Sion : Trône du Machiah.
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Forum Juif et Israelite Nazareen - Suiveurs de YHWH - Torah et Yeshoua :: Présentation :: Shalom שָׁלוֹם
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Sion : Trône du Machiah.
Sion : Trône du Machiah.
Par les livres du prophète Daniel et de la révélation de Jean (livre de la Torah et livre de la Délivrance), nous avons découvert et compris la chute ferme et définitive de tout l’ensemble du christianisme. A partir du moment où celui-ci a persisté à ne pas observer les commandements et préceptes divins, il ne faut pas s’étonner que le maître du monde s’en soit écarté. Cette désignation a été donnée par les païens mêmes de l’époque apostolique ou primitive, aujourd’hui, ce qualificatif sied parfaitement à cette dénomination à cause du pur paganisme qui règne chez toutes ces obédiences chrétiennes. Par la compréhension de cette prophétie, nous ne pouvons nous réclamer « chrétien », si toutefois, l’on devait encore se revendiquer de ce nom d’origine païenne : pas plus maintenant qu’hier. L’homme a toujours eu ce besoin d’étiqueter les choses afin de montrer sa différence vis-à-vis de son prochain. Pourquoi ne pas se dire tout simplement « serviteur » , avec pour unique et permanent but de rechercher la vérité ! Depuis 2000 années, par l’envoi de ses serviteurs, le Seigneur a toujours mis en garde ce christianisme païen, l’a menacé de se retirer définitivement du milieu d’eux et de le livrer à l’abîme. C’est une bonne chose qu’il en soit ainsi car la confusion entretient le mal ! Il n’y a qu’un seul salut, celui qui vient des juifs ! Heureusement, cette chose s’est réalisée en 1994, dans l’indifférence totale de cette organisation, pour le plus grand malheur de tous ceux et celles qui sont demeurés dans ces églises « babyloniennes ». Attention ! le christianisme n’est plus ( d’ailleurs a-t-il été un jour ?), mais les créatures qui séjournent à l’intérieur des églises sont encore vivantes spirituellement, elles le seront qu’à la condition de sortir de cette « Babylone amalécienne » c’est la première étape, dans un premier temps ! Le Salut a été mis devant chacun de nous, avec autant d’étapes à franchir afin d’être purifiés, rappelons les : la reconnaissance et la mise en pratique de la Loi divine ou torah, l’étude des prophéties et le témoignage de la « délivrance » conduisant à la transformation du caractère. La vie pour le Salut est jalonnée d’étapes à gravir, l’on croit être arrivé au terme de la connaissance et de la réforme du caractère, il en est rien en réalité ! Tout au long des 2000 ans qui ont suivi ce témoignage de la délivrance, le Seigneur a su garder un « reste » fidèle dans l’ombre, il s’est, à chaque fois, pris d’affection pour ses faibles troupeaux représentant l’alliance renouvelée des nations. Ce « reste » a un premier point commun avec les juifs : il a été persécuté ! Les chrétiens ont, depuis 321 et l’abandon du Chabbat, privilégié l’amour fraternel à l’amour divin, écouté les hommes influents des églises au détriment des prophètes, pratiqué une lecture superficielle au lieu d’une étude persévérante et creusée de la Parole sainte, cultivé le mensonge au détriment de la vérité. Ainsi, pendant 2000 ans environ, une minorité d’enfants de l’alliance renouvelée (Efraïm) vivait au milieu d’une majorité de chrétiens. Sans attendre la chute de cette « babylone », « Efraïm » est revenu à la source de la vie, ayant toujours vécu en dehors du christianisme. Un séjour dans le désert est toujours utile pour que le Seigneur puisse parler à nos coeurs. Puis, l’assistance du Maître se faisant, une nouvelle voie a été donnée, ou plutôt un retour à la racine juive, il devient évident qu’il ne fallait pas s’en détourner de cette racine. La révélation d’Ezéchiel chapitre 38 décryptée dans la foulée a permis cette évidence. Cette traduction montre 2 rois du nord en conflit contre Israël ( type et antitype), d’une part, l’alliance russo-musulmane et d’autre part, la coalition protestante américaine-papale (voir décryptage de Daniel et révélation). La protection divine envers le peuple juif se fait jour à la compréhension de la lecture d’Ezéchiel, mais pas seulement, des révélations d’Esaïe, Jérémie, Zacharie, Joël, en autres, convergent dans le même sens. Du fait, c’est tout naturellement vers les « juifs » qu’il faut désormais se tourner, en ce qui concerne les nations,. La bénédiction est venue vers eux pour cause d’incrédulité puis du déracinement de l’olivier sauvage ( christianisme ), là encore, nous parlons pour le faible « reste » des peuples de la terre. Nous voyons que le manque d’amour de la vérité peut se payer très cher, le mépris de l’étude des prophéties ne peut conduire qu’à une impasse ! Pour ce qui est du christianisme, ce ne sont pas les hommes qui le condamnent, c’est la Parole du Maître ! Et le fait que la condamnation soit tombée sur celui-ci est due à trois choses : l’abandon des commandements du Créateur, l’indifférence vis-à-vis du témoignage de la Délivrance, et la conséquence des deux conduisant à la suffisance d’un caractère rebelle et insensible. Nous sommes tous passés par là mais quelques uns ont su réagir en se faisant violence et en entreprenant une étude sérieuse et conduite de la Parole dans l’humilité, dans l’effacement et le désintéressement de soi, avec une soif énorme de comprendre les choses qui doivent arriver bientôt. Puis, le Seigneur a dirigé le cœur sur l’étude d’ « Efraïm », cette entité symbolique caractérise les rachetés( de racines juives) des nations, ceux qui sont sortis ou qui sortiront de Babylone. Derrière cette dernière identité se cache la Rome papale, révélée dans les prophéties de Daniel et de Jean, ainsi, à la manière d’une pieuvre, elle a su étendre ses tentacules sur tout ce qui se meut sur la terre tant civil que religieux (hormis le plus beau des pays, quoique!). Dans un temps de paix et à la manière de son maître : le diable (Amalek), elle a su séduire le christianisme tout entier par un jour marqué de la bête (bil’am) : le dimanche ou 1er jour de la semaine. Ainsi, ceux qui sont sortis du milieu d’elle forment aujourd’hui la tribu d’Efraïm (symbole), mais sachons que celui-ci sera, à son tour, éprouvé et épuré, car il ne suffit pas seulement de s’écarter de babylone. La chute du christianisme est due à sa suffisance, au mépris même des révélations, à sa présomption de foi et de salut, à sa calomnie envers les juifs et la thora. Depuis 321, le paganisme a pris de plus en plus de place chez les chrétiens (Noël, Toussaint, calendrier faussé, sainte cène hebdomadaire, commandements d’homme, dimanche, etc …). Leur livre même (nouveau testament) les condamne tout entier, le Maître les a confondus dans leur propre lecture, ainsi, ils ont commencé par rejeter le 1er oint (thora) et ont fini par fouler au pied le 2ème oint (nouveau testament), soit la « torah » et le livre de la délivrance. En fait, il faut se rendre à l’évidence qu’il n’a jamais existé, ce sont des hommes qui l’ont bâti. La seule fois où l’alliance renouvelée a été bénie, c’est à l’époque apostolique, et pourquoi ? Tout simplement parce que les hommes qui formaient cette alliance, étaient « juifs » Une fois de plus, seuls des juifs pieux et humbles peuvent conduire une réforme. A la compréhension de tout cela, il nous faut avoir la plus grande humilité qui doit être accompagnée d’un amour désintéressé, cela, envers les âmes de ce christianisme déchu, ceux qui en sont sortis et ceux qui en sortiront. Il nous faut s’écarter de ce cercle vicieux qui consiste à dédaigner tout ce qui n’est pas de notre position spirituelle, anéantir l’arrogance et augmenter notre amour pour toutes les brebis perdues. Sachons que si nous nous comportons avec arrogance et mépris, nous serons à notre tour séparés de l’olivier franc, du plan menant à la racine juive. Personne sur cette terre, en dehors des juifs, n’est au-dessus de l’autre, c’est le monde qui tente de le faire croire, mais lorsque nous recevons des révélations à cause de l’amour que nous leur portons, il nous est défendu de les garder pour soi sous peine de châtiments divins. Voyons plus l’œuvre du Créateur, nous, nous ne sommes que des porteurs de bonnes nouvelles, nous sommes des semeurs, des laboureurs à quelques uns et quelque part, nous dérangeons, nous bousculons un ordre chrétien mal établi et maudit. Prenons garde de ne pas refuser d’entendre celui qui parle !
Si l’arbre est tordu, il lui faut un tuteur, nos êtres ont besoin d’être redressés de la même façon et quand il s’agit de désapprendre, nos orgueils sont touchés au plus profond. Nous sommes à une époque de rébellion, au comble de la susceptibilité, et avons pris l’habitude de ne plus supporter les reproches. Du moins, en ce qui concerne les cœurs mal affermis, cela se traduit ainsi, pourtant, il n’y a que de l’amour dans la démarche, et de simples conseils. Celui qui donne, donne ce qu’il a reçu, il n’est donc pas l’artisan de telle ou telle révélation, il ne fait que perpétuer à son prochain ce que le Tout-Puissant a révélé, à lui soient l’honneur et la gloire ! Il n’y a donc pas de condamnation pour qui que ce soit, celui qui méprise ou refuse ses oracles, il se condamne lui-même par son propre choix. S’il nous envoie des révélations, c’est uniquement pour sonder notre amour envers lui et tester notre foi, notre disposition à nous remettre en question car il n’y a rien d’acquis tant qu’il n’est pas venu. C’est pour cela qu’il nous envoie des révélations, elles ont pour but de nous rapprocher de lui par la Torah, de faire connaissance avec notre caractère insoumis et de connaître ce qui arrivera bientôt. Redisons-le, tous et toutes sont concernés par ce constat et même en premier chef, celui qui écrit cette lettre inspirée. A l’évidence, nous sommes tous des boiteux, des aveugles, des sourds et des estropiés de la vie et c’est pour cela que l’Auteur de la vie vient à nous. Sommes-nous malades au point de refuser les cadeaux du Ciel ! Toute nouvelle révélation provoque un réveil de l’être, un sursaut du cœur et d’un seul coup, tout revit ! Le but est d’y faire pénétrer une espérance sans faille, une foi nouvelle et une certitude qu’aucun homme ne puisse les ôter. Si nous pouvons réaliser ces choses et nous concentrer sur ce que le Seigneur peut et veut nous révéler, alors, nous avons compris une grande part de ce qu’il attend de nous. Fini la guerre de l’égo, de la 1ère place ou du plus érudit d’entre nous, avec la compréhension « d’Efraïm », prenons conscience d’une nouvelle étape et d’une entrée dans une nouvelle dimension. Il est grand temps de se regarder dans le miroir de la Vérité pour connaître l’état de notre caractère, ce qui nous freine et nous empêche de voir les merveilles qu’il nous a réservées. C’est avec l’esprit d’un enfant que l’on peut estimer à sa juste valeur, les trésors envoyés par son bon soin, ne foulons pas aux pieds les perles ! Il est important de comprendre notre fonctionnement et celui-ci diffère les uns des autres, car ce qui nuit dans l’avancement de notre foi, c’est nous-mêmes, apprendre à se connaître dans la présence du Seigneur devrait être une priorité. N’oublions pas que c’est notre caractère, à l’image du Machiah à venir, qui connaîtra les faveurs de la vie éternelle ! Il nous faut donc comprendre le mécanisme qui tient au fait de l’envoi, par lui-même, de nouvelles révélations, pourquoi et dans quel but ?
Dans la profonde réforme qu’il opère en nous, il inscrit son dessein céleste, celui qui consiste à harceler ou éprouver le Créateur pour obtenir des réponses aux questions. En effet, il nous habitue à rechercher la vérité, et pour cela, il nous envoie des révélations comme un test à notre encontre pour voir si nous avons faim et soif de lui. Cette pédagogie est utile à lui et à nous, à lui, afin qu’il vérifie le bien-fondé de l’amour que nous lui portons et là, personne ne peut le tromper ! A nous, afin que nous puissions prendre de bonnes habitudes en vue du ciel, pour quel objectif ? Il veut nous faire réaliser cette éternité qui sera, pour une grande part, vécu dans l’explication de l’histoire de notre univers. Pendant l’éternité, toutes les questions trouveront des réponses, à plus forte raison ici-bas, nous devons toujours être en recherche et sans se lasser, à toujours vouloir comprendre les desseins du Maître. Au paradis, nous serons dans le même état d’esprit à essayer de connaître le pourquoi, le comment des choses terrestres et célestes. Les révélations sont bienfaisantes pour l’âme, elles enracinent dans nos cœurs des certitudes sur l’avenir, la foi devient bouillante et l’esprit veillant. Le fait même de les comprendre ou de les recevoir produit cette assurance que l’Eternel est avec nous, avons-nous besoin d’autre chose pour notre bonheur ! Les chrétiens reprochent aux juifs de ne pas reconnaître le « Yéchou’a » alors que ceux-ci témoignent, chaque chabbat, de son salut ! La parole du Maître est dans la moindre fibre du juif tandis qu’elle est éloignée du cœur du chrétien ! C’est pour cela qu’il est écrit : « En ces jours-là, dix hommes de toutes les langues des nations saisiront un juif par le pan de son vêtement, et diront : nous irons avec vous, car nous avons appris qu’Adonaî est avec vous ». Autre chose, nous constatons que « babylone » s’est ancrée dans le cœur de la nature humaine, celle-ci freine, retient et endort, tout est préparé à l’avance et la spontanéité a disparu. Nous avons perdu, peu à peu, cet entrain, cette violence qui nous porte vers l’avant, ce naturel d’enfant. N’ayons pas peur de le dire, une fois sortis de « Babylone », nous avons tout à apprendre et à désapprendre sur notre caractère, notre comportement, notre pensée et notre langage. Il est grand temps de calquer le caractère de la Torah vivante sur le nôtre, d’avoir une volonté et une persévérance dans notre conduite de tous les jours. Un renouvellement et une disposition d’esprit doivent naître en nous, dans l’exhortation, la louange et la prière, la gestuelle et la parole doivent s’adapter à celles des juifs, le plus naturellement possible, qui est aussi celle de l’Eternel. Ainsi, quand nous aimons, nous ne voyons plus ces choses comme un fardeau, bien au contraire, comme une guérison. Il nous est demandé d’effacer en nous tout ce qui émane du christianisme, soit du monde profane, toutefois, nous devons garder le Salut et sa Délivrance et nous efforcer à ôter en nous, les préceptes humains et religieux amassés depuis des siècles, seule la parole doit demeurer en nous. Si le décryptage d’une révélation produit seulement un acquis chez celui qui le reçoit, il y a vice de forme car celle-ci doit opérer en nous plusieurs choses à la fois. Nous ne sommes pas sur cette terre pour amasser des tonnes de connaissances si celles-ci ne produisent aucune transformation dans nos caractères et dans nos vies. Nous devrions plutôt souffrir d’être sous le joug de Babylone, la relation avec le Créateur ne doit pas être une mascarade, une mode ou du folklore, nous avons abandonné la crainte pour une présomption de foi. Une certitude des choses à venir, une foi croissante, la présence du Seigneur, un dopage contre l’inertie doivent être les éléments pratiques et révélateurs en nous : l’action supplante ainsi les longs discours. Ceux qui labourent et retournent les révélations de la Torah vivante ne sont pas pris au sérieux ou alors pris pour des orgueilleux, pourtant ces œuvres ne leur appartiennent pas, simplement ils les dispensent de la même manière qu’ils l’ont reçu. Beaucoup de ceux qui prétendent rechercher l’Eternel passent trop de temps à ergoter ou s’opposer aux nouvelles lumières. Nous savons qu’il faut toujours examiner toutes choses et retenir ce qui est bon, trop d’hommes et de femmes se bornent à se satisfaire du minimum, et par conséquent, ne poussent pas plus loin leurs recherches spirituelles. Quel triste constat ! Or, il y a un grand danger de se satisfaire du minimum spirituel, beaucoup se sont perdus pour cela ! A quand le réveil ? Le départ pour Sion dépend de tout ce qui vient d’être dit, celui ou celle qui n’aura pas rempli sa lampe d’huile, c'est-à-dire, celui ou celle qui n’aura pas apprécié, à sa juste valeur, les prophéties, aura bien du mal à résister aux attaques de la « prostituée ». celui ou celle qui ne veut pénétrer dans ce schéma ne verra point la lumière ! Pour « Efraïm », l’étude des haftaroth conduit à mieux appréhender, comprendre et pénétrer dans la Torah vivante. Ne négligeons pas ses trésors qui ont le but d’encourager et de développer notre foi, un bienfait pour nos êtres. Si nous aimons et enracinons ces choses dans nos cœurs, nous pourrons mieux résister et lutter contre l’ennemi, elles laissent une trace indélébile dans le coeur. Un rouleau de feu de destruction est devant nous, sachons prendre au sérieux les révélations de la Délivrance pour qu’il nous y fasse traverser sans dommages. « Sion » symbolise le caractère du Machiah, ses prophéties sont là pour nous aider à revêtir toutes les armes vertueuses de la vérité. Celles du prophète Daniel et la révélation de Jean ont permis de découvrir la fin ou la non-existence du christianisme, celle d’Ezéchiel ( chapitre.38 ) nous a fait redécouvrir le retour à la bénédiction entière du peuple juif circoncis de chair et de coeur, par deux conflits dirigés contre eux. L’étude sur « Efraïm » symbolise les rachetés des nations ou les dix tribus perdues d’Israël par son union d’avec « Juda » et, « Sion » marquant le caractère de Machiah, son témoignage, qui est aussi l’Esprit de prophétie. Après cela, sommes-nous arrivés aux termes des révélations ? Loin de là, nous en sommes qu’aux prémices, aux balbutiements de la vérité, et si nous avons l’amour de la vérité, alors le Tout-puissant nous comblera de sa sagesse et de sa science durant l’éternité. Il est grand temps de mettre son âme au travail avec une volonté doublée d’une humilité pour le salut de notre âme, triplée d’une espérance sans faille car nous sommes entrés dans le temps du Machiah, et, il ne laissera personne diriger son œuvre immense et merveilleuse, une œuvre unique et étonnante !
« Efraïm est une génisse bien dressée, aimant à fouler le blé ; mais moi, je passerai sur son cou superbe, je ferai atteler Efraïm ; il faudra que Yéhuda laboure, que Yaacov traîne la herse. Faites vos semailles selon la justice et vous moissonnerez selon la loi d’amour »
Chalom à Yéhuda et Efraïm.
Par les livres du prophète Daniel et de la révélation de Jean (livre de la Torah et livre de la Délivrance), nous avons découvert et compris la chute ferme et définitive de tout l’ensemble du christianisme. A partir du moment où celui-ci a persisté à ne pas observer les commandements et préceptes divins, il ne faut pas s’étonner que le maître du monde s’en soit écarté. Cette désignation a été donnée par les païens mêmes de l’époque apostolique ou primitive, aujourd’hui, ce qualificatif sied parfaitement à cette dénomination à cause du pur paganisme qui règne chez toutes ces obédiences chrétiennes. Par la compréhension de cette prophétie, nous ne pouvons nous réclamer « chrétien », si toutefois, l’on devait encore se revendiquer de ce nom d’origine païenne : pas plus maintenant qu’hier. L’homme a toujours eu ce besoin d’étiqueter les choses afin de montrer sa différence vis-à-vis de son prochain. Pourquoi ne pas se dire tout simplement « serviteur » , avec pour unique et permanent but de rechercher la vérité ! Depuis 2000 années, par l’envoi de ses serviteurs, le Seigneur a toujours mis en garde ce christianisme païen, l’a menacé de se retirer définitivement du milieu d’eux et de le livrer à l’abîme. C’est une bonne chose qu’il en soit ainsi car la confusion entretient le mal ! Il n’y a qu’un seul salut, celui qui vient des juifs ! Heureusement, cette chose s’est réalisée en 1994, dans l’indifférence totale de cette organisation, pour le plus grand malheur de tous ceux et celles qui sont demeurés dans ces églises « babyloniennes ». Attention ! le christianisme n’est plus ( d’ailleurs a-t-il été un jour ?), mais les créatures qui séjournent à l’intérieur des églises sont encore vivantes spirituellement, elles le seront qu’à la condition de sortir de cette « Babylone amalécienne » c’est la première étape, dans un premier temps ! Le Salut a été mis devant chacun de nous, avec autant d’étapes à franchir afin d’être purifiés, rappelons les : la reconnaissance et la mise en pratique de la Loi divine ou torah, l’étude des prophéties et le témoignage de la « délivrance » conduisant à la transformation du caractère. La vie pour le Salut est jalonnée d’étapes à gravir, l’on croit être arrivé au terme de la connaissance et de la réforme du caractère, il en est rien en réalité ! Tout au long des 2000 ans qui ont suivi ce témoignage de la délivrance, le Seigneur a su garder un « reste » fidèle dans l’ombre, il s’est, à chaque fois, pris d’affection pour ses faibles troupeaux représentant l’alliance renouvelée des nations. Ce « reste » a un premier point commun avec les juifs : il a été persécuté ! Les chrétiens ont, depuis 321 et l’abandon du Chabbat, privilégié l’amour fraternel à l’amour divin, écouté les hommes influents des églises au détriment des prophètes, pratiqué une lecture superficielle au lieu d’une étude persévérante et creusée de la Parole sainte, cultivé le mensonge au détriment de la vérité. Ainsi, pendant 2000 ans environ, une minorité d’enfants de l’alliance renouvelée (Efraïm) vivait au milieu d’une majorité de chrétiens. Sans attendre la chute de cette « babylone », « Efraïm » est revenu à la source de la vie, ayant toujours vécu en dehors du christianisme. Un séjour dans le désert est toujours utile pour que le Seigneur puisse parler à nos coeurs. Puis, l’assistance du Maître se faisant, une nouvelle voie a été donnée, ou plutôt un retour à la racine juive, il devient évident qu’il ne fallait pas s’en détourner de cette racine. La révélation d’Ezéchiel chapitre 38 décryptée dans la foulée a permis cette évidence. Cette traduction montre 2 rois du nord en conflit contre Israël ( type et antitype), d’une part, l’alliance russo-musulmane et d’autre part, la coalition protestante américaine-papale (voir décryptage de Daniel et révélation). La protection divine envers le peuple juif se fait jour à la compréhension de la lecture d’Ezéchiel, mais pas seulement, des révélations d’Esaïe, Jérémie, Zacharie, Joël, en autres, convergent dans le même sens. Du fait, c’est tout naturellement vers les « juifs » qu’il faut désormais se tourner, en ce qui concerne les nations,. La bénédiction est venue vers eux pour cause d’incrédulité puis du déracinement de l’olivier sauvage ( christianisme ), là encore, nous parlons pour le faible « reste » des peuples de la terre. Nous voyons que le manque d’amour de la vérité peut se payer très cher, le mépris de l’étude des prophéties ne peut conduire qu’à une impasse ! Pour ce qui est du christianisme, ce ne sont pas les hommes qui le condamnent, c’est la Parole du Maître ! Et le fait que la condamnation soit tombée sur celui-ci est due à trois choses : l’abandon des commandements du Créateur, l’indifférence vis-à-vis du témoignage de la Délivrance, et la conséquence des deux conduisant à la suffisance d’un caractère rebelle et insensible. Nous sommes tous passés par là mais quelques uns ont su réagir en se faisant violence et en entreprenant une étude sérieuse et conduite de la Parole dans l’humilité, dans l’effacement et le désintéressement de soi, avec une soif énorme de comprendre les choses qui doivent arriver bientôt. Puis, le Seigneur a dirigé le cœur sur l’étude d’ « Efraïm », cette entité symbolique caractérise les rachetés( de racines juives) des nations, ceux qui sont sortis ou qui sortiront de Babylone. Derrière cette dernière identité se cache la Rome papale, révélée dans les prophéties de Daniel et de Jean, ainsi, à la manière d’une pieuvre, elle a su étendre ses tentacules sur tout ce qui se meut sur la terre tant civil que religieux (hormis le plus beau des pays, quoique!). Dans un temps de paix et à la manière de son maître : le diable (Amalek), elle a su séduire le christianisme tout entier par un jour marqué de la bête (bil’am) : le dimanche ou 1er jour de la semaine. Ainsi, ceux qui sont sortis du milieu d’elle forment aujourd’hui la tribu d’Efraïm (symbole), mais sachons que celui-ci sera, à son tour, éprouvé et épuré, car il ne suffit pas seulement de s’écarter de babylone. La chute du christianisme est due à sa suffisance, au mépris même des révélations, à sa présomption de foi et de salut, à sa calomnie envers les juifs et la thora. Depuis 321, le paganisme a pris de plus en plus de place chez les chrétiens (Noël, Toussaint, calendrier faussé, sainte cène hebdomadaire, commandements d’homme, dimanche, etc …). Leur livre même (nouveau testament) les condamne tout entier, le Maître les a confondus dans leur propre lecture, ainsi, ils ont commencé par rejeter le 1er oint (thora) et ont fini par fouler au pied le 2ème oint (nouveau testament), soit la « torah » et le livre de la délivrance. En fait, il faut se rendre à l’évidence qu’il n’a jamais existé, ce sont des hommes qui l’ont bâti. La seule fois où l’alliance renouvelée a été bénie, c’est à l’époque apostolique, et pourquoi ? Tout simplement parce que les hommes qui formaient cette alliance, étaient « juifs » Une fois de plus, seuls des juifs pieux et humbles peuvent conduire une réforme. A la compréhension de tout cela, il nous faut avoir la plus grande humilité qui doit être accompagnée d’un amour désintéressé, cela, envers les âmes de ce christianisme déchu, ceux qui en sont sortis et ceux qui en sortiront. Il nous faut s’écarter de ce cercle vicieux qui consiste à dédaigner tout ce qui n’est pas de notre position spirituelle, anéantir l’arrogance et augmenter notre amour pour toutes les brebis perdues. Sachons que si nous nous comportons avec arrogance et mépris, nous serons à notre tour séparés de l’olivier franc, du plan menant à la racine juive. Personne sur cette terre, en dehors des juifs, n’est au-dessus de l’autre, c’est le monde qui tente de le faire croire, mais lorsque nous recevons des révélations à cause de l’amour que nous leur portons, il nous est défendu de les garder pour soi sous peine de châtiments divins. Voyons plus l’œuvre du Créateur, nous, nous ne sommes que des porteurs de bonnes nouvelles, nous sommes des semeurs, des laboureurs à quelques uns et quelque part, nous dérangeons, nous bousculons un ordre chrétien mal établi et maudit. Prenons garde de ne pas refuser d’entendre celui qui parle !
Si l’arbre est tordu, il lui faut un tuteur, nos êtres ont besoin d’être redressés de la même façon et quand il s’agit de désapprendre, nos orgueils sont touchés au plus profond. Nous sommes à une époque de rébellion, au comble de la susceptibilité, et avons pris l’habitude de ne plus supporter les reproches. Du moins, en ce qui concerne les cœurs mal affermis, cela se traduit ainsi, pourtant, il n’y a que de l’amour dans la démarche, et de simples conseils. Celui qui donne, donne ce qu’il a reçu, il n’est donc pas l’artisan de telle ou telle révélation, il ne fait que perpétuer à son prochain ce que le Tout-Puissant a révélé, à lui soient l’honneur et la gloire ! Il n’y a donc pas de condamnation pour qui que ce soit, celui qui méprise ou refuse ses oracles, il se condamne lui-même par son propre choix. S’il nous envoie des révélations, c’est uniquement pour sonder notre amour envers lui et tester notre foi, notre disposition à nous remettre en question car il n’y a rien d’acquis tant qu’il n’est pas venu. C’est pour cela qu’il nous envoie des révélations, elles ont pour but de nous rapprocher de lui par la Torah, de faire connaissance avec notre caractère insoumis et de connaître ce qui arrivera bientôt. Redisons-le, tous et toutes sont concernés par ce constat et même en premier chef, celui qui écrit cette lettre inspirée. A l’évidence, nous sommes tous des boiteux, des aveugles, des sourds et des estropiés de la vie et c’est pour cela que l’Auteur de la vie vient à nous. Sommes-nous malades au point de refuser les cadeaux du Ciel ! Toute nouvelle révélation provoque un réveil de l’être, un sursaut du cœur et d’un seul coup, tout revit ! Le but est d’y faire pénétrer une espérance sans faille, une foi nouvelle et une certitude qu’aucun homme ne puisse les ôter. Si nous pouvons réaliser ces choses et nous concentrer sur ce que le Seigneur peut et veut nous révéler, alors, nous avons compris une grande part de ce qu’il attend de nous. Fini la guerre de l’égo, de la 1ère place ou du plus érudit d’entre nous, avec la compréhension « d’Efraïm », prenons conscience d’une nouvelle étape et d’une entrée dans une nouvelle dimension. Il est grand temps de se regarder dans le miroir de la Vérité pour connaître l’état de notre caractère, ce qui nous freine et nous empêche de voir les merveilles qu’il nous a réservées. C’est avec l’esprit d’un enfant que l’on peut estimer à sa juste valeur, les trésors envoyés par son bon soin, ne foulons pas aux pieds les perles ! Il est important de comprendre notre fonctionnement et celui-ci diffère les uns des autres, car ce qui nuit dans l’avancement de notre foi, c’est nous-mêmes, apprendre à se connaître dans la présence du Seigneur devrait être une priorité. N’oublions pas que c’est notre caractère, à l’image du Machiah à venir, qui connaîtra les faveurs de la vie éternelle ! Il nous faut donc comprendre le mécanisme qui tient au fait de l’envoi, par lui-même, de nouvelles révélations, pourquoi et dans quel but ?
Dans la profonde réforme qu’il opère en nous, il inscrit son dessein céleste, celui qui consiste à harceler ou éprouver le Créateur pour obtenir des réponses aux questions. En effet, il nous habitue à rechercher la vérité, et pour cela, il nous envoie des révélations comme un test à notre encontre pour voir si nous avons faim et soif de lui. Cette pédagogie est utile à lui et à nous, à lui, afin qu’il vérifie le bien-fondé de l’amour que nous lui portons et là, personne ne peut le tromper ! A nous, afin que nous puissions prendre de bonnes habitudes en vue du ciel, pour quel objectif ? Il veut nous faire réaliser cette éternité qui sera, pour une grande part, vécu dans l’explication de l’histoire de notre univers. Pendant l’éternité, toutes les questions trouveront des réponses, à plus forte raison ici-bas, nous devons toujours être en recherche et sans se lasser, à toujours vouloir comprendre les desseins du Maître. Au paradis, nous serons dans le même état d’esprit à essayer de connaître le pourquoi, le comment des choses terrestres et célestes. Les révélations sont bienfaisantes pour l’âme, elles enracinent dans nos cœurs des certitudes sur l’avenir, la foi devient bouillante et l’esprit veillant. Le fait même de les comprendre ou de les recevoir produit cette assurance que l’Eternel est avec nous, avons-nous besoin d’autre chose pour notre bonheur ! Les chrétiens reprochent aux juifs de ne pas reconnaître le « Yéchou’a » alors que ceux-ci témoignent, chaque chabbat, de son salut ! La parole du Maître est dans la moindre fibre du juif tandis qu’elle est éloignée du cœur du chrétien ! C’est pour cela qu’il est écrit : « En ces jours-là, dix hommes de toutes les langues des nations saisiront un juif par le pan de son vêtement, et diront : nous irons avec vous, car nous avons appris qu’Adonaî est avec vous ». Autre chose, nous constatons que « babylone » s’est ancrée dans le cœur de la nature humaine, celle-ci freine, retient et endort, tout est préparé à l’avance et la spontanéité a disparu. Nous avons perdu, peu à peu, cet entrain, cette violence qui nous porte vers l’avant, ce naturel d’enfant. N’ayons pas peur de le dire, une fois sortis de « Babylone », nous avons tout à apprendre et à désapprendre sur notre caractère, notre comportement, notre pensée et notre langage. Il est grand temps de calquer le caractère de la Torah vivante sur le nôtre, d’avoir une volonté et une persévérance dans notre conduite de tous les jours. Un renouvellement et une disposition d’esprit doivent naître en nous, dans l’exhortation, la louange et la prière, la gestuelle et la parole doivent s’adapter à celles des juifs, le plus naturellement possible, qui est aussi celle de l’Eternel. Ainsi, quand nous aimons, nous ne voyons plus ces choses comme un fardeau, bien au contraire, comme une guérison. Il nous est demandé d’effacer en nous tout ce qui émane du christianisme, soit du monde profane, toutefois, nous devons garder le Salut et sa Délivrance et nous efforcer à ôter en nous, les préceptes humains et religieux amassés depuis des siècles, seule la parole doit demeurer en nous. Si le décryptage d’une révélation produit seulement un acquis chez celui qui le reçoit, il y a vice de forme car celle-ci doit opérer en nous plusieurs choses à la fois. Nous ne sommes pas sur cette terre pour amasser des tonnes de connaissances si celles-ci ne produisent aucune transformation dans nos caractères et dans nos vies. Nous devrions plutôt souffrir d’être sous le joug de Babylone, la relation avec le Créateur ne doit pas être une mascarade, une mode ou du folklore, nous avons abandonné la crainte pour une présomption de foi. Une certitude des choses à venir, une foi croissante, la présence du Seigneur, un dopage contre l’inertie doivent être les éléments pratiques et révélateurs en nous : l’action supplante ainsi les longs discours. Ceux qui labourent et retournent les révélations de la Torah vivante ne sont pas pris au sérieux ou alors pris pour des orgueilleux, pourtant ces œuvres ne leur appartiennent pas, simplement ils les dispensent de la même manière qu’ils l’ont reçu. Beaucoup de ceux qui prétendent rechercher l’Eternel passent trop de temps à ergoter ou s’opposer aux nouvelles lumières. Nous savons qu’il faut toujours examiner toutes choses et retenir ce qui est bon, trop d’hommes et de femmes se bornent à se satisfaire du minimum, et par conséquent, ne poussent pas plus loin leurs recherches spirituelles. Quel triste constat ! Or, il y a un grand danger de se satisfaire du minimum spirituel, beaucoup se sont perdus pour cela ! A quand le réveil ? Le départ pour Sion dépend de tout ce qui vient d’être dit, celui ou celle qui n’aura pas rempli sa lampe d’huile, c'est-à-dire, celui ou celle qui n’aura pas apprécié, à sa juste valeur, les prophéties, aura bien du mal à résister aux attaques de la « prostituée ». celui ou celle qui ne veut pénétrer dans ce schéma ne verra point la lumière ! Pour « Efraïm », l’étude des haftaroth conduit à mieux appréhender, comprendre et pénétrer dans la Torah vivante. Ne négligeons pas ses trésors qui ont le but d’encourager et de développer notre foi, un bienfait pour nos êtres. Si nous aimons et enracinons ces choses dans nos cœurs, nous pourrons mieux résister et lutter contre l’ennemi, elles laissent une trace indélébile dans le coeur. Un rouleau de feu de destruction est devant nous, sachons prendre au sérieux les révélations de la Délivrance pour qu’il nous y fasse traverser sans dommages. « Sion » symbolise le caractère du Machiah, ses prophéties sont là pour nous aider à revêtir toutes les armes vertueuses de la vérité. Celles du prophète Daniel et la révélation de Jean ont permis de découvrir la fin ou la non-existence du christianisme, celle d’Ezéchiel ( chapitre.38 ) nous a fait redécouvrir le retour à la bénédiction entière du peuple juif circoncis de chair et de coeur, par deux conflits dirigés contre eux. L’étude sur « Efraïm » symbolise les rachetés des nations ou les dix tribus perdues d’Israël par son union d’avec « Juda » et, « Sion » marquant le caractère de Machiah, son témoignage, qui est aussi l’Esprit de prophétie. Après cela, sommes-nous arrivés aux termes des révélations ? Loin de là, nous en sommes qu’aux prémices, aux balbutiements de la vérité, et si nous avons l’amour de la vérité, alors le Tout-puissant nous comblera de sa sagesse et de sa science durant l’éternité. Il est grand temps de mettre son âme au travail avec une volonté doublée d’une humilité pour le salut de notre âme, triplée d’une espérance sans faille car nous sommes entrés dans le temps du Machiah, et, il ne laissera personne diriger son œuvre immense et merveilleuse, une œuvre unique et étonnante !
« Efraïm est une génisse bien dressée, aimant à fouler le blé ; mais moi, je passerai sur son cou superbe, je ferai atteler Efraïm ; il faudra que Yéhuda laboure, que Yaacov traîne la herse. Faites vos semailles selon la justice et vous moissonnerez selon la loi d’amour »
Chalom à Yéhuda et Efraïm.
jef- Messages : 5
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Re: Sion : Trône du Machiah.
jef a écrit:Sion : Trône du Machiah.
Par les livres du prophète Daniel et de la révélation de Jean (livre de la Torah et livre de la Délivrance), nous avons découvert et compris la chute ferme et définitive de tout l’ensemble du christianisme. A partir du moment où celui-ci a persisté à ne pas observer les commandements et préceptes divins, il ne faut pas s’étonner que le maître du monde s’en soit écarté. Cette désignation a été donnée par les païens mêmes de l’époque apostolique ou primitive, aujourd’hui, ce qualificatif sied parfaitement à cette dénomination à cause du pur paganisme qui règne chez toutes ces obédiences chrétiennes. Par la compréhension de cette prophétie, nous ne pouvons nous réclamer « chrétien », si toutefois, l’on devait encore se revendiquer de ce nom d’origine païenne : pas plus maintenant qu’hier. L’homme a toujours eu ce besoin d’étiqueter les choses afin de montrer sa différence vis-à-vis de son prochain. Pourquoi ne pas se dire tout simplement « serviteur » , avec pour unique et permanent but de rechercher la vérité ! Depuis 2000 années, par l’envoi de ses serviteurs, le Seigneur a toujours mis en garde ce christianisme païen, l’a menacé de se retirer définitivement du milieu d’eux et de le livrer à l’abîme. C’est une bonne chose qu’il en soit ainsi car la confusion entretient le mal ! Il n’y a qu’un seul salut, celui qui vient des juifs ! Heureusement, cette chose s’est réalisée en 1994, dans l’indifférence totale de cette organisation, pour le plus grand malheur de tous ceux et celles qui sont demeurés dans ces églises « babyloniennes ». Attention ! le christianisme n’est plus ( d’ailleurs a-t-il été un jour ?), mais les créatures qui séjournent à l’intérieur des églises sont encore vivantes spirituellement, elles le seront qu’à la condition de sortir de cette « Babylone amalécienne » c’est la première étape, dans un premier temps ! Le Salut a été mis devant chacun de nous, avec autant d’étapes à franchir afin d’être purifiés, rappelons les : la reconnaissance et la mise en pratique de la Loi divine ou torah, l’étude des prophéties et le témoignage de la « délivrance » conduisant à la transformation du caractère. La vie pour le Salut est jalonnée d’étapes à gravir, l’on croit être arrivé au terme de la connaissance et de la réforme du caractère, il en est rien en réalité ! Tout au long des 2000 ans qui ont suivi ce témoignage de la délivrance, le Seigneur a su garder un « reste » fidèle dans l’ombre, il s’est, à chaque fois, pris d’affection pour ses faibles troupeaux représentant l’alliance renouvelée des nations. Ce « reste » a un premier point commun avec les juifs : il a été persécuté ! Les chrétiens ont, depuis 321 et l’abandon du Chabbat, privilégié l’amour fraternel à l’amour divin, écouté les hommes influents des églises au détriment des prophètes, pratiqué une lecture superficielle au lieu d’une étude persévérante et creusée de la Parole sainte, cultivé le mensonge au détriment de la vérité. Ainsi, pendant 2000 ans environ, une minorité d’enfants de l’alliance renouvelée (Efraïm) vivait au milieu d’une majorité de chrétiens. Sans attendre la chute de cette « babylone », « Efraïm » est revenu à la source de la vie, ayant toujours vécu en dehors du christianisme. Un séjour dans le désert est toujours utile pour que le Seigneur puisse parler à nos coeurs. Puis, l’assistance du Maître se faisant, une nouvelle voie a été donnée, ou plutôt un retour à la racine juive, il devient évident qu’il ne fallait pas s’en détourner de cette racine. La révélation d’Ezéchiel chapitre 38 décryptée dans la foulée a permis cette évidence. Cette traduction montre 2 rois du nord en conflit contre Israël ( type et antitype), d’une part, l’alliance russo-musulmane et d’autre part, la coalition protestante américaine-papale (voir décryptage de Daniel et révélation). La protection divine envers le peuple juif se fait jour à la compréhension de la lecture d’Ezéchiel, mais pas seulement, des révélations d’Esaïe, Jérémie, Zacharie, Joël, en autres, convergent dans le même sens. Du fait, c’est tout naturellement vers les « juifs » qu’il faut désormais se tourner, en ce qui concerne les nations,. La bénédiction est venue vers eux pour cause d’incrédulité puis du déracinement de l’olivier sauvage ( christianisme ), là encore, nous parlons pour le faible « reste » des peuples de la terre. Nous voyons que le manque d’amour de la vérité peut se payer très cher, le mépris de l’étude des prophéties ne peut conduire qu’à une impasse ! Pour ce qui est du christianisme, ce ne sont pas les hommes qui le condamnent, c’est la Parole du Maître ! Et le fait que la condamnation soit tombée sur celui-ci est due à trois choses : l’abandon des commandements du Créateur, l’indifférence vis-à-vis du témoignage de la Délivrance, et la conséquence des deux conduisant à la suffisance d’un caractère rebelle et insensible. Nous sommes tous passés par là mais quelques uns ont su réagir en se faisant violence et en entreprenant une étude sérieuse et conduite de la Parole dans l’humilité, dans l’effacement et le désintéressement de soi, avec une soif énorme de comprendre les choses qui doivent arriver bientôt. Puis, le Seigneur a dirigé le cœur sur l’étude d’ « Efraïm », cette entité symbolique caractérise les rachetés( de racines juives) des nations, ceux qui sont sortis ou qui sortiront de Babylone. Derrière cette dernière identité se cache la Rome papale, révélée dans les prophéties de Daniel et de Jean, ainsi, à la manière d’une pieuvre, elle a su étendre ses tentacules sur tout ce qui se meut sur la terre tant civil que religieux (hormis le plus beau des pays, quoique!). Dans un temps de paix et à la manière de son maître : le diable (Amalek), elle a su séduire le christianisme tout entier par un jour marqué de la bête (bil’am) : le dimanche ou 1er jour de la semaine. Ainsi, ceux qui sont sortis du milieu d’elle forment aujourd’hui la tribu d’Efraïm (symbole), mais sachons que celui-ci sera, à son tour, éprouvé et épuré, car il ne suffit pas seulement de s’écarter de babylone. La chute du christianisme est due à sa suffisance, au mépris même des révélations, à sa présomption de foi et de salut, à sa calomnie envers les juifs et la thora. Depuis 321, le paganisme a pris de plus en plus de place chez les chrétiens (Noël, Toussaint, calendrier faussé, sainte cène hebdomadaire, commandements d’homme, dimanche, etc …). Leur livre même (nouveau testament) les condamne tout entier, le Maître les a confondus dans leur propre lecture, ainsi, ils ont commencé par rejeter le 1er oint (thora) et ont fini par fouler au pied le 2ème oint (nouveau testament), soit la « torah » et le livre de la délivrance. En fait, il faut se rendre à l’évidence qu’il n’a jamais existé, ce sont des hommes qui l’ont bâti. La seule fois où l’alliance renouvelée a été bénie, c’est à l’époque apostolique, et pourquoi ? Tout simplement parce que les hommes qui formaient cette alliance, étaient « juifs » Une fois de plus, seuls des juifs pieux et humbles peuvent conduire une réforme. A la compréhension de tout cela, il nous faut avoir la plus grande humilité qui doit être accompagnée d’un amour désintéressé, cela, envers les âmes de ce christianisme déchu, ceux qui en sont sortis et ceux qui en sortiront. Il nous faut s’écarter de ce cercle vicieux qui consiste à dédaigner tout ce qui n’est pas de notre position spirituelle, anéantir l’arrogance et augmenter notre amour pour toutes les brebis perdues. Sachons que si nous nous comportons avec arrogance et mépris, nous serons à notre tour séparés de l’olivier franc, du plan menant à la racine juive. Personne sur cette terre, en dehors des juifs, n’est au-dessus de l’autre, c’est le monde qui tente de le faire croire, mais lorsque nous recevons des révélations à cause de l’amour que nous leur portons, il nous est défendu de les garder pour soi sous peine de châtiments divins. Voyons plus l’œuvre du Créateur, nous, nous ne sommes que des porteurs de bonnes nouvelles, nous sommes des semeurs, des laboureurs à quelques uns et quelque part, nous dérangeons, nous bousculons un ordre chrétien mal établi et maudit. Prenons garde de ne pas refuser d’entendre celui qui parle !
Si l’arbre est tordu, il lui faut un tuteur, nos êtres ont besoin d’être redressés de la même façon et quand il s’agit de désapprendre, nos orgueils sont touchés au plus profond. Nous sommes à une époque de rébellion, au comble de la susceptibilité, et avons pris l’habitude de ne plus supporter les reproches. Du moins, en ce qui concerne les cœurs mal affermis, cela se traduit ainsi, pourtant, il n’y a que de l’amour dans la démarche, et de simples conseils. Celui qui donne, donne ce qu’il a reçu, il n’est donc pas l’artisan de telle ou telle révélation, il ne fait que perpétuer à son prochain ce que le Tout-Puissant a révélé, à lui soient l’honneur et la gloire ! Il n’y a donc pas de condamnation pour qui que ce soit, celui qui méprise ou refuse ses oracles, il se condamne lui-même par son propre choix. S’il nous envoie des révélations, c’est uniquement pour sonder notre amour envers lui et tester notre foi, notre disposition à nous remettre en question car il n’y a rien d’acquis tant qu’il n’est pas venu. C’est pour cela qu’il nous envoie des révélations, elles ont pour but de nous rapprocher de lui par la Torah, de faire connaissance avec notre caractère insoumis et de connaître ce qui arrivera bientôt. Redisons-le, tous et toutes sont concernés par ce constat et même en premier chef, celui qui écrit cette lettre inspirée. A l’évidence, nous sommes tous des boiteux, des aveugles, des sourds et des estropiés de la vie et c’est pour cela que l’Auteur de la vie vient à nous. Sommes-nous malades au point de refuser les cadeaux du Ciel ! Toute nouvelle révélation provoque un réveil de l’être, un sursaut du cœur et d’un seul coup, tout revit ! Le but est d’y faire pénétrer une espérance sans faille, une foi nouvelle et une certitude qu’aucun homme ne puisse les ôter. Si nous pouvons réaliser ces choses et nous concentrer sur ce que le Seigneur peut et veut nous révéler, alors, nous avons compris une grande part de ce qu’il attend de nous. Fini la guerre de l’égo, de la 1ère place ou du plus érudit d’entre nous, avec la compréhension « d’Efraïm », prenons conscience d’une nouvelle étape et d’une entrée dans une nouvelle dimension. Il est grand temps de se regarder dans le miroir de la Vérité pour connaître l’état de notre caractère, ce qui nous freine et nous empêche de voir les merveilles qu’il nous a réservées. C’est avec l’esprit d’un enfant que l’on peut estimer à sa juste valeur, les trésors envoyés par son bon soin, ne foulons pas aux pieds les perles ! Il est important de comprendre notre fonctionnement et celui-ci diffère les uns des autres, car ce qui nuit dans l’avancement de notre foi, c’est nous-mêmes, apprendre à se connaître dans la présence du Seigneur devrait être une priorité. N’oublions pas que c’est notre caractère, à l’image du Machiah à venir, qui connaîtra les faveurs de la vie éternelle ! Il nous faut donc comprendre le mécanisme qui tient au fait de l’envoi, par lui-même, de nouvelles révélations, pourquoi et dans quel but ?
Dans la profonde réforme qu’il opère en nous, il inscrit son dessein céleste, celui qui consiste à harceler ou éprouver le Créateur pour obtenir des réponses aux questions. En effet, il nous habitue à rechercher la vérité, et pour cela, il nous envoie des révélations comme un test à notre encontre pour voir si nous avons faim et soif de lui. Cette pédagogie est utile à lui et à nous, à lui, afin qu’il vérifie le bien-fondé de l’amour que nous lui portons et là, personne ne peut le tromper ! A nous, afin que nous puissions prendre de bonnes habitudes en vue du ciel, pour quel objectif ? Il veut nous faire réaliser cette éternité qui sera, pour une grande part, vécu dans l’explication de l’histoire de notre univers. Pendant l’éternité, toutes les questions trouveront des réponses, à plus forte raison ici-bas, nous devons toujours être en recherche et sans se lasser, à toujours vouloir comprendre les desseins du Maître. Au paradis, nous serons dans le même état d’esprit à essayer de connaître le pourquoi, le comment des choses terrestres et célestes. Les révélations sont bienfaisantes pour l’âme, elles enracinent dans nos cœurs des certitudes sur l’avenir, la foi devient bouillante et l’esprit veillant. Le fait même de les comprendre ou de les recevoir produit cette assurance que l’Eternel est avec nous, avons-nous besoin d’autre chose pour notre bonheur ! Les chrétiens reprochent aux juifs de ne pas reconnaître le « Yéchou’a » alors que ceux-ci témoignent, chaque chabbat, de son salut ! La parole du Maître est dans la moindre fibre du juif tandis qu’elle est éloignée du cœur du chrétien ! C’est pour cela qu’il est écrit : « En ces jours-là, dix hommes de toutes les langues des nations saisiront un juif par le pan de son vêtement, et diront : nous irons avec vous, car nous avons appris qu’Adonaî est avec vous ». Autre chose, nous constatons que « babylone » s’est ancrée dans le cœur de la nature humaine, celle-ci freine, retient et endort, tout est préparé à l’avance et la spontanéité a disparu. Nous avons perdu, peu à peu, cet entrain, cette violence qui nous porte vers l’avant, ce naturel d’enfant. N’ayons pas peur de le dire, une fois sortis de « Babylone », nous avons tout à apprendre et à désapprendre sur notre caractère, notre comportement, notre pensée et notre langage. Il est grand temps de calquer le caractère de la Torah vivante sur le nôtre, d’avoir une volonté et une persévérance dans notre conduite de tous les jours. Un renouvellement et une disposition d’esprit doivent naître en nous, dans l’exhortation, la louange et la prière, la gestuelle et la parole doivent s’adapter à celles des juifs, le plus naturellement possible, qui est aussi celle de l’Eternel. Ainsi, quand nous aimons, nous ne voyons plus ces choses comme un fardeau, bien au contraire, comme une guérison. Il nous est demandé d’effacer en nous tout ce qui émane du christianisme, soit du monde profane, toutefois, nous devons garder le Salut et sa Délivrance et nous efforcer à ôter en nous, les préceptes humains et religieux amassés depuis des siècles, seule la parole doit demeurer en nous. Si le décryptage d’une révélation produit seulement un acquis chez celui qui le reçoit, il y a vice de forme car celle-ci doit opérer en nous plusieurs choses à la fois. Nous ne sommes pas sur cette terre pour amasser des tonnes de connaissances si celles-ci ne produisent aucune transformation dans nos caractères et dans nos vies. Nous devrions plutôt souffrir d’être sous le joug de Babylone, la relation avec le Créateur ne doit pas être une mascarade, une mode ou du folklore, nous avons abandonné la crainte pour une présomption de foi. Une certitude des choses à venir, une foi croissante, la présence du Seigneur, un dopage contre l’inertie doivent être les éléments pratiques et révélateurs en nous : l’action supplante ainsi les longs discours. Ceux qui labourent et retournent les révélations de la Torah vivante ne sont pas pris au sérieux ou alors pris pour des orgueilleux, pourtant ces œuvres ne leur appartiennent pas, simplement ils les dispensent de la même manière qu’ils l’ont reçu. Beaucoup de ceux qui prétendent rechercher l’Eternel passent trop de temps à ergoter ou s’opposer aux nouvelles lumières. Nous savons qu’il faut toujours examiner toutes choses et retenir ce qui est bon, trop d’hommes et de femmes se bornent à se satisfaire du minimum, et par conséquent, ne poussent pas plus loin leurs recherches spirituelles. Quel triste constat ! Or, il y a un grand danger de se satisfaire du minimum spirituel, beaucoup se sont perdus pour cela ! A quand le réveil ? Le départ pour Sion dépend de tout ce qui vient d’être dit, celui ou celle qui n’aura pas rempli sa lampe d’huile, c'est-à-dire, celui ou celle qui n’aura pas apprécié, à sa juste valeur, les prophéties, aura bien du mal à résister aux attaques de la « prostituée ». celui ou celle qui ne veut pénétrer dans ce schéma ne verra point la lumière ! Pour « Efraïm », l’étude des haftaroth conduit à mieux appréhender, comprendre et pénétrer dans la Torah vivante. Ne négligeons pas ses trésors qui ont le but d’encourager et de développer notre foi, un bienfait pour nos êtres. Si nous aimons et enracinons ces choses dans nos cœurs, nous pourrons mieux résister et lutter contre l’ennemi, elles laissent une trace indélébile dans le coeur. Un rouleau de feu de destruction est devant nous, sachons prendre au sérieux les révélations de la Délivrance pour qu’il nous y fasse traverser sans dommages. « Sion » symbolise le caractère du Machiah, ses prophéties sont là pour nous aider à revêtir toutes les armes vertueuses de la vérité. Celles du prophète Daniel et la révélation de Jean ont permis de découvrir la fin ou la non-existence du christianisme, celle d’Ezéchiel ( chapitre.38 ) nous a fait redécouvrir le retour à la bénédiction entière du peuple juif circoncis de chair et de coeur, par deux conflits dirigés contre eux. L’étude sur « Efraïm » symbolise les rachetés des nations ou les dix tribus perdues d’Israël par son union d’avec « Juda » et, « Sion » marquant le caractère de Machiah, son témoignage, qui est aussi l’Esprit de prophétie. Après cela, sommes-nous arrivés aux termes des révélations ? Loin de là, nous en sommes qu’aux prémices, aux balbutiements de la vérité, et si nous avons l’amour de la vérité, alors le Tout-puissant nous comblera de sa sagesse et de sa science durant l’éternité. Il est grand temps de mettre son âme au travail avec une volonté doublée d’une humilité pour le salut de notre âme, triplée d’une espérance sans faille car nous sommes entrés dans le temps du Machiah, et, il ne laissera personne diriger son œuvre immense et merveilleuse, une œuvre unique et étonnante !
« Efraïm est une génisse bien dressée, aimant à fouler le blé ; mais moi, je passerai sur son cou superbe, je ferai atteler Efraïm ; il faudra que Yéhuda laboure, que Yaacov traîne la herse. Faites vos semailles selon la justice et vous moissonnerez selon la loi d’amour »
Chalom à Yéhuda et Efraïm.
Bien! bien et c'est tout !!!
Dites-moi la promesse faite à notre Patriarche commun Abraham s'est-elle réalisée dans le judaïsme de l'Ancien Alliance ou dans le christianisme de la Nouvelle Alliance ? Il y a en effet autant de chrétiens que d'étoiles dans le ciel !!!
Dans la Trinité de Dieu, qu'il vous bénisse
P+
pédro- Messages : 62
Date d'inscription : 26/12/2011
Re: Sion : Trône du Machiah.
Stéphane a écrit:Shalom Jef, que YHWH te bénisse,
Je réponds à la suite du post le plus récent :
A la première lecture de ce texte dense, il est difficile de trouver à rediremais cela mérite bien une relecture plus attentive. A priori je partages pratiquement ce qui s'y dit, si ce n'est que je prendrais dans certains cas, des précautions pour adoucir quelques "angles" trop acérés à mon humble avis.
Ce discours relève quasiment de la harangue prophétique et de l'exhortation spirituelle. ça me plait bien, si les actions de l'orateur se rapportent à son discours (sans ironie aucune), cela laisse présager de grands évènements en préparation dans les secrets desseins de YHWH !
En ce qui concerne les déviances doctrinales et autres hérésies, je me suis souvent amusé à dire à qui voulait l'entendre dans la synagogue que je fréquente en tant que "goy messianique" et "judéophile sioniste" : "le christianisme n'existe pas en soi, c'est du judaïsme dans son accomplissement prophétique ! Il n'y a pas 3 monothéismes, au pire on pourrait dire 2 (en excluant de facto l'islam qui ne peut être de la même inspiration divine), mais en réalité un seul, la religion même encore pratiquée à l'époque du 2nd Temple, celle que pratiquaient justement Yéshoua et ses disciples..."
Par ailleurs, il faut tout de même reconnaître que certaines branches du judaïsme contemporain en sont arrivées à subir les mêmes affres en matière d'hérésies que toutes les dénominations chrétiennes, à entendre ou voir les croyances et pratiques supersticieuses qui sont en opposition formelle avec l'enseignement du TeNaKh et la foi en la résurrection des morts, et non pas la réincarnation des âmes sous l'appellation de "guigoulim"...
Aussi, en conclusion, et humblement si je puis me permettre la question, suite à ce bombardement de 14 messages identiques à forte teneur, largués en deux fois sur le forum aux endroits stratégiques... : à qui donc avons nous l'honneur ?
Jef est-il l'auteur de ces lignes intéressantes, ou à défaut, de qui et d'où émanent-elles, si ça n'est pas indiscret ??? J'ai connu un auditeur sur ma radio qui se nommait aussi Jeff, ayant un discours bien étayé... on ne sait jamais.
"Chalom à Yéhuda et Efraïm", d'accord, mais sans oublier les "Maamine Yéshoua HaMashiah' " (fidèles de Jésus-Christ) qui a priori ne descendraient généalogiquement ou éthniquement ni de l'un ni de l'autre, ou détrompez-moi génotype en main !
Foi de gaulois breton pur beurre !
Messianiquement votre.
Stéphane
Chalom Stéphane !
Je suis celui qui a écrit ce texte mais Yachou'a en est l'auteur en esprit ! Depuis vingt ans, je suis plongé dans les haftarot {prophéties} de la Torah et du livre de la Délivrance {les deux oints qui composent la Bible}. Je fais de chaque mot mes délices en recherchant la vraie traduction ainsi que l’étymologie qui va avec, je suis amoureux de la parole à un point qu'un jour le Seigneur est entré dans mon étude amusée et m'a conduit dans les vérités concernant le temps de la fin. En fait, Il s'est saisi de moi et c'est pour cela que toutes les révélations qu'il m'a fait connaître, par Sa grâce, ne sont qu'à Sa gloire et il faut que cela reste ainsi. Concernant Yéhuda {les Juifs de chair} et Efraïm {le reste des rachetés juifs de cœur des nations}, il est évident que Yachou'a {véritable nom juif du Rédempteur} descendant de Yéhuda {Juda} et les apôtres {juifs de Juda et d'Efraïm : dix tribus perdues} ne font qu'un avec Yéhuda et Efraïm, qui sont deux noms prophétiques et symboliques désignant la future alliance décidée par Yachou'a.
Je suis "Jef" résidant dans la Drôme {26}, originaire du Nord de la France et vouant ma vie à celui qui m'a délivré d'une mort certaine au vue de ma vie terrestre. J'ai 48 ans dont 21 années au service de Yachou'a, 21 années de Chabbat dont 2 passées à la synagogue de Valence. Cette année, j'ai effectué deux voyages en Israël dont un à Jérusalem où j'ai rencontré des juifs passionnés des haftarot et portant dans leur caractère celui du Sauveur. Le temps est court, nous n'avons plus beaucoup de temps, et devant nous est Sion et sa Délivrance. Attend Sion, le Seigneur se révèle à Sion !
Chalom ouvraha !
jef- Messages : 5
Date d'inscription : 24/12/2011
Age : 61
Localisation : Valence {Drôme}
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