Israel torture ses enfants Juifs

MainOpEdsThe la torture d’un enfant juif

La torture d’un enfant juif
L’accusation n’a aucune preuve que les deux défendeurs juives ont aucun lien avec ce crime. Ils ont des aveux qui la Shabak admet qu'elle obtenue après avoir torturé impitoyablement ces jeunes garçons Juifs pendant deux semaines.

Il est inconcevable de ce qui se passe actuellement en Israël. Le monde juif est silencieux comme deux garçons Juifs ont été sauvagement torturés et incarcérés par la suite pendant plus de deux ans.

Je fais référence à ce que l'on appelle « l’affaire Douma ». J’ai fouillerai pas dans les aspects juridiques de cette affaire. La preuve de la culpabilité des défendeurs est perçue comme fictif et sans fondement par beaucoup... Je vais plutôt me concentrer sur la dimension humaine... sur la douleur sévère et implacable des parents et des enfants qui sont tourmentés par des souffrances indicibles et intraitable.

Il y a plusieurs signes indiquant que l’incendie criminel à Douma, dans lequel 3 arabes de l’Abu Dawabsha clan ont été tués, était le résultat d’un conflit interne des arabes au sein du clan Dawabsha. Nouveaux cas d’incendies criminels ont eu lieu à Douma après cette affaire, où le consensus unanime de la police israélienne et l’armée était que les incendies ont été allumés par les arabes de la ville. Une analyse calligraphique d’un slogan hébraïque anti-arabe dans la Douma indique qu’il a été écrit par arabophones...

Du point de vue juridique, l’accusation n’a aucune preuve que les deux défendeurs juives n’ont aucun lien avec ce crime. La seule « preuve » qu’ils ont est des aveux qui la section juive du Shabak obtenue après avoir impitoyablement torturé 16 ans, Elisha O. et âgé de 18 ans Amiram Ben Uliel pendant deux semaines. Incroyablement, la Shabak commis ces actes avec l’imprimatur aux plus hauts niveaux du gouvernement, à partir du Bureau du premier ministre, le Bureau du Procureur général, la police et le chef du Shabak.


Je tiens à mettre l’accent sur les tortures sévères subies par plusieurs jeunes Juifs, dont la majorité ont été libérée sans inculpation, tandis que deux autres ont été croupissent en prison maintenant depuis plus de deux ans. Les tribunaux sont maintenant peser si utilisable légalement leurs aveux de culpabilité même si le ministère public admet que ces aveux ont été obtenus sous la torture sévère.

Un de ces garçons interrogés a témoigné que les interrogateurs Shabak placent sur une chaise basse et sans dossier, enchaîné à une chaise, les jambes pliées en retour et attaché à une chaise. Les interrogateurs ont alors par la force, plié à son dos jusqu'à ce que sa tête a touché le sol et le dos forment un « arc opposé ». Ils lui maintenu dans cette position pendant plusieurs nuits ensemble. La douleur causée par cette torture était insupportable. Les interrogateurs a crié dans son visage que s’il veut être libéré, il doit avouer à l’incendie criminel et crimes ils l’accusaient de.

La torture a duré deux semaines. Elle comprenait la privation de sommeil prolongée, gifles, coups, des malédictions, des menaces, étant attaché dans corps impossible des postes qui a causé une douleur atroce et l’évanouissement.

Un de ces garçons interrogés a témoigné qu’un interrogateur battre son estomac, alors qu’un autre interrogateur jeta sa tête jusqu'à ce qu’un médecin devait être appelé.

Une autre fois, un des garçons était enchainée avec ses pieds sur une chaise, les mains menottées derrière lui. Les interrogateurs leva les bras jusqu'à ce qu’ils forment un angle de 90 degrés avec son dos, stoppant ainsi l’écoulement du sang dans ses mains. Le garçon, puis 17 ans, ressenti un engourdissement et froid glacial dans ses mains en raison de la cessation de la circulation sanguine. Puis les interrogateurs lui a donné un électrochoc et il sentait ses mains brûlant avec une douleur terrible. Le choc a été si fort que le garçon a été jeté à terre.

Il existe d’autres témoignages terribles et les plus horribles que je ne décrirai pas ici. Les deux garçons ont été finalement prêts à dire n’importe quoi pour arrêter la souffrance, la douleur et l’angoisse. Un des garçons, Elisha O., qui était un simple 16, tenté de se suicider. Il a supplié les tortionnaires pour lui dire ce qu’ils voulaient lui avouer. Il a dit qu’il reconnaîtrait à quoi que ce soit pour les faire arrêter - même l’assassinat de Rabin, l’assassinat de John Kennedy ou le meurtre d’Arlozoroff.

Il a été signalé qu’au cours d’un procès à huis clos, l’un des accusés a demandé à ses parents de quitter la salle quand il a été appelé à témoigner. Il ne voulait pas de ses parents tourmentés d’entendre parler de sa souffrance sévère.

Depuis plus de deux ans, attentionnés et morales des individus ont tenté de frapper aux portes des membres de la Knesset, des politiciens, des membres de la magistrature, les journalistes, les chefs spirituels... à rien n’y fait. Aujourd'hui, les deux familles dont les fils ont été détenus dans des conditions inhumaines pendant plus de deux ans restent seuls.


Où sont les voix de l’Institut pour la démocratie, le Conseil pour la protection de l’enfance, l’Association pour les droits civils et les rabbins d’Israël ?

Imaginez l’ampleur de la souffrance et l’intensité de l’inquiétude. Essayez d’imaginer comment vous sentiriez-vous si votre enfant a été torturé et emprisonné et vous étiez impuissants pour l’aider. Inconcevable. Insupportable. La souffrance dépasse l’entendement.

Afin de justifier l’utilisation de « mesures spéciales » (torture sévère), les interrogateurs, a affirmé qu’il s’agissait d’une « enquête de nécessité » (afin d’éviter de futures activités terroristes). Cette revendication était totalement infondée et fictif.

Et récemment, l’accusation a demandé que la Cour « reconnaître la torture comme licite »-une demande sans précédent dans l’Etat d’Israël. Il s’agit d’une continuation du procureur tentative du Bureau de convaincre les juges que, malgré l’utilisation de la torture, les confessions ont été données « volontairement » et sont légalement admissible. En outre, ils ont écrit que la torture avait été menée « tout en maintenant la dignité des défenderesses ( !) » Est-il possible de saisir l’ampleur de cette absurdité ?

Je ne sais pas l’issue du procès, mais peut seulement prier qu’Enfin, O. Elisha et Amiram Ben Uliel seront traités avec justice. Il est clair que la torture sévère des deux garçons Juifs doit être soigneusement étudiée. Le cœur et l’esprit ne tolèrent pas que l’Etat juif traite les garçons Juifs où il n’y a aucune preuve claire de la culpabilité d’une manière qui est plus rigoureuse qu’ils traitent les terroristes arabes dont les mains sanglantes ont lieu vers le haut pour tout voir.
Boaz shapiro the torture of a jewish child