de : «…bienheureux celui qui lit et ceux qui entendent les paroles de la prophétie et qui gardent les choses qui y sont écrites, car le temps est proche ! » S’il est demandé de garder les choses écrites c’est qu’elles sont comprises et le fait qu’elles sont lues à haute voix montre leur aptitude à être des déclarations officielles. Cela signifie qu’au temps proche de la fin nous comprendrons la vérité ce qui signifie également qu’avant ce temps nous sommes dans une certaine ignorance.
# Si Dieu nous ordonne de sortir de Babylone la Grande, cette mondialisation de fausse religions qui nous imprègne tous, c’est peu dire.
Nous serons étonnés de tout ce que nous apprendrons à l’instar de l’apôtre Jean ou de ce qu’il représente au temps de la fin lorsqu’après le déversement des sept bols de la colère de Dieu par les sept anges l’un de ceux-ci l’invite à découvrir qui est Babylone la Grande. Il en est étonné d’un grand étonnement de ce qu’il découvre et s’il est tout étonné c’est parce qu’il ne savait pas ou pensait à autre chose d’elle n’est-ce pas ? En effet pour sortir de Babylone la Grande il nous faut renoncer aux faux enseignements qui obscurcissent notre intelligence spirituelle et nous empêche de découvrir la vérité. Appliquer les bonnes démarches pour aller à la suite de Yèshoua ou sortir de cette Babylone la Grande ont la même signification puisque se renier consiste à se couper de tout ce qu'on nous a appris depuis la plus tendre enfance.
De ce qui vient d’être dit, il ressort que nous sommes tous des prisonniers de Babylone la Grande et ce qui fait que nous sommes ses prisonniers est que c’est nous-mêmes qui pour différentes raisons retenons le mensonge qui nous habite en ne luttant pas contre lui comme il le faudrait. Il nous faut apprendre. Cela fait de nous des acteurs et des membres de Babylone la Grande.
Généralement les chrétiens s'accordent pour dire que nous approchons des temps de la fin et peut-être y sommes-nous. C'est la période où certains selon des paroles dites au prophète Daniel doivent comprendre ce qui est caché et où la connaissance doit aller grandissante. C'est ce grand signe qui montrera l'approche du grand dénuement annoncé. Seuls les avertis comprendront comme au temps de Noé, les autres boiront, mangeront, continueront à bien vivre, à faire la fête....
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Re: Yéshoua (Jésus) cet inconnu du monde chrétien et des autres
La création de l’homme.
Dans Genèse chapitre1 les jours de la création se terminent à la fin du sixième jour et au septième jour lu au chapitre 2 Dieu se repose de toute son œuvre qu’il a faite, de ce qu’il a créé le ciel, la terre, la mer et tout ce qui les habite dont la création de l’homme et de la femme à la fin de toute chose. Cela a été jugé très bon.
Dans ce chapitre 2 à partir de ces versets 4 à 9 est repris toute l’histoire de la création, celle des six jours et résument en un jour toutes les étapes décrites au chapitre 1. Pour ce qui est du mot générations, certains le traduisent par histoire, généalogie de la création etc..., ce que nous traduirons ici dans notre langage comme étant les différentes étapes de la création. Voici ce passage : « Ce sont ici les générations des cieux et de la terre lorsqu’ils furent créés, au jour que l’Éternel Dieu fit la terre et les cieux, et tout arbuste des champs avant qu’il fût sur la terre, et toute herbe des champs avant qu’elle crût ; car l’Éternel Dieu n’avait pas fait pleuvoir sur la terre, et il n’y avait pas d’homme pour travailler le sol ; mais une vapeur montait de la terre et arrosait toute la surface du sol. Et l’Éternel Dieu forma l’homme, poussière du sol, et souffla dans ses narines une respiration de vie, et l’homme devint une âme vivante ».
Le monde scientifique pour expliquer la présence de l’eau sur terre utilise plusieurs théories et celle qui se rapproche le plus de la bible est celle-ci selon Wiképédia : "Certains penchent pour la théorie du dégazage : c'est-à-dire qu’il pensent qu’après la formation de notre planète, il y a 4,5 milliards d’années, le dégazage des magmas volcaniques contenant de l’eau liée aux silicates des minéraux déshydratés et des gaz emprisonnés dont l’hydrogène et l’oxygène a fourni l’eau sous forme gazeuse." Ceci ressemble à s’y méprendre à un copier-coller de la bible sur Wiképédia lorsqu’elle nous parle de vapeur, de brume !
Lorsque différentes traductions de la bible disent qu’une brume, ou qu’une vapeur, ou qu’une exhalation, ou encore qu’un flot d’eau montait de terre selon les traductions, il y a là une harmonie entre les faits ou ce qui semblerait être des faits et le texte de la bible. En tout cas nous ne sommes pas en contradiction avec le possible. Il ne s’agit pas là du simple arrosage d’un jardinier mais de cette eau qui allait recouvrir par la suite toute la surface de la terre et au-dessus de laquelle planait l’esprit de Dieu comme décrit au verset 2 du chapitre1et former les océans après la séparation des eaux d’en haut et des eaux d’en bas puis après délimitation des parties sèches et humides.
Puisque le texte commence par dire : « Ce sont ici les générations des cieux et de la terre » il s’apprête à nous dévoiler l’instant où commence la création de Dieu à un moment où de l’eau sortant de terre la recouvrait complètement. C’est ce que signifie : "mais une vapeur montait de la terre et arrosait toute la surface du sol."
Ce qui est remarquable au début de la bible c’est que celle-ci au chapitre 1 situe sans équivoque la création de l’homme tout à la fin, après la création des végétaux et des animaux alors qu’à l’inverse au chapitre 2 elle situe la création de l’homme au tout début, comme étant la toute première œuvre de Dieu. À défaut d’une explication solide, nous sommes en présence d’une parfaite contradiction, assurons-nous, il est bien dit qu’il il n’y avait pas de végétation, donc pas de vie animale, qu’il ne pleuvait pas, donc pas les causes pour produire la pluie et aucune créature pour cultiver le sol de sorte que cette contradiction semble confirmée par rapport à ces récits.
Or, d’après ce que nous admettons tous il ne peut en aucun cas y avoir dans la parole de Dieu des contradictions, des manques d’harmonie ou des erreurs sous quelque forme que ce soit. Il faut être exemplaire sur ce point et ici il semble bien que ce soit absolument nécessaire. Selon les principes que nous avons admis, que la bible ne peut se tromper, il doit y avoir obligatoirement une explication, même cachée, et elle doit être, si elle existe, parfaitement logique et harmonieuse. En réalité le problème qui se pose n’est pas deux versions différentes et opposées mais deux versions qui doivent se compléter comme deux dessins sur des calques peuvent se superposer pour ne former qu’une seule image nouvelle et complète.
Puisque les deux récits concernant la création de l’homme sont exacts, l’un avant la création de toute chose et l’autre après la création de toute chose, alors, ces deux témoignages ne peuvent former qu’un seul et même récit, celui de la création d’Adam. Comment cela est-ce possible car il faut tenir compte qu’entre ces deux moments extrêmes il y a un temps très long d’environ 42000 ans ou disons pour simplifier des périodes très longues.
Pour qu’il y est harmonie une seule solution s’offre à nous ; la création de l’homme aurait commencé selon le récit du chapitre 2 au moment où une vapeur d’eau sortait de terre pour recouvrir toute la surface de la terre et se serait poursuivie par un moyen évolutif contrôlé par Dieu jusqu’à la fin du sixième jour selon le récit du chapitre 1 où il est dit que Dieu créa l’homme et la femme tout à la fin. Il y aurait donc eu une évolution à partir de la poussière qui aurait mené à une espèce "d’hommes-animal" et que Dieu en aurait choisi un parmi plusieurs puis soufflé dans ses narines afin qu’il devienne une âme vivante à son image.
Si Dieu au commencement de toute chose, selon le chapitre 2 prend de la poussière pour créer l’homme, il y a tout lieu de penser qu’à la fin du sixième jour, selon le chapitre 1, qu’il ait pris cette même poussière pour créer l’homme, mais de quelle poussière s’agit-il ? Comprenons-nous bien, lorsque Dieu parle à l’homme il lui dit qu’il est poussière et qu’il retournera à la poussière. Lorsqu’aussi Dieu parle à l’homme de l’animal il lui dit également que celui-ci est poussière comme lui et qu’il retournera à la poussière tout en ajoutant que le sort de l’homme et de l’animal est le même et qu’il n’y a pas de supériorité de l’homme sur l’animal. Ecclésiaste 3 : 19 et 20 : «Car ce qui arrive aux fils des hommes est aussi ce qui arrive aux bêtes ; il y a pour tous un même sort : comme celle-ci meurt, ainsi meurt celui-là ; et ils ont tous un même souffle, et l’homme n’a point d’avantage sur la bête, car tout est vanité. Tout va dans un même lieu, tout est de poussière, et tout retourne à la poussière.» Nous pouvons alors dire que de la poussière ou d’un homme-animal choisi et donc issu de cette poussière, qui est donc poussière, que Dieu a créé par son souffle une âme vivante, un homme qui allait devenir à son image. Signalons que le souffle comme le vent est l’image d’une chose qui ne se voit pas mais qui a de la puissance. Compris de cette manière tout est harmonie.
Nous vous proposons ci-dessous un jeu de réflexion, une expérience à faire : Puisque je ne sais pas reproduire ici le dessin que j'ai fais dans le livre que je m'efforce actuellement d'écrire, je vous demanderais de prendre une feuille de papier et de dessiner un rectangle avec un trait verticale au milieu ensuite vous pouvez suivre les explications du jeu. Faites-le, ce sera pour vous un grand moment de réflexion.
Dieu crée l’homme tout au début de la création, avant toute chose selon Genèse 2 :7.
Dieu crée l’homme tout à la fin de la création, après toute chose selon Genèse 1 :27.
Explication de ce jeu : Au départ la surface seule à l’intérieur du rectangle représente la parfaite harmonie de la parole de Dieu. Ensuite nous écrivons ce que dit la Bible ; sur la partie gauche que Dieu a créé l’homme tout au début de la création et sur la partie droite que Dieu a créé l’homme tout à la fin de la création. Il y a là manifestement une contradiction flagrante que nous symbolisons par un trait vertical. Le but du jeu ou de cette réflexion est de pouvoir supprimer ce trait vertical en apportant une solution solide et logique à ce problème sans sortir du rectangle que l’on peut considérer comme un enclos avec l’interdiction d’en sortir pour chercher ailleurs des jeux de mots ou autres astuces. La solution doit se trouver à l’intérieur de cet enclos. La seule possibilité trouvée à ce jour serait que Dieu a créé toute chose progressivement, par une évolution contrôlée par lui-même. Sans sortir de cet enclos auriez-vous trouvé une autre réponse ! Il serait intéressant de la faire connaître.
Il sera très instructif et très utile de lire en parallèle le livre des Proverbes au chapitre 8 et les versets 22 è 31 : «L’Éternel m’a possédée (créée) au commencement de sa voie, avant ses œuvres d’ancienneté. Dès l’éternité je fus établie, dès le commencement, dès avant les origines de la terre. Quand il n’y avait pas d’abîmes, j’ai été enfantée, quand il n’y avait pas de sources pleines d’eaux. Avant que les montagnes fussent établies sur leurs bases, avant les collines, j’ai été enfantée, lorsqu’il n’avait pas encore fait la terre et les campagnes, et le commencement de la poussière du monde. Quand il disposait les cieux, j’étais là ; quand il ordonnait le cercle qui circonscrit la face de l’abîme, quand il établissait les nuées en haut, quand il affermissait les sources des abîmes, quand il imposait son décret à la mer, afin que les eaux n’outrepassassent point son commandement, quand il décrétait les fondements de la terre : j’étais alors à côté de lui son nourrisson, j’étais ses délices tous les jours, toujours en joie devant lui, me réjouissant en la partie habitable de sa terre, et mes délices étaient dans les fils des hommes».
À partir du verset 22 il est question du commencement de la voie de Dieu, avant ses œuvres d’ancienneté qui nous situent à l’instant de la toute première création de Dieu. L’expression "Dès l’éternité je fus établie, dès le commencement…" confirme bien comme nous venons de le dire l’action créative au moment où l’esprit de Dieu se mouvait au-dessus des flots de l’abîme qui de fait ont précédé la création de la terre ferme, du sol entendons-nous bien comme il est dit : «…quand il imposait son décret à la mer, afin que les eaux n’outrepassassent point son commandement, quand il décrétait les fondements de la terre…» L’abîme est cette masse d’eau qui allait recouvrir toute la planète, en faire un endroit sans vie possible, un cahot car il faut savoir et nous en reparlerons comme de beaucoup de choses qu’en ce temps-là il n’y avait pas de lumière à la surface de la terre puisque Dieu dit : «Que la lumière soit !» le premier jour, donc aucune chaleur. Le froid devait être intense, la terre était comme un bloc de glace certainement proche du froid absolu qui est d’environ -270°.
Pour nous les humains "dès l’éternité" signifie en remontant le temps à l’instant dès avant le commencement, car il n’y a que là que peut commencer l’éternité et que là où se rencontrent l’éternité et le commencement de toutes les choses. Dans l’autre sens il est impossible de donner un commencement à l’éternité puisque le propre de l’éternité est de ne pas avoir de commencement. N’oublions pas non plus que le commencement de la création de Dieu est une période unique comme nous l’avons vu.
En conclusion de cela nous pouvons dire que les versets du livre des Proverbes que nous avons cités sont un complément de ce que nous lisons au chapitre 2 du premier livre de la bible qui concerne la création d’Adam et c’est donc bien de lui qu’il est question dans le livre des Proverbes et ainsi tout est harmonieux là aussi. Nous remarquons également que les trois récits que nous avons cités débute au moment où de l’eau recouvre la planète terre au-dessus de laquelle planait ou se mouvait l’esprit de Dieu selon le premier chapitre.
Si, nous nous accordons pour ne rien ajouter aux textes, nous dirons que l’ensemble des récits de la création ne cite aucune autre créature spirituelle qu’Adam et Eve. Quant à Dieu il est l’être unique et infini et toujours l’être qui était, qui est et qui vient ou celui qui doit se révéler être, ce qu’il fait tout au long des écritures jusqu’au moment où plus personne ne dira de connaître Dieu car tous connaîtront Dieu comme le dit Jérémie dans son livre au chapitre 31 : 33 et 34 : « Voici, des jours viennent, dit l’Éternel, et j’établirai avec la maison d’Israël et avec la maison de Juda une nouvelle alliance, non selon l’alliance que je fis avec leurs pères, au jour où je les pris par la main pour les faire sortir du pays d’Égypte, mon alliance qu’ils ont rompue, quoique je les eusse épousés, dit l’Éternel. Car c’est ici l’alliance que j’établirai avec la maison d’Israël, après ces jours-là, dit l’Éternel : Je mettrai ma loi au dedans d’eux, et je l’écrirai sur leur cœur, et je serai leur Dieu, et ils seront mon peuple ; et ils n’enseigneront plus chacun son prochain, et chacun son frère, disant : Connaissez l’Éternel ; car ils me connaîtront tous, depuis le petit d’entre eux jusqu’au grand, dit l’Éternel ; car je pardonnerai leur iniquité, et je ne me souviendrai plus de leur péché.»
Si nous acceptons cela, mais nous en reparlerons, il sera alors facile d’accepter le fait que les toutes premières paroles que Dieu a prononcées de toute éternité à un être à son image et avec qui il a pu communiquer est Adam.
D’autre part si Yèshoua de son côté a récapitulé en lui toutes les choses d’Adam à la perfection comme on le disait dans l’église toute primitive, et de sa jeunesse s’il est dit dans les évangiles qu’il grandissait en connaissance et en sagesse, alors il en était de même pour Adam. Qui d’autre que Dieu pouvait instruire Adam ?
Adam n’était-il pas de fait le seul réceptacle de la parole de Dieu qu’il allait devoir transmettre à sa descendance? Puisque tous les noms que l’on donnait dans les temps anciens avaient un sens en fonction de choses pouvant caractériser une personne donnée, n’aurions-nous pas appelé Adam, tout comme on appelle Charpentier celui qui est charpentier, Réceptacle de la Parole de Dieu puisqu’il l’était ou tout simplement la Parole ? Tant que la Parole était fidèle n’était-elle pas auprès de Dieu ? Si la Parole était fils de Dieu cette Parole n’était-elle pas Dieu aussi ? Bien-sûr avec le rang qui est le sien et selon le Psaume 82 : 6 : « Moi j’ai dit : Vous êtes des dieux, et vous êtes tous fils du Très-haut. » Nous aurions pu, nous, écrire ici dieu avec une lettre minuscule pour marquer la différence. (À suivre)
Amicalement.
Le Presbytre.
Dans Genèse chapitre1 les jours de la création se terminent à la fin du sixième jour et au septième jour lu au chapitre 2 Dieu se repose de toute son œuvre qu’il a faite, de ce qu’il a créé le ciel, la terre, la mer et tout ce qui les habite dont la création de l’homme et de la femme à la fin de toute chose. Cela a été jugé très bon.
Dans ce chapitre 2 à partir de ces versets 4 à 9 est repris toute l’histoire de la création, celle des six jours et résument en un jour toutes les étapes décrites au chapitre 1. Pour ce qui est du mot générations, certains le traduisent par histoire, généalogie de la création etc..., ce que nous traduirons ici dans notre langage comme étant les différentes étapes de la création. Voici ce passage : « Ce sont ici les générations des cieux et de la terre lorsqu’ils furent créés, au jour que l’Éternel Dieu fit la terre et les cieux, et tout arbuste des champs avant qu’il fût sur la terre, et toute herbe des champs avant qu’elle crût ; car l’Éternel Dieu n’avait pas fait pleuvoir sur la terre, et il n’y avait pas d’homme pour travailler le sol ; mais une vapeur montait de la terre et arrosait toute la surface du sol. Et l’Éternel Dieu forma l’homme, poussière du sol, et souffla dans ses narines une respiration de vie, et l’homme devint une âme vivante ».
Le monde scientifique pour expliquer la présence de l’eau sur terre utilise plusieurs théories et celle qui se rapproche le plus de la bible est celle-ci selon Wiképédia : "Certains penchent pour la théorie du dégazage : c'est-à-dire qu’il pensent qu’après la formation de notre planète, il y a 4,5 milliards d’années, le dégazage des magmas volcaniques contenant de l’eau liée aux silicates des minéraux déshydratés et des gaz emprisonnés dont l’hydrogène et l’oxygène a fourni l’eau sous forme gazeuse." Ceci ressemble à s’y méprendre à un copier-coller de la bible sur Wiképédia lorsqu’elle nous parle de vapeur, de brume !
Lorsque différentes traductions de la bible disent qu’une brume, ou qu’une vapeur, ou qu’une exhalation, ou encore qu’un flot d’eau montait de terre selon les traductions, il y a là une harmonie entre les faits ou ce qui semblerait être des faits et le texte de la bible. En tout cas nous ne sommes pas en contradiction avec le possible. Il ne s’agit pas là du simple arrosage d’un jardinier mais de cette eau qui allait recouvrir par la suite toute la surface de la terre et au-dessus de laquelle planait l’esprit de Dieu comme décrit au verset 2 du chapitre1et former les océans après la séparation des eaux d’en haut et des eaux d’en bas puis après délimitation des parties sèches et humides.
Puisque le texte commence par dire : « Ce sont ici les générations des cieux et de la terre » il s’apprête à nous dévoiler l’instant où commence la création de Dieu à un moment où de l’eau sortant de terre la recouvrait complètement. C’est ce que signifie : "mais une vapeur montait de la terre et arrosait toute la surface du sol."
Ce qui est remarquable au début de la bible c’est que celle-ci au chapitre 1 situe sans équivoque la création de l’homme tout à la fin, après la création des végétaux et des animaux alors qu’à l’inverse au chapitre 2 elle situe la création de l’homme au tout début, comme étant la toute première œuvre de Dieu. À défaut d’une explication solide, nous sommes en présence d’une parfaite contradiction, assurons-nous, il est bien dit qu’il il n’y avait pas de végétation, donc pas de vie animale, qu’il ne pleuvait pas, donc pas les causes pour produire la pluie et aucune créature pour cultiver le sol de sorte que cette contradiction semble confirmée par rapport à ces récits.
Or, d’après ce que nous admettons tous il ne peut en aucun cas y avoir dans la parole de Dieu des contradictions, des manques d’harmonie ou des erreurs sous quelque forme que ce soit. Il faut être exemplaire sur ce point et ici il semble bien que ce soit absolument nécessaire. Selon les principes que nous avons admis, que la bible ne peut se tromper, il doit y avoir obligatoirement une explication, même cachée, et elle doit être, si elle existe, parfaitement logique et harmonieuse. En réalité le problème qui se pose n’est pas deux versions différentes et opposées mais deux versions qui doivent se compléter comme deux dessins sur des calques peuvent se superposer pour ne former qu’une seule image nouvelle et complète.
Puisque les deux récits concernant la création de l’homme sont exacts, l’un avant la création de toute chose et l’autre après la création de toute chose, alors, ces deux témoignages ne peuvent former qu’un seul et même récit, celui de la création d’Adam. Comment cela est-ce possible car il faut tenir compte qu’entre ces deux moments extrêmes il y a un temps très long d’environ 42000 ans ou disons pour simplifier des périodes très longues.
Pour qu’il y est harmonie une seule solution s’offre à nous ; la création de l’homme aurait commencé selon le récit du chapitre 2 au moment où une vapeur d’eau sortait de terre pour recouvrir toute la surface de la terre et se serait poursuivie par un moyen évolutif contrôlé par Dieu jusqu’à la fin du sixième jour selon le récit du chapitre 1 où il est dit que Dieu créa l’homme et la femme tout à la fin. Il y aurait donc eu une évolution à partir de la poussière qui aurait mené à une espèce "d’hommes-animal" et que Dieu en aurait choisi un parmi plusieurs puis soufflé dans ses narines afin qu’il devienne une âme vivante à son image.
Si Dieu au commencement de toute chose, selon le chapitre 2 prend de la poussière pour créer l’homme, il y a tout lieu de penser qu’à la fin du sixième jour, selon le chapitre 1, qu’il ait pris cette même poussière pour créer l’homme, mais de quelle poussière s’agit-il ? Comprenons-nous bien, lorsque Dieu parle à l’homme il lui dit qu’il est poussière et qu’il retournera à la poussière. Lorsqu’aussi Dieu parle à l’homme de l’animal il lui dit également que celui-ci est poussière comme lui et qu’il retournera à la poussière tout en ajoutant que le sort de l’homme et de l’animal est le même et qu’il n’y a pas de supériorité de l’homme sur l’animal. Ecclésiaste 3 : 19 et 20 : «Car ce qui arrive aux fils des hommes est aussi ce qui arrive aux bêtes ; il y a pour tous un même sort : comme celle-ci meurt, ainsi meurt celui-là ; et ils ont tous un même souffle, et l’homme n’a point d’avantage sur la bête, car tout est vanité. Tout va dans un même lieu, tout est de poussière, et tout retourne à la poussière.» Nous pouvons alors dire que de la poussière ou d’un homme-animal choisi et donc issu de cette poussière, qui est donc poussière, que Dieu a créé par son souffle une âme vivante, un homme qui allait devenir à son image. Signalons que le souffle comme le vent est l’image d’une chose qui ne se voit pas mais qui a de la puissance. Compris de cette manière tout est harmonie.
Nous vous proposons ci-dessous un jeu de réflexion, une expérience à faire : Puisque je ne sais pas reproduire ici le dessin que j'ai fais dans le livre que je m'efforce actuellement d'écrire, je vous demanderais de prendre une feuille de papier et de dessiner un rectangle avec un trait verticale au milieu ensuite vous pouvez suivre les explications du jeu. Faites-le, ce sera pour vous un grand moment de réflexion.
Dieu crée l’homme tout au début de la création, avant toute chose selon Genèse 2 :7.
Dieu crée l’homme tout à la fin de la création, après toute chose selon Genèse 1 :27.
Explication de ce jeu : Au départ la surface seule à l’intérieur du rectangle représente la parfaite harmonie de la parole de Dieu. Ensuite nous écrivons ce que dit la Bible ; sur la partie gauche que Dieu a créé l’homme tout au début de la création et sur la partie droite que Dieu a créé l’homme tout à la fin de la création. Il y a là manifestement une contradiction flagrante que nous symbolisons par un trait vertical. Le but du jeu ou de cette réflexion est de pouvoir supprimer ce trait vertical en apportant une solution solide et logique à ce problème sans sortir du rectangle que l’on peut considérer comme un enclos avec l’interdiction d’en sortir pour chercher ailleurs des jeux de mots ou autres astuces. La solution doit se trouver à l’intérieur de cet enclos. La seule possibilité trouvée à ce jour serait que Dieu a créé toute chose progressivement, par une évolution contrôlée par lui-même. Sans sortir de cet enclos auriez-vous trouvé une autre réponse ! Il serait intéressant de la faire connaître.
Il sera très instructif et très utile de lire en parallèle le livre des Proverbes au chapitre 8 et les versets 22 è 31 : «L’Éternel m’a possédée (créée) au commencement de sa voie, avant ses œuvres d’ancienneté. Dès l’éternité je fus établie, dès le commencement, dès avant les origines de la terre. Quand il n’y avait pas d’abîmes, j’ai été enfantée, quand il n’y avait pas de sources pleines d’eaux. Avant que les montagnes fussent établies sur leurs bases, avant les collines, j’ai été enfantée, lorsqu’il n’avait pas encore fait la terre et les campagnes, et le commencement de la poussière du monde. Quand il disposait les cieux, j’étais là ; quand il ordonnait le cercle qui circonscrit la face de l’abîme, quand il établissait les nuées en haut, quand il affermissait les sources des abîmes, quand il imposait son décret à la mer, afin que les eaux n’outrepassassent point son commandement, quand il décrétait les fondements de la terre : j’étais alors à côté de lui son nourrisson, j’étais ses délices tous les jours, toujours en joie devant lui, me réjouissant en la partie habitable de sa terre, et mes délices étaient dans les fils des hommes».
À partir du verset 22 il est question du commencement de la voie de Dieu, avant ses œuvres d’ancienneté qui nous situent à l’instant de la toute première création de Dieu. L’expression "Dès l’éternité je fus établie, dès le commencement…" confirme bien comme nous venons de le dire l’action créative au moment où l’esprit de Dieu se mouvait au-dessus des flots de l’abîme qui de fait ont précédé la création de la terre ferme, du sol entendons-nous bien comme il est dit : «…quand il imposait son décret à la mer, afin que les eaux n’outrepassassent point son commandement, quand il décrétait les fondements de la terre…» L’abîme est cette masse d’eau qui allait recouvrir toute la planète, en faire un endroit sans vie possible, un cahot car il faut savoir et nous en reparlerons comme de beaucoup de choses qu’en ce temps-là il n’y avait pas de lumière à la surface de la terre puisque Dieu dit : «Que la lumière soit !» le premier jour, donc aucune chaleur. Le froid devait être intense, la terre était comme un bloc de glace certainement proche du froid absolu qui est d’environ -270°.
Pour nous les humains "dès l’éternité" signifie en remontant le temps à l’instant dès avant le commencement, car il n’y a que là que peut commencer l’éternité et que là où se rencontrent l’éternité et le commencement de toutes les choses. Dans l’autre sens il est impossible de donner un commencement à l’éternité puisque le propre de l’éternité est de ne pas avoir de commencement. N’oublions pas non plus que le commencement de la création de Dieu est une période unique comme nous l’avons vu.
En conclusion de cela nous pouvons dire que les versets du livre des Proverbes que nous avons cités sont un complément de ce que nous lisons au chapitre 2 du premier livre de la bible qui concerne la création d’Adam et c’est donc bien de lui qu’il est question dans le livre des Proverbes et ainsi tout est harmonieux là aussi. Nous remarquons également que les trois récits que nous avons cités débute au moment où de l’eau recouvre la planète terre au-dessus de laquelle planait ou se mouvait l’esprit de Dieu selon le premier chapitre.
Si, nous nous accordons pour ne rien ajouter aux textes, nous dirons que l’ensemble des récits de la création ne cite aucune autre créature spirituelle qu’Adam et Eve. Quant à Dieu il est l’être unique et infini et toujours l’être qui était, qui est et qui vient ou celui qui doit se révéler être, ce qu’il fait tout au long des écritures jusqu’au moment où plus personne ne dira de connaître Dieu car tous connaîtront Dieu comme le dit Jérémie dans son livre au chapitre 31 : 33 et 34 : « Voici, des jours viennent, dit l’Éternel, et j’établirai avec la maison d’Israël et avec la maison de Juda une nouvelle alliance, non selon l’alliance que je fis avec leurs pères, au jour où je les pris par la main pour les faire sortir du pays d’Égypte, mon alliance qu’ils ont rompue, quoique je les eusse épousés, dit l’Éternel. Car c’est ici l’alliance que j’établirai avec la maison d’Israël, après ces jours-là, dit l’Éternel : Je mettrai ma loi au dedans d’eux, et je l’écrirai sur leur cœur, et je serai leur Dieu, et ils seront mon peuple ; et ils n’enseigneront plus chacun son prochain, et chacun son frère, disant : Connaissez l’Éternel ; car ils me connaîtront tous, depuis le petit d’entre eux jusqu’au grand, dit l’Éternel ; car je pardonnerai leur iniquité, et je ne me souviendrai plus de leur péché.»
Si nous acceptons cela, mais nous en reparlerons, il sera alors facile d’accepter le fait que les toutes premières paroles que Dieu a prononcées de toute éternité à un être à son image et avec qui il a pu communiquer est Adam.
D’autre part si Yèshoua de son côté a récapitulé en lui toutes les choses d’Adam à la perfection comme on le disait dans l’église toute primitive, et de sa jeunesse s’il est dit dans les évangiles qu’il grandissait en connaissance et en sagesse, alors il en était de même pour Adam. Qui d’autre que Dieu pouvait instruire Adam ?
Adam n’était-il pas de fait le seul réceptacle de la parole de Dieu qu’il allait devoir transmettre à sa descendance? Puisque tous les noms que l’on donnait dans les temps anciens avaient un sens en fonction de choses pouvant caractériser une personne donnée, n’aurions-nous pas appelé Adam, tout comme on appelle Charpentier celui qui est charpentier, Réceptacle de la Parole de Dieu puisqu’il l’était ou tout simplement la Parole ? Tant que la Parole était fidèle n’était-elle pas auprès de Dieu ? Si la Parole était fils de Dieu cette Parole n’était-elle pas Dieu aussi ? Bien-sûr avec le rang qui est le sien et selon le Psaume 82 : 6 : « Moi j’ai dit : Vous êtes des dieux, et vous êtes tous fils du Très-haut. » Nous aurions pu, nous, écrire ici dieu avec une lettre minuscule pour marquer la différence. (À suivre)
Amicalement.
Le Presbytre.
Le Presbytre- Messages : 54
Date d'inscription : 03/02/2010
Age : 81
Localisation : Petit village dans les Alpes de Haute Provence
Re: Yéshoua (Jésus) cet inconnu du monde chrétien et des autres
Bonjour Presbytre.
Je suis fonewix du Forum-TJ
Si jamais tu t'aperçois que je ne te réponds plus là-bas, nous pourrons continuer notre conversation ici.
Je suis fonewix du Forum-TJ
Si jamais tu t'aperçois que je ne te réponds plus là-bas, nous pourrons continuer notre conversation ici.
fonewix- Messages : 1
Date d'inscription : 24/09/2019
Re: Yéshoua (Jésus) cet inconnu du monde chrétien et des autres
Il y aurait donc eu une évolution à partir de la poussière qui aurait mené à une espèce "d’hommes-animal" et que Dieu en aurait choisi un parmi plusieurs puis soufflé dans ses narines afin qu’il devienne une âme vivante à son image.
Vous ne pouvez pas dire d'un côté "la Bible est entièrement vrai sans erreurs, infaillible etc" et à côté de ça essayer de faire des compromis, des conciliations avec la "science" moderne qui est corrompu sur bien des points tel que la théorie de l'évolution (qui reste et restera une théorie non-prouvé). Ayez vraiment foi en Elohim et ne vous laissez pas impressionner par cette pseudo-science. La science devient comme une nouvelle religion et malheureusement beaucoup de croyants (l'Occident étant le plus touché par ce problème) prennent pour argent comptant tout ce qui vient du milieu scientifique.
Est-ce si incroyable que ça, si poussé par les cheveux de croire que Elohim a simplement fait l'homme en 12 ou 24 heures ? Quelques chose Lui est - Il impossible ? Pourquoi refuser cette possibilité ? Le mot de la science moderne à ce sujet est-il si important ?
Pourquoi vouloir à tout prix que la Bible colle avec les valeurs du monde, avec la science moderne ? Pourquoi s'embourber dans des conciliations et des raisonnements qui extrapole, qui voient dans les saintes Ecritures uniquement de la symbolique poussé à l'extrême ?
Choisissez votre bateau mais n'ayez pas vos pieds sur 2 bateaux à la fois !
Entosh- Messages : 436
Date d'inscription : 16/06/2017
Re: Yéshoua (Jésus) cet inconnu du monde chrétien et des autres
Rheu rheu....
Je ne veux pas jouer les rabats joie !
Les généticiens ont démontré que Darwin s'est mis le doigt dans l'oeil jusqu'à l'omoplate.
A l'époque de Darwin, on n'avait pas les possibilités scientifiques, comme maintenant, or il est tabou de revenir en arrière.
Si mutation, il y a, et que nous descendons du singe, pourquoi il existe encore des singes, ils auraient du muter, eux aussi ?
D'autres part, il est possible à une espèce d'évolution, certes. Mais une mouche ne sera jamais un éléphant, alors dire que nous descendons tous des poissons est une aberration génétique, même sur des millions et milliards d'années.
Il est impossible de muter d'une espèce à une espèce. Une espèce peut sélectionner des gênes récurrents afin d'évoluer, mais pas inventer d'autres gènes... nuance.
Et comme croire dans la théorie créationniste, c'est croire en Dieu, on n'ose plus mettre en avant les théories anti-darwin.
Je ne veux pas jouer les rabats joie !
Les généticiens ont démontré que Darwin s'est mis le doigt dans l'oeil jusqu'à l'omoplate.
A l'époque de Darwin, on n'avait pas les possibilités scientifiques, comme maintenant, or il est tabou de revenir en arrière.
Si mutation, il y a, et que nous descendons du singe, pourquoi il existe encore des singes, ils auraient du muter, eux aussi ?
D'autres part, il est possible à une espèce d'évolution, certes. Mais une mouche ne sera jamais un éléphant, alors dire que nous descendons tous des poissons est une aberration génétique, même sur des millions et milliards d'années.
Il est impossible de muter d'une espèce à une espèce. Une espèce peut sélectionner des gênes récurrents afin d'évoluer, mais pas inventer d'autres gènes... nuance.
Et comme croire dans la théorie créationniste, c'est croire en Dieu, on n'ose plus mettre en avant les théories anti-darwin.
Nathalie11- Messages : 55
Date d'inscription : 17/01/2017
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