Bonjours, je suis nouveau sur ce forum, je suis protestant.
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Forum Juif et Israelite Nazareen - Suiveurs de YHWH - Torah et Yeshoua :: Présentation :: Shalom שָׁלוֹם
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Bonjours, je suis nouveau sur ce forum, je suis protestant.
Bonjours, je suis nouveau sur ce forum, je suis protestant et chrétien, j'ai trouvé ce site par hasard et j'ai été étonné et fort intéressé de constater que l'administrateur de ce site propose une relecture nouvelle de la bible et un retour aux sources en quelque sorte, est ce que vous trouvez normal que des décisions d'homme, c'est à dire des conciles aient la même force de foi que la Bible elle-même ?
Effectivement les religions actuelles sont le résultat de ce que l'église romaine à décidé par les différents conciles et je conteste que ces décisions aie pour l'église la même valeur que la parole de Dieu (c'est à dire qu'elle s'ajoutent à ce que aux écris de la Bible eux-même comme ayant la même force de foi).
D'une manière générale je trouve que la foi se morcèle et que chaque église et même chaque pasteur propose une interprétation personnelle de la Bible et que moi même je suis actuellement perdu dans les différents courants de pensée, il se crée actuellement différents mouvement qui s'institue comme étant la vérité ultime sur le message que délivre la Bible et c'est dommage, chacun en fait à sa sauce et même chaque Pasteur propose sa propre lecture comme étant une révélation de la vérité et c'est dommage d'en arriver là.
Néanmoins, je suis d'accord avec l'administrateur de ce forum l'église romaine en a fait trop et à déformé la foi et il nous faut revenir au sources de la foi telle qu'elle était enseignée par les premiers croyants, le dimanche, le culte de marie en tant que déesse tout ces choses pour moi ne viennent pas de Dieu. Voici les différents conciles et les décisions qui ont influencées de manière ultime le christianisme et la foi, qu'en pensez-vous et est ce que vous trouvez cela juste envers les croyants que nous sommes ?
ANNÉE CONCILE ŒCUMÉNIQUE
325 Concile de Nicée I
381 Concile de Constantinople I
431 Concile d'Éphèse
451 Concile de Chalcédoine
553 Concile de Constantinople II
680-681 Concile de Constantinople III
787 Concile de Nicée II
869-870 Concile de Constantinople IV
1123 Concile de Latran I
1139 Concile de Latran II
1179 Concile de Latran III
1215 Concile de Latran IV
1245 Concile de Lyon I
1274 Concile de Lyon II
1311-1312 Concile de Vienne
1414-1418 Concile de Constance
1431-1445 Concil de Bâle-Ferrare-Florence
1512-1517 Concile de Latran V
1545-1563 Concile de Trente
1869-1870 Concile de Vatican I
1962-1965 Concil de Vatican II
PREMIER CONCILE DE NICÉE
Tenu en 325, ce premier concile œcuménique fut convoqué par Constantin I er , empereur de Rome, pour régler le conflit arien sur l'identité de nature de Jésus-Christ. Sur les 1 800 évêques de l'Empire romain, 318 participèrent au concile.parmi les rsésultats de ce concile on cite :
Le symbole de Nicée qui définit le Fils comme consubstantiel au Père, fut adopté comme représentant la position officielle de l'Église sur la divinité du Christ.
la célébration de Pâques fut décalée au dimanche qui suit la Pâque juive
On donna à l'évêque d'Alexandrie une autorité sur l'Orient semblable à l'autorité quasi patriarcale de Rome mais qui n'était pas, comme il l'a parfois été prétendu, égale à celle du pape. Telle fut l'origine des patriarcats qui apparurent dans l'Église.
.
LE CONCILE CONSTANTINOPLE I (381)
Deuxième concile œcuménique de l'Église, il fut convoqué par Théodose I er , empereur romain. Les cent cinquante évêques présents au concile , les principaux resultats de ce concile furent :
Condannation à hérésie de plusieurs sectes religieuses, notamment les ariens et les manichéens
réaffirmation des résolutions adoptées au concile Nicée I (325).
définition du Saint-Esprit comme étant consubstantiel au Père et au Fils
Inventionde la Trinité composée du pere du fils et du saint esprit ..
proclamation que l'évêque de Constantinople venait en second après l'évêque de Rome dans l'ordre des préséances.
Le concile d'Éphèse,
Éphèse, concile d' (431), troisième concile œcuménique de l'Église chrétienne, qui s'est tenu à Éphèse (aujourd'hui en Turquie). Cette assemblée était présidée par Théodose II, empereur d'Orient, et Valentinien III, empereur romain, pour résoudre la controverse suscitée par la doctrine hérétique du nestorianisme .
Nestorius , né à Germanica Cesare (aujourd'hui Kahramanmaras en Turquie) vers 380, patriarche de Constantinople,a refusé de reconnaître le titre de « mère de Dieu » à Marie, mère de Jésus-Christ. Les adeptes de la doctrine de Nestorius :
les néstoriens insistent sur la double nature du Christ, humaine et divine
les néstoriens envisagent le Christ comme deux personnes réellement séparées, l'une divine et l'autre humaine, qui agissent en accord l'une avec l'autre.
ils considèrent Marie comme la mère de l'homme Jésus et non du Fils de Dieu.
Cette doctrine s'oppose à la doctrine de l'Eglise, qui affirme que le Christ est une seule et même personne, à la fois Dieu et homme.
Sous la direction de saint Cyrille, patriarche d'Alexandrie, le concile démet Nestorius de ses fonctions et condamne sa doctrine. Il déclare que Jésus-Christ est vrai Dieu et vrai homme, qui a deux natures (l'une humaine et l'autre divine) réunies en une seule personne. Par extension, le concile approuve le titre de « mère de Dieu » (en grec theotokos, « qui porte un Dieu ») accordé à Marie.
Le concile de Chalcédoine
Chalcédoine, concile de , quatrième concile œcuménique , réuni en 451 par l'empereur d'Orient Marcien sur l'ordre du pape Léon I er , pour annuler les décisions du prétendu faux synode d'Éphèse et mettre un terme à la controverse eutychienne. Quelque six cents évêques participèrent aux dix-sept sessions qui se sont tenues entre le 8 octobre et le 1 er novembre.
Le concile condamna l'eutychianisme (soutenu par le faux synode), également appelé monophysisme , doctrine selon laquelle Jésus-Christ n'aurait possédé qu'une seule nature, divine, et n'aurait pas de nature humaine. La définition chalcédonienne, fondée sur la formulation du pape Léon dans son Tome à Flavien, évêque de Constantinople, et les lettres synodales de saint Cyril d'Alexandrie à Nestor, affirma que le Christ possédait une nature à la fois divine et humaine, inséparables en Lui.
les Églises protestantes et l'Église anglicane ne reconnaissent que les quatre premiers conciles.
2. 2 De Constantinople II (553) à Constantinople IV (870)
LE CONCILE CONSTANTINOPLE II (553)
Cinquième concile œcuménique de l'Église, il fut convoqué par l'empereur byzantin Justinien I er pour étudier les Trois Chapitres, nom donné à trois ouvrages de théologiens grecs, Théodore de Mopsueste, Théodoret de Cyr et Ibas d'Édesse. Ces écrits avaient été approuvés par le concile œcuménique Chalcédoine IV, en 451. Le concile de 553 condamna les Trois Chapitres et jeta l'anathème sur leurs auteurs,.
LE CONCILE CONSTANTINOPLE III (680)
Sixième concil œcuménique, il se réunit à la demande de Constantin IV, empereur byzantin (668-685), pour condamner le monothélisme, une doctrine qui prétendait que Jésus-Christ n'avait qu'une seule volonté, la volonté divine, même s'il avait deux natures (humaine et divine).
.
SECOND CONCILE DE NICÉE
Tenu en 787, le second concile de Nicée fut le septième concile œcuménique. Convoqué par Irène, impératrice d'Orient, il attira 350 évêques, byzantins pour la plupart. Malgré les virulentes objections des iconoclastes, le concile reconnut le bien-fondé de la vénération des images et ordonna leur rétablissement dans toutes les églises de l'Empire romain. La crise iconoclaste suscita pendant plus d'un siècle (726-843) des vagues successives de violence et de persécutions au sein de l'Église byzantine. Elle opposait deux conceptions théologiques à propos des images du Christ : selon les iconoclastes (en grec : « ceux qui brisent les images », c'est-à-dire les icônes du Christ, de la Vierge et des saints), les images étaient nécessairement hérétiques puisqu'elles séparaient ou confondaient les deux natures humaine et divine du Sauveur ; selon les iconodules, les icônes étaient des signes visibles de la sanctification de la matière rendue possible par l'incarnation du Christ.
LE CONCILE CONSTANTINOPLE IV (691)
Il fut convoqué par Justinien II, empereur byzantin qui régna deux fois (685-695 et 705-711), pour imposer à l'Église un code législatif. Ce code fit partie ensuite du droit canon de l'Église orthodoxe, mais fut rejeté par l'Église en Occident. Ce concile de 691 était considéré en Orient comme une suite aux conciles œcuméniques précédents (le cinquième et le sixième) et prit donc le nom de synode Quinisexte (« cinquième-sixième » en latin). Ce concile est aussi parfois appelé le synode Trullo parce qu'il se réunissait dans le trullum (« dôme ») du palais de l'empereur.
3 LES CONCILES D'APRÈS LE SCHISME DE 1054
Le concile de Latran I, en 1123, s'efforça de lutter contre la simonie (trafic des fonctions ecclésiastiques et des actes du culte), contre le nicolaïsme (mariage et concubinage des prêtres), contre l'inféodation (aliénation de biens d'Église à une autorité) et contre l'investiture laïque (nomination des évêques et des abbés par les rois).
Le concile de Latran II, en 1139, lutta à nouveau contre le nicolaïsme.
Le concile de Latran III, en 1179, vit la condamnation des cathares. Les cathares étaient des descendants d'une ancienne tradition dualiste. Selon eux, deux puissances ou principes se livrent une lutte implacable dans le monde : d'un côté, le Bien d'où procède tout ce qui est lumière et esprit, de l'autre, le Mal d'où vient tout ce qui est matière. Pour se libérer du mal, il faut se libérer du monde, en particulier du corps. Le concile de Latran III mena également une réflexion sur le mode d'élection des papes.
Le concile de Latran IV, en 1215, prolongea la lutte contre les hérésies, notamment contre les cathares. Il mit également au point une discipline des sacrements.
Le concile de Lyon I, en 1245, effectua la déposition de l'empereur Frédéric II. Ce concile s'inscrivit dans la lutte entre la papauté et le Saint Empire romain germanique. Avec l'empereur germanique Frédéric II, le pape eut à se mesurer à un adversaire redoutable par son intelligence et son cynisme. Après le concile, les empereurs abandonnèrent la prétention au caractère sacré qu'Othon et ses successeurs, fascinés par Charlemagne, avaient constamment ambitionné de se voir reconnaître. Le concile demanda également que soit défendue la Terre sainte.
Le concile de Lyon, en 1274, fut un concile d'union entre l'Église catholique latine et l'Église grecque.
Le concile de Vienne, en 1311-1312, vit la suppression de l'ordre des Templiers, opéra la réforme des ordres mendiants et procéda à la condamnation des spirituels franciscains.
Le concile de Constance, en 1414-1418, mit fin au schisme d'Occident et déposa le pape Grégoire XII et l'antipape Jean XXIII. Ce concile déclara avoir pleine autorité pour vivre sans le pape. Il professa qu'il tenait cette autorité du Christ et qu'il disposait d'une juridiction universelle, y compris sur le pape en matière de foi.
Le concile de Bâle-Ferrare-Florence qui se tint entre 1431 et 1445 proclama que le concile est au-dessus du pape et travailla à l'union avec les Églises d'Orient.
Le concile de Latran V se tint de 1512 à 1517. Il procéda à la condamnation des thèses conciliaristes : le pape fut reconnu comme l'autorité première dans l'Église. Un concordat fut signé avec François I er .
4 APRÈS LA RÉFORME
Le concile de Trente, qui se tint entre 1545 et 1563 fut le concile de la réforme catholique, dite Contre-Réforme, par opposition à la Réforme protestante. Il dura vingt-deux ans et fut divisé en trois périodes.
La première dura quinze ans. Elle étudia essentiellement des questions théologiques. Parmi les nombreux décrets, nous retenons un décret sur le péché originel, un décret sur la justification, un décret sur les sacrements. Le concile fut transféré à Bologne pour échapper à l'influence trop pressante de Charles Quint.
La deuxième session dura un an. Elle rédigea deux décrets : un décret sur l'eucharistie et une doctrine sur la pénitence et l'extrême onction. Le concile s'interrompit au moment de la paix d'Augsbourg (1555). Cette paix mit fin à la lutte entre l'empereur d'Allemagne et les princes protestants.
La troisième période dura un an. Elle réfléchit essentiellement à la question des sacrements. Nous retenons une doctrine sur la messe, une doctrine du sacrement de mariage, un décret sur la vénération des saints.
Le concile de Vatican I, en 1869 et 1870, procéda à l'adaptation de la législation ecclésiastique datant du concile de Trente. Il réfléchit au lien entre raison et foi et condamna le rationalisme tout comme le fidéisme. Il s'efforça également de lutter contre la modernité. Il proclama le dogme de l'infaillibilité pontificale dans la constitution conciliaire « Pastor aeternus » du 18 juillet 1870. Les évêques opposants à cette constitution, dont Mgr Dupanloup, avaient quitté Rome pour ne pas la voter. La guerre franco-allemande de 1870 arrêta le concile.
Le concile de Vatican II entre 1962 et 1965 fut le concile du renouveau (en italien aggiornamento : mise à jour) de l'Église catholique. Il dura trois ans et se divisa en quatre sessions.
Le pape Jean XXIII l'ouvrit le 11 octobre 1962.
La première session fut un temps de travail qui se termina avec la mort de Jean XXIII le 3 juin 1963.
La deuxième session se tint de septembre à décembre 1963. Elle rédigea le décret sur la liturgie.
La troisième session termina la constitution dogmatique sur l'Église, Lumen Gentium, discuta de la question de la liberté religieuse et du lien avec le judaïsme. Un « décret sur l'œcuménisme », Unitatis Redingratio fut voté à une large majorité. La quatrième session de 1965 publia le « décret sur la liberté religieuse », Dignitatis humanae, et un « décret sur les religions non chrétiennes », Nostra aetate. Selon le concile, la foi repose sur des actes intérieurs que nul ne peut contraindre. La dignité humaine fonde la liberté religieuse. Une minorité d'évêques dirigée par Mgr Lefebvre s'opposa à ce décret. Voir aussi Conciliaire, théorie.
Effectivement les religions actuelles sont le résultat de ce que l'église romaine à décidé par les différents conciles et je conteste que ces décisions aie pour l'église la même valeur que la parole de Dieu (c'est à dire qu'elle s'ajoutent à ce que aux écris de la Bible eux-même comme ayant la même force de foi).
D'une manière générale je trouve que la foi se morcèle et que chaque église et même chaque pasteur propose une interprétation personnelle de la Bible et que moi même je suis actuellement perdu dans les différents courants de pensée, il se crée actuellement différents mouvement qui s'institue comme étant la vérité ultime sur le message que délivre la Bible et c'est dommage, chacun en fait à sa sauce et même chaque Pasteur propose sa propre lecture comme étant une révélation de la vérité et c'est dommage d'en arriver là.
Néanmoins, je suis d'accord avec l'administrateur de ce forum l'église romaine en a fait trop et à déformé la foi et il nous faut revenir au sources de la foi telle qu'elle était enseignée par les premiers croyants, le dimanche, le culte de marie en tant que déesse tout ces choses pour moi ne viennent pas de Dieu. Voici les différents conciles et les décisions qui ont influencées de manière ultime le christianisme et la foi, qu'en pensez-vous et est ce que vous trouvez cela juste envers les croyants que nous sommes ?
ANNÉE CONCILE ŒCUMÉNIQUE
325 Concile de Nicée I
381 Concile de Constantinople I
431 Concile d'Éphèse
451 Concile de Chalcédoine
553 Concile de Constantinople II
680-681 Concile de Constantinople III
787 Concile de Nicée II
869-870 Concile de Constantinople IV
1123 Concile de Latran I
1139 Concile de Latran II
1179 Concile de Latran III
1215 Concile de Latran IV
1245 Concile de Lyon I
1274 Concile de Lyon II
1311-1312 Concile de Vienne
1414-1418 Concile de Constance
1431-1445 Concil de Bâle-Ferrare-Florence
1512-1517 Concile de Latran V
1545-1563 Concile de Trente
1869-1870 Concile de Vatican I
1962-1965 Concil de Vatican II
PREMIER CONCILE DE NICÉE
Tenu en 325, ce premier concile œcuménique fut convoqué par Constantin I er , empereur de Rome, pour régler le conflit arien sur l'identité de nature de Jésus-Christ. Sur les 1 800 évêques de l'Empire romain, 318 participèrent au concile.parmi les rsésultats de ce concile on cite :
Le symbole de Nicée qui définit le Fils comme consubstantiel au Père, fut adopté comme représentant la position officielle de l'Église sur la divinité du Christ.
la célébration de Pâques fut décalée au dimanche qui suit la Pâque juive
On donna à l'évêque d'Alexandrie une autorité sur l'Orient semblable à l'autorité quasi patriarcale de Rome mais qui n'était pas, comme il l'a parfois été prétendu, égale à celle du pape. Telle fut l'origine des patriarcats qui apparurent dans l'Église.
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LE CONCILE CONSTANTINOPLE I (381)
Deuxième concile œcuménique de l'Église, il fut convoqué par Théodose I er , empereur romain. Les cent cinquante évêques présents au concile , les principaux resultats de ce concile furent :
Condannation à hérésie de plusieurs sectes religieuses, notamment les ariens et les manichéens
réaffirmation des résolutions adoptées au concile Nicée I (325).
définition du Saint-Esprit comme étant consubstantiel au Père et au Fils
Inventionde la Trinité composée du pere du fils et du saint esprit ..
proclamation que l'évêque de Constantinople venait en second après l'évêque de Rome dans l'ordre des préséances.
Le concile d'Éphèse,
Éphèse, concile d' (431), troisième concile œcuménique de l'Église chrétienne, qui s'est tenu à Éphèse (aujourd'hui en Turquie). Cette assemblée était présidée par Théodose II, empereur d'Orient, et Valentinien III, empereur romain, pour résoudre la controverse suscitée par la doctrine hérétique du nestorianisme .
Nestorius , né à Germanica Cesare (aujourd'hui Kahramanmaras en Turquie) vers 380, patriarche de Constantinople,a refusé de reconnaître le titre de « mère de Dieu » à Marie, mère de Jésus-Christ. Les adeptes de la doctrine de Nestorius :
les néstoriens insistent sur la double nature du Christ, humaine et divine
les néstoriens envisagent le Christ comme deux personnes réellement séparées, l'une divine et l'autre humaine, qui agissent en accord l'une avec l'autre.
ils considèrent Marie comme la mère de l'homme Jésus et non du Fils de Dieu.
Cette doctrine s'oppose à la doctrine de l'Eglise, qui affirme que le Christ est une seule et même personne, à la fois Dieu et homme.
Sous la direction de saint Cyrille, patriarche d'Alexandrie, le concile démet Nestorius de ses fonctions et condamne sa doctrine. Il déclare que Jésus-Christ est vrai Dieu et vrai homme, qui a deux natures (l'une humaine et l'autre divine) réunies en une seule personne. Par extension, le concile approuve le titre de « mère de Dieu » (en grec theotokos, « qui porte un Dieu ») accordé à Marie.
Le concile de Chalcédoine
Chalcédoine, concile de , quatrième concile œcuménique , réuni en 451 par l'empereur d'Orient Marcien sur l'ordre du pape Léon I er , pour annuler les décisions du prétendu faux synode d'Éphèse et mettre un terme à la controverse eutychienne. Quelque six cents évêques participèrent aux dix-sept sessions qui se sont tenues entre le 8 octobre et le 1 er novembre.
Le concile condamna l'eutychianisme (soutenu par le faux synode), également appelé monophysisme , doctrine selon laquelle Jésus-Christ n'aurait possédé qu'une seule nature, divine, et n'aurait pas de nature humaine. La définition chalcédonienne, fondée sur la formulation du pape Léon dans son Tome à Flavien, évêque de Constantinople, et les lettres synodales de saint Cyril d'Alexandrie à Nestor, affirma que le Christ possédait une nature à la fois divine et humaine, inséparables en Lui.
les Églises protestantes et l'Église anglicane ne reconnaissent que les quatre premiers conciles.
2. 2 De Constantinople II (553) à Constantinople IV (870)
LE CONCILE CONSTANTINOPLE II (553)
Cinquième concile œcuménique de l'Église, il fut convoqué par l'empereur byzantin Justinien I er pour étudier les Trois Chapitres, nom donné à trois ouvrages de théologiens grecs, Théodore de Mopsueste, Théodoret de Cyr et Ibas d'Édesse. Ces écrits avaient été approuvés par le concile œcuménique Chalcédoine IV, en 451. Le concile de 553 condamna les Trois Chapitres et jeta l'anathème sur leurs auteurs,.
LE CONCILE CONSTANTINOPLE III (680)
Sixième concil œcuménique, il se réunit à la demande de Constantin IV, empereur byzantin (668-685), pour condamner le monothélisme, une doctrine qui prétendait que Jésus-Christ n'avait qu'une seule volonté, la volonté divine, même s'il avait deux natures (humaine et divine).
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SECOND CONCILE DE NICÉE
Tenu en 787, le second concile de Nicée fut le septième concile œcuménique. Convoqué par Irène, impératrice d'Orient, il attira 350 évêques, byzantins pour la plupart. Malgré les virulentes objections des iconoclastes, le concile reconnut le bien-fondé de la vénération des images et ordonna leur rétablissement dans toutes les églises de l'Empire romain. La crise iconoclaste suscita pendant plus d'un siècle (726-843) des vagues successives de violence et de persécutions au sein de l'Église byzantine. Elle opposait deux conceptions théologiques à propos des images du Christ : selon les iconoclastes (en grec : « ceux qui brisent les images », c'est-à-dire les icônes du Christ, de la Vierge et des saints), les images étaient nécessairement hérétiques puisqu'elles séparaient ou confondaient les deux natures humaine et divine du Sauveur ; selon les iconodules, les icônes étaient des signes visibles de la sanctification de la matière rendue possible par l'incarnation du Christ.
LE CONCILE CONSTANTINOPLE IV (691)
Il fut convoqué par Justinien II, empereur byzantin qui régna deux fois (685-695 et 705-711), pour imposer à l'Église un code législatif. Ce code fit partie ensuite du droit canon de l'Église orthodoxe, mais fut rejeté par l'Église en Occident. Ce concile de 691 était considéré en Orient comme une suite aux conciles œcuméniques précédents (le cinquième et le sixième) et prit donc le nom de synode Quinisexte (« cinquième-sixième » en latin). Ce concile est aussi parfois appelé le synode Trullo parce qu'il se réunissait dans le trullum (« dôme ») du palais de l'empereur.
3 LES CONCILES D'APRÈS LE SCHISME DE 1054
Le concile de Latran I, en 1123, s'efforça de lutter contre la simonie (trafic des fonctions ecclésiastiques et des actes du culte), contre le nicolaïsme (mariage et concubinage des prêtres), contre l'inféodation (aliénation de biens d'Église à une autorité) et contre l'investiture laïque (nomination des évêques et des abbés par les rois).
Le concile de Latran II, en 1139, lutta à nouveau contre le nicolaïsme.
Le concile de Latran III, en 1179, vit la condamnation des cathares. Les cathares étaient des descendants d'une ancienne tradition dualiste. Selon eux, deux puissances ou principes se livrent une lutte implacable dans le monde : d'un côté, le Bien d'où procède tout ce qui est lumière et esprit, de l'autre, le Mal d'où vient tout ce qui est matière. Pour se libérer du mal, il faut se libérer du monde, en particulier du corps. Le concile de Latran III mena également une réflexion sur le mode d'élection des papes.
Le concile de Latran IV, en 1215, prolongea la lutte contre les hérésies, notamment contre les cathares. Il mit également au point une discipline des sacrements.
Le concile de Lyon I, en 1245, effectua la déposition de l'empereur Frédéric II. Ce concile s'inscrivit dans la lutte entre la papauté et le Saint Empire romain germanique. Avec l'empereur germanique Frédéric II, le pape eut à se mesurer à un adversaire redoutable par son intelligence et son cynisme. Après le concile, les empereurs abandonnèrent la prétention au caractère sacré qu'Othon et ses successeurs, fascinés par Charlemagne, avaient constamment ambitionné de se voir reconnaître. Le concile demanda également que soit défendue la Terre sainte.
Le concile de Lyon, en 1274, fut un concile d'union entre l'Église catholique latine et l'Église grecque.
Le concile de Vienne, en 1311-1312, vit la suppression de l'ordre des Templiers, opéra la réforme des ordres mendiants et procéda à la condamnation des spirituels franciscains.
Le concile de Constance, en 1414-1418, mit fin au schisme d'Occident et déposa le pape Grégoire XII et l'antipape Jean XXIII. Ce concile déclara avoir pleine autorité pour vivre sans le pape. Il professa qu'il tenait cette autorité du Christ et qu'il disposait d'une juridiction universelle, y compris sur le pape en matière de foi.
Le concile de Bâle-Ferrare-Florence qui se tint entre 1431 et 1445 proclama que le concile est au-dessus du pape et travailla à l'union avec les Églises d'Orient.
Le concile de Latran V se tint de 1512 à 1517. Il procéda à la condamnation des thèses conciliaristes : le pape fut reconnu comme l'autorité première dans l'Église. Un concordat fut signé avec François I er .
4 APRÈS LA RÉFORME
Le concile de Trente, qui se tint entre 1545 et 1563 fut le concile de la réforme catholique, dite Contre-Réforme, par opposition à la Réforme protestante. Il dura vingt-deux ans et fut divisé en trois périodes.
La première dura quinze ans. Elle étudia essentiellement des questions théologiques. Parmi les nombreux décrets, nous retenons un décret sur le péché originel, un décret sur la justification, un décret sur les sacrements. Le concile fut transféré à Bologne pour échapper à l'influence trop pressante de Charles Quint.
La deuxième session dura un an. Elle rédigea deux décrets : un décret sur l'eucharistie et une doctrine sur la pénitence et l'extrême onction. Le concile s'interrompit au moment de la paix d'Augsbourg (1555). Cette paix mit fin à la lutte entre l'empereur d'Allemagne et les princes protestants.
La troisième période dura un an. Elle réfléchit essentiellement à la question des sacrements. Nous retenons une doctrine sur la messe, une doctrine du sacrement de mariage, un décret sur la vénération des saints.
Le concile de Vatican I, en 1869 et 1870, procéda à l'adaptation de la législation ecclésiastique datant du concile de Trente. Il réfléchit au lien entre raison et foi et condamna le rationalisme tout comme le fidéisme. Il s'efforça également de lutter contre la modernité. Il proclama le dogme de l'infaillibilité pontificale dans la constitution conciliaire « Pastor aeternus » du 18 juillet 1870. Les évêques opposants à cette constitution, dont Mgr Dupanloup, avaient quitté Rome pour ne pas la voter. La guerre franco-allemande de 1870 arrêta le concile.
Le concile de Vatican II entre 1962 et 1965 fut le concile du renouveau (en italien aggiornamento : mise à jour) de l'Église catholique. Il dura trois ans et se divisa en quatre sessions.
Le pape Jean XXIII l'ouvrit le 11 octobre 1962.
La première session fut un temps de travail qui se termina avec la mort de Jean XXIII le 3 juin 1963.
La deuxième session se tint de septembre à décembre 1963. Elle rédigea le décret sur la liturgie.
La troisième session termina la constitution dogmatique sur l'Église, Lumen Gentium, discuta de la question de la liberté religieuse et du lien avec le judaïsme. Un « décret sur l'œcuménisme », Unitatis Redingratio fut voté à une large majorité. La quatrième session de 1965 publia le « décret sur la liberté religieuse », Dignitatis humanae, et un « décret sur les religions non chrétiennes », Nostra aetate. Selon le concile, la foi repose sur des actes intérieurs que nul ne peut contraindre. La dignité humaine fonde la liberté religieuse. Une minorité d'évêques dirigée par Mgr Lefebvre s'opposa à ce décret. Voir aussi Conciliaire, théorie.
proxacutor- Messages : 3
Date d'inscription : 25/05/2012
Re: Bonjours, je suis nouveau sur ce forum, je suis protestant.
Shalom.je pense que tu as mal compris.admine justement ne cesse de denoncer les conciles et les decisions d'homme.
Invité- Invité
Re: Bonjours, je suis nouveau sur ce forum, je suis protestant.
Shalom Proxacutor
en effet le Christianisme aujourd'hui est sous la coupe de Rome et ce depuis un bon moment déjà.
Le protestantisme n'est pas complètement sorti de Rome, il faut que tu le saches.
Moi même je viens d'un milieu Evangélique et je peux te dire que ce milieu Evangélique n'est pas complètement sorti de Rome non plus.
Yéshoua (Jésus) veut nous libérer de tous les dogmes des hommes pour nous ramener au sein de Son peuple : Israël ! Car si tu es vraiment converti à Yéshoua (Jésus) alors Yéshoua (Jésus) va t'emmener à suivre Les Commandements du Dieu Vivant. Il va te sanctifier jour après jours, Il va te faire gravir la montagne petit à petit, un pas à la fois pour te ramener au sein d'Israël. Tu comprendras alors que tu n'es pas protestant mais pleinement Israélite et qu'en tant qu'Israélite tu dois observer La Torah de notre Dieu.
Je t'invite à voir cette vidéo sur l'inquisition catholique romaine
Il faut aussi que tu connaisses qui étaient ceux que l'on nomme les premiers Chrétiens.
Voici ici un sujet qui met en lumière des citations historiques qui prouvent que les premiers Chrétiens célébraient le Shabbat, les fêtes, mangeaient kasher... Il faut bien sûr tenir compte que bien souvent ceux qui écrivaient à leur sujet étaient leur détracteurs et pouvaient donc déformer ce qu'ils croyaient vraiment.
Tout d'abord il nous faut faire une étude éthymologique historique.
Les premiers gens que l'on a nommé Chrétiens se nommaient "NATZ A REEN" car ils étaient convertis à YaHshoua (Jésus) Le Natzaréen.
Ne pas confondre avec "Naz I réen"
Le "Natz A réen" désigne une personne qui vient de Natzareth נצרת qui vient du mot Natser ou Netsar נצר qui signifie REJETON donc le nom de "Natz A réen" pour Yéshoua (Jésus) désigne plus que la ville où Il vécut mais désigne son statut prophétique annoncé
Esaïe 11:1
"Or, un rameau sortira de la souche de Yessé,
UN REJETON וְנֵצֶר (Netzar) poussera de ses racines."
Yéshoua (Jésus) n'était donc pas "Naz I réen" mais "Natz A réen".
Yéshoua (Jésus) buvait du vin, ce que les "Naz I réens" ne pouvaient pas faire
durant leur voeu de "Naz I réat".
"Naz I réen" vient du mot différent נזיר Nazir, qui signifie "consacré" ou "séparé"
Ces gens nommées "Natz A réens" (Netzarim) étaient connus pour suivre La Torah tout en
croyant en Yéshoua (Jésus)
les ennemis de l'Apôtre Shaul (Paul) disaient de lui :
Actes 24:5
" Nous avons trouvé cet homme, qui est une peste, qui excite des divisions parmi
tous les Juifs du monde, qui est chef de la SECTE DES NAZAREENS"
le terme de "Chrétiens" signifie "suiveurs du Christ" Ce terme était plus employé par les païens pour dénigrer les "Nazaréens" et leur Foi Israélite
Tout ceci rappelé, un autre fait doit être rappelé qui est que contrairement à ce que l'on pourrait croire, après Constantin et son établisement du Christianisme adapté au culte romain, la persécution n'était pas menée contre ceux qui disaient croire en Jésus, mais contre les croyants en Yéshoua (Jésus) qui PRATIQUAIENT La Torah en gardant Ses
Commandements.
Quelle était la foi des Natzaréens l'étiquette qui était reconnu être celle de Shaul (Paul) ?
Au 4ème siècle Jérôme se réfère également aux Nazaréens comme ceux
"... qui acceptent le Messie de telle manière qu'ils ne cessent d'observer l'ancienne loi."
-citation de Jérôme
"Ils (Nazaréens) croient que le Messie, le Fils de Dieu, est né de la Vierge Marie."
-citation de Jérôme, Lettre 75 à Augustin concernant Jésus comme Fils de Dieu.
"Matthieu, également appelé Lévi, apôtre et ancien publicain, a composé un évangile de Jésus-Christ dans un premier temps publié en Judée, en hébreu pour le bien de ceux de la circoncision qui croyaient, mais fut ensuite traduit en grec dont l'auteur est incertain. L'hébreu lui-même a été conservé jusqu'à nos jours à la bibliothèque de Césarée, dont le Pamphlet est recueilli avec tant de diligence. J'ai également eu l'occasion d'avoir le volume qui m'a été décrit par les Nazaréens de Bérée, une ville de la Syrie, qui l'utilisent. En cela, il est à noter que, partout où l'évangéliste, que ce soit sur son propre compte ou en la personne de notre Seigneur, le Sauveur cite le témoignage de l'Ancien Testament, il ne suit pas l'autorité des traducteurs de la Septante, mais l'hébreu.(...)"
-citation de Jérôme dans La vie des hommes Illustrius Ch.3
"Ils (Nazaréens) n'ont pas d'idées différentes, mais confessent exactement comme la Loi le proclame et à la façon juive - à l'exception de leur croyance dans le Christ... Car ils reconnaissent à la fois la résurrection des morts et la création divine de toutes choses, et déclarent que Dieu est UN, et que son Fils Est Jésus-Christ."
-citation d'Épiphane de Salamine, dans Panarion 29.7.2
"Adhérant à la circoncision et la loi de Moïse:
Ils (Nazaréens) sont en désaccord avec les Juifs parce qu'ils en sont venus à la foi en Christ, mais comme ils sont encore entravées par la loi - la circoncision, le sabbat, et le reste - ils ne sont pas en accord avec les chrétiens."
-citation d'Épiphane de Salamine dans Panarion 29.7.4
"Ils (Nazaréens) utilisent non seulement le Nouveau Testament, mais l'Ancien Testament ainsi, comme le font les Juifs."
-citation d'Épiphane de Salamine, Panarion 29.7.2
"Ils ont l'Evangile selon saint Matthieu dans son intégralité en hébreu. Car il est clair qu'ils le conservent encore dans l'alphabet hébreu, comme il a été écrit à l'origine."
-citation d'Épiphane de Salamine, Panarion 29.9.4
"Et il [Heggesippus le Nazaréen] cite quelques passages de l'Evangile selon les Hébreux et du syriaque [l'araméen], et quelques détails de la langue hébraïque, en montrant qu'il était un converti Hébreu, et il mentionne d'autres questions empruntée à la tradition orale des Juifs."
L'évidence du Shabbat pour les églises anciennes.
citation dans (Dr. Peter Heylyn History of the Sabbath, Londres 1636, Partie 2, para. 5, pp. 73-74)
C'était généralement la pratique des Églises d'Orient; et quelques églises de l'Ouest... Car dans l'Église de Millaine [Milan]; ... il semble que le samedi a été hautement estimé ... Pas que les Églises de l'Est ou toute autre de celles qui ont observé ce jour n'aient été inclinés au Judaïsme; mais ils se sont réunis ensemble le jour du Sabbat pour adorer Iesus [Jésus] Christ, le Seigneur du Sabbat.
citation dans (Apollinaris Sidonii Epistolæ, lib. 1,2; Migne, 57)
"C'est un fait que c'était autrefois la tradition à l'Est d'observer le Sabbat comme le jour du Seigneur et de tenir des assemblées sacrées : tandis que, d'autre part, les gens de l'Ouest, en se disputant au sujet du jour du Seigneur, ont négligé la célébration du Sabbat."
Les Églises observant le Sabbat en Perse ont subi quarante ans de persécution sous Shapur II, de 335 à 375 spécifiquement, parce qu'ils observaient le Sabbat.
citation d'un païen contre les Chrétiens dans (O'Leary The Syriac Church and Fathers, pp. 83-84, citation de Truth Triumphant p. 170)
"Ils méprisent notre dieu-soleil. zoroastre, le saint fondateur de nos croyances divines, n'a-t-il pas institué le dimanche il y a mille ans en honneur du soleil et remplacé le Sabbat de l'Ancien Testament? Pourtant, ces Chrétiens ont des services religieux le samedi."
citation de l'historien Socrate dans (Socrates, Ecclesiastical History, Livre 5, Ch. 22, p. 289)
"Car bien que presque toutes les Églises dans le monde entier célèbrent les mystères sacrés (...) à chaque Sabbat hebdomadaire, les Chrétiens d'Alexandrie et de Rome, à cause d'une certaine tradition ancienne, refusent cependant de le faire"
Augustin de Hippo, un homme de stricte observance du dimanche, a certifié que le Sabbat a été observé dans la plus grande partie du monde Chrétien (Nicene and Post-Nicene Fathers (NPNF), la Première Série, Vol. 1, pp. 353-354) et a déploré le fait que dans deux Églises voisines en Afrique, une observait le Sabbat du septième jour, tandis que l'autre jeûnait ce jour-là (Peter Heylyn, op. cit., p. 416).
citation dans (Antiquities of the Christian Church, Vol. II, Livre xx, Ch. 3, Section 1, 66. 1137,1136)
"Les anciens Chrétiens étaient très prudents dans l'observance du samedi ou du septième jour... Il est clair que toutes les églises Orientales et la plus grande partie du monde, ont observé le Sabbat comme une fête... "
Les Églises du Sabbat ont été établies en Perse et dans le bassin du Tigre-Euphrate. Ils ont observé le Sabbat et payé les dîmes à leurs Églises (Realencyclopæie fur Protestantishe und Kirche, art. Nestorianer; voir aussi Yule The Book of Ser Marco Polo, Vol. 2, p. 409). Les Chrétiens de St-Thomas en Inde n'ont jamais été en communion avec Rome.
Ils observaient le Sabbat, comme ceux qui se sont dissociés de Rome après le Concile de Chalcedon, à savoir les Abyssiniens, les Jacobites, les Maronites, les Arméniens et les Kurdes, qui observaient les lois de l'alimentation et niaient la confession et le purgatoire (Schaff-Herzog The New Encyclopædia of Religious Knowledge, art. Nestorians and Nestorianer ci-dessus).
Il y a peu de doute que les Sabbatati qui désignaient ceux qui observaient le sabbat, dont faisaient partie les Vaudois étaient importants en Bohême, même en 1500.
citation dans (The Literature of the Sabbath Question de R. Cox, Vol. II, pp. 201-202; cité de nouveau dans Truth Triumphant, p. 264).
"Erasmus témoigne que même aux environs de 1500, ces Bohémiens ont, non seulement, observé le septième jour scrupuleusement, mais ils ont aussi été appelés Sabbatariens"
La citation de R. Cox dans (Literature of the Sabbath Question du Dr. R. Cox, Vol. II, pp. 201-202)
"Je constate d'un passage dans Erasmus qu'au début de la période de la Réformation quand il a écrit, il y avait des Sabbatariens en Bohême qui ont non seulement observé le septième jour, mais il a été dit qu'ils étaient ... scrupuleux dans le repos pendant ce jour-là"
Armitage et Cox (ibid) notent une existence des Bohémiens Sabbatati bien établie en 1310.
citation dans (A History of the Baptists d'Armitage, p. 318; et aussi R. Cox, ibid.).
"En 1310, deux cents ans avant les thèses de Luther, les frères Bohémiens constituaient le quart de la population de la Bohême et ils étaient en contact avec les Waldenses qui abondaient en Autriche, en Lombardie, en Bohême, dans le nord de l'Allemagne, en Thuringie, à Brabdenburg et en Moravie. Erasmus a fait remarquer comment les Waldenses de Bohême observaient strictement le Sabbat du septième jour"
En Moravie, quelques observateurs du Sabbat ont été dirigés par le comte Zinzendorf en 1738 quand il a écrit d'observer le Sabbat.
citation dans (Budingache Sammlung, Leipzig, 1742, Section 8, p. 224)
"...j'ai utilisé le Sabbat pour le repos depuis plusieurs années déjà et notre dimanche pour la proclamation de l'évangile"
À l'époque, Kohn a admis qu'il est peu probable que la plupart rejoignent les Juifs
citation dans (c. 1894)
"Le plus grand groupe de personnes observant le Sabbat aujourd'hui en Transylvanie - et ils sont des milliers - sont situés dans les secteurs d'Oluj et Sibiu. L'évêque de Cluj - la deuxième plus grande ville de la Roumanie - observe le Sabbat.
Ces gens étaient présents en Trans-Carpathia et en Roumanie jusqu'à ce siècle, quand ils ont été sous la domination communiste et ont émergé récemment comme deux groupes distincts observant le Sabbat, dont un observe tous les autres aspects, comme ils ont fait des siècles auparavant. Par conséquent, l'Église Européenne, qui pourrait peut-être être dénommée l'ère de Thyatire, vit toujours, comme Christ leur a promis dans Apocalypse 2:25-26."
Le suivi des fêtes de La Torah
Aux pages 62-67 de l'œuvre de Kohn, (pp. 54ff. de la traduction) l'Ancien Recueil de chants du Sabbat (Old Sabbath Songbook) est discuté. Le livre de cantiques a été écrit en Hongrois et seulement huit cantiques montrent le nom de l'auteur dans un acrostiche. Il y avait Eossi, Enok Alvinczi, Janos Bokenyi, Thomas et Simon Pankotai Pechi.
Le Vieux Livre de Cantiques Sabbatarien, celui-ci contient au total une centaine et deux hymnes de dévotion pour des occasions diverses, parmi lesquelles pas moins de 44 sont pour le Sabbat. En plus, il y a cinq cantiques pour la Nouvelle Lune, 11 pour la Fête de la Pâque [et Pains sans Levain], 6 pour la Fête des Semaines, 6 pour la Fête des Tabernacles, 3 pour la fête du Nouvel An, 1 pour la Fête (sic) des Expiations, 26 pour les différentes occasions de la vie quotidienne (Kohn, tr. p. 55).
Il n'y a donc aucun doute que l'Église a observé les Sabbats et les Nouvelles Lunes et les Jours Saints, dans cet ordre d'importance. Le Jour des Trompettes n'est pas répertorié étant donné qu’il était couvert par les hymnes pour les Nouvelles Lunes qui ont eu la priorité. Ainsi, dans les premiers stades, ils n’ont pas observé Rosh Hashana. La Fête de la Nouvelle Lune répertoriée dans la séquence par Kohn est considérée comme s'appliquant au Nouvel An réel en Abib. Sa relocalisation à la position des Trompettes (aussi le Rosh Hashanah observé plus tard) est considérée comme une innovation tardive Judaïsante.
citation de l'historien Catholique Bellesheim dans (History of the Catholic Church in Scotland, Vol. 1, p 86) le Sabbat en Écosse.
"Nous semblons voir ici une allusion à la tradition observée dans la première Église monastique d'Irlande, d'observer le jour du repos le samedi ou le Sabbat."
citation de James C. Moffatt dans (The Church in Scotland, p. 140)
"Il semble avoir été usuel dans les églises celtiques des premiers temps, en Irlande aussi bien qu'en Écosse, d'observer samedi, le Sabbat juif, comme un jour de repos du travail. Ils ont obéi au quatrième commandement littéralement le septième jour de la semaine."
citation de Flick dans (The Rise of the Mediæval Church, p. 237)
"Les Celtes ont utilisé une Bible latine différente du Vulgate (R.C) et observé le samedi comme un jour de repos, avec des services religieux spéciaux le dimanche."
En Écosse, jusqu'au dixième et onzième siècle
citation dans (A History of Scotland from the Roman Occupation d'Andrew Lang, Vol. I, p. 96; voir aussi Celtic Scotland, Vol. 2, p. 350)
"Ils ont travaillé le dimanche mais observé le samedi d'une manière Sabbatique... Ces choses, Margaret les a supprimées."
Les Écossais ont observé le Sabbat jusqu'à l'époque de la reine Margaret, selon Turgot
citation dans (Life of Saint Margaret, p. 49)
"C'était une autre de leur tradition de négliger la révérence due au jour du Seigneur, en se consacrant à toute sorte d'affaires temporelles, ce jour-là, comme ils faisaient les autres jours. Que cela était contraire à la loi, elle (la reine Margaret) leur a prouvé aussi bien par la raison que par l'autorité. 'Vénérons le jour du Seigneur,' a-t-elle dit, 'à cause de la résurrection de notre Seigneur, qui est arrivé ce jour-là et ne faisons plus des travaux serviles, ce jour-là; en nous rappelant qu'en ce jour, nous avons été rachetés de l'esclavage du diable. Le pape béni Grégoire affirme de même."
Skene commente aussi sur la reine Margaret et ses activités contre l'observance du Sabbat en Écosse :
citation dans (Celtic Scotland, Vol. 2, p. 349)
"Son point suivant était qu'ils ne révéraient pas dûment le jour du Seigneur mais, dans ce dernier cas, ils semblaient avoir suivi une tradition dont nous trouvons des traces dans la première Église d'Irlande, selon laquelle ils considéraient le samedi comme étant le Sabbat pendant lequel ils se reposaient de tous leurs travaux."
citation de Lewis dans (Celtic Scotland, Vol. 2, p. 349)
"Il y a beaucoup de preuves que le Sabbat a prévalu au Pays de Galles universellement jusqu'en 1115 AD, quand le premier évêque romain a été assis à St-David. Les vieilles églises galloises observant le Sabbat n'ont pas alors toutes ensemble plié le genou à Rome, mais se sont enfuies dans leurs cachettes."
L'observance du Sabbat a connu un renouveau pendant l'Ère Élisabéthaine.
citation dans (Chambers Cyclopædia, article Sabbath, Vol. 8, 1837, p. 498; citation embrouillée)
"Dans le règne d'Élisabeth, il est venu à l'esprit de plusieurs penseurs consciencieux et indépendants (comme précédemment avec certains protestants en Bohême) que le quatrième commandement exigait d'eux l'observance, pas du premier, mais du 'septième' jour de la semaine spécifié"
La persécution contre ceux qui gardaient le Shabbat
L'Église Abyssinienne a continué à observé le Sabbat et, en Éthiopie, les Jésuites ont essayé de forcer les Abyssiniens à accepter le Catholicisme Romain. Le légat Abyssinien à la cour de Lisbonne a nié qu'ils observaient le Sabbat pour imiter les Juifs mais, plutôt, par obéissance à Christ et aux Apôtres (Geddes Church History of Ethiopia, pp. 87-88). Les Jésuites ont influencé le roi Zadenghel en lui proposant de se soumettre à la Papauté en 1604 et d'interdire l'adoration le jour du Sabbat sous des peines sévères (Geddes, ibid., p. 311 et aussi Decline and Fall of the Roman Empire de Gibbons , Ch. 47).
citation dans (Mansi, 13, 851)
"Nous commandons à tous les Chrétiens d'observer le jour du Seigneur qui doit l'être non en l'honneur du Sabbat passé, mais à cause de cette nuit sainte du premier jour de la semaine appelé le jour du Seigneur. En parlant de ce Sabbat que les Juifs observent, le dernier jour de la semaine et que nos paysans observent..."
L'observance du Sabbat existait à Rome sous Grégoire I (590-604).
Grégoire a écrit contre la pratique.
citation dans (Ep. 1, Nicene and Post-Nicene Fathers (NPNF), Deuxième Série, Vol. XIII, p. 13)(Epistles, b. 13:1).
"Grégoire, évêque par la grâce de Dieu à ses fils bien-aimés, les citoyens romains : Il est venu à mon attention que certains hommes d'esprit pervers ont disséminé parmi vous des choses dépravées et opposées à la foi Sainte, de sorte qu'ils interdisent de faire quoi que ce soit le jour du Sabbat. Comment devrais-je les appeler sauf les prédicateurs d'Antéchrist"
citations dans (Héfèle 5, 931,962).
"Canon 3 - Les lords des zones différentes feront diligemment fouiller les villas, les maisons et les bois et détruiront les places où les hérétiques se cachent.
Canon 14 - Les laïcs ne doivent pas être autorisés à posséder les livres de l'Ancien ou du Nouveau Testament "
Le Sabbatarianisme avait pénétré en Russie avant la Réformation et il a été condamné à un Concile de Moscou en 1503.
citation dans (H. Sternberg Geschichte der Juden [in Polen], Leipsig, 1873, pp. 117-122).
"Les accusés [qui observent le Sabbat] ont été convoqués; ils ont ouvertement reconnu la nouvelle [sic] foi et ils l'ont défendu. Les plus éminents parmi eux, le secrétaire d'État, Kuritzyn, Ivan Maximow, Kassian, archimandrite du Monastère [Enterre ?] de Novgorod, ont été condamnés à mort et brûlés publiquement dans des cages à Moscou : le 19 décembre 1503 "
citation de Sternberd dans (Geschicte der Juden in Polen de Sternberg, p. 124).
"Mais la majorité s'est déplacée en Crimée et dans le Caucase où ils restent fidèles à leur doctrine malgré la persécution jusqu'à présent. Les gens les appellent Subotniki ou Sabbatariens"
citation dans (Refutation of Sabbath de Wolfgang Capito, 1599).
"Les Sabbatariens enseignent que le Sabbat extérieur, c'est-à-dire samedi, doit toujours être observé. Ils disent que dimanche est l'invention du pape"
Le Sabbatarianisme avait été persécuté en Norvège, depuis au moins le Concile de l'Église à Bergen, le 22 août 1435 et la conférence à Oslo en 1436. Les gens avaient commencé à sanctifier le Sabbat à différents endroits du royaume et l'archevêque l'a interdit en raison du fait que :
citation dans (The History of the Norwegian Church under Catholicism de R. Keyser, Vol II, Oslo, 1858, p. 488).
"Il est strictement interdit - il est déclaré - dans la Loi de l'Église, à quiconque d'observer ou d'adopter des jours saints, à l'extérieur de ceux que le pape, l'archevêque ou les évêques prescrivent"
Au Concile Provincial Catholique de Bergen en 1435, il a été aussi dit :
citation dans (Dip. Norveg., 7, 397)
"Nous sommes informés que certaines personnes, dans différentes zones du royaume, ont adopté et ont observé le samedi.
Il est interdit sévèrement - dans le saint canon de l'église - [pour] quiconque sans exception d'observer des jours sauf ceux que le saint pape, l'archevêque ou les évêques commandent. L'observance du samedi ne doit, en aucun cas, être permise au-delà de ce que le canon de l'église commande. Par conséquent, nous conseillons tous les amis de Dieu partout dans toute la Norvège qui veulent être obéissants envers la sainte église d'abandonner ce mal de l'observance du samedi; pour ce qui est du repos, nous interdisons, sous peine d'une punition sévère de l'église, de sanctifier le samedi"
Après les croisades et malgré l'Inquisition, le sabbat était toujours suivit par certains.
citation dans (History of the Christian Church, Vol. II, pp. 71-72, troisième édition, Londres, 1818).
"Louis XII, roi de France (1498-1515), étant informé par les ennemis des Waldenses, qui peuplent une partie de la province de Provence, que plusieurs crimes atroces leur ont été attribués, a envoyé le maître des Demandes et un certain docteur de la Sorbonne, pour faire enquête sur cette question. À leur retour, ils ont rapporté qu'ils avaient visité toutes les paroisses, mais qu'ils ne pouvaient pas découvrir de traces de ces crimes dont ils ont été accusés. Au contraire, ils ont observé le jour du Sabbat et les ordonnances du baptême, conformément à l'église primitive et instruit leurs enfants dans les articles de la foi Chrétienne et les commandements de Dieu. Le roi, ayant entendu le rapport de ses commissaires, a dit avec un serment qu'ils étaient de meilleurs hommes que lui ou son peuple"
et il y a beaucoup d'autres sources et citations qui démontrent que les églises issus de la Foi Israélite dites Chrétiennes car croyant en Yéshoua (Jésus) nommés à l'origine Natzaréen, avaient compris la centralité du Shabbat et de l'observance des Commandements de Dieu dans le culte devant être rendu au Dieu Vivant et donc à YaHshoua (Jésus).
Ils avaient en mémoire concernant le Shabbat ce que Dieu leur disait :
Exode 31:13
Parle aux enfants d'Israël, et dis-leur : Vous ne manquerez pas d'observer mes sabbats, car ce sera entre moi et vous, et parmi vos descendants, UN SIGNE auquel on connaîtra que je suis l'Éternel qui vous sanctifie.
Exode 31:17
Ce sera entre moi et les enfants d'Israël UN SIGNE qui devra durer à perpétuité ; car en six jours l'Éternel a fait les cieux et la terre, et le septième jour il a cessé son oeuvre et il s'est reposé.
certains d'entre eux qui croyaient en Yéshoua (Jésus) sont allés jusqu'à la mort pour suivre le Shabbat et les Commandements de notre Dieu.
Repentons-nous et sanctifions le Shabbat de notre Dieu et suivons Ses Commandements par La Foi en YaHshoua (Jésus) notre Seigneur et Sauveur.
_________________
Apocalypse 14:12
"C'est ici la patience des saints, ce sont ici ceux qui gardent
Les Commandements d'Elohim, et La Foi de Yéhoshoua-Jésus."
Mon pseudo Ruth pour ceux qui veulent me nommer
Ruth Administratrice- Admin
- Messages : 8711
Date d'inscription : 22/10/2007
Et la trinité alors ? (Credo de Nicée)
shmouel a écrit:Shalom.je pense que tu as mal compris.admine justement ne cesse de denoncer les conciles et les decisions d'homme.
Je suis du même avis que vous sur les conciles et c'est depuis longtemps que je recherche un retour aux sources de la foi, je m'explique : je recherche celle qui était connue des premiers apôtres et du christ lui-même, celle qui date d'avant les dogmes instaurés par Rome et les Conciles, je recherche depuis longtemps moi-même à corriger le tir et à revenir aux pratiques de la sectes des Nazaréens tels qu'il étaient enseignés à l'époque des premiers apôtres.
J'ai trouvé ceci : http://fr.wikipedia.org/wiki/Naz%C3%B4r%C3%A9ens
J'ai longtemps prié pour connaitre ce genre de foi et de pratiques un jour dans ma vie (je sais je suis perfectionniste), c'est pourquoi je béni le seigneur de m'avoir amené à connaitre ce forum.
Je me présente, pour moi le mot Mashia'h (משיח) et le mot Christ veulent désigner les même choses et pour moi Jésus est bien le messie juif (je sais c'est dur à avaler même si c'est la vérité de la Bible) et même si cela vous semble anodin, les conciles ont bouleversés petit à petit nos croyances et aujourd'hui nous nous sommes éloignés de celle qui était connu des premiers disciples de Jésus, c'est pourquoi j'aurais quand même une autre question juste pour être sûr :
- Croyez-vous au dogme de la Sainte Trinité ?, celle qui avait été définie par le credo de Nicée comme définissant le fils comme étant consubstantiel au Père :
La Trinité ou Sainte Trinité, dans le christianisme, est un Dieu unique en trois aspects (hypostases) : le Père, le Fils (La Parole) et le Saint-Esprit, égaux, participant d'une même essence (consubstantialité ou homoousia) et pourtant fondamentalement distincts.
Credo de Nicée
La confession de foi qui avait été adoptée au concile de Nicée :
« Nous croyons en un seul Dieu, Père tout-puissant, Créateur de toutes choses visibles et invisibles ; et en un seul Seigneur Jésus-Christ, Fils unique de Dieu, engendré du Père, c'est-à-dire, de la substance du Père. Dieu de Dieu, lumière de lumière, vrai Dieu de vrai Dieu ; engendré et non fait, consubstantiel au Père ; par qui toutes choses ont été faites au ciel et en la terre. Qui, pour nous autres hommes et pour notre salut, est descendu des cieux, s'est incarné et s'est fait homme ; a souffert et est mort crucifié sur une croix, est ressuscité le troisième jour, est monté aux cieux, et viendra juger les vivants et les morts. Nous croyons aussi au Saint-Esprit. »
proxacutor- Messages : 3
Date d'inscription : 25/05/2012
Re: Bonjours, je suis nouveau sur ce forum, je suis protestant.
Proxacutor a écrit:Croyez-vous au dogme de la Sainte Trinité ?
Je crois pour ma part à La Dualité de Dieu et non à une Trinité.
Je m'explique, la trinité telle qu'enseignée par le dogme du Christianisme est de croire en
3 Personnes distinctes, Le Père Une Personne, Le Fils Une autre Personne, L'Esprit Saint Une autre Personne.
Je crois selon ce que La Bible enseigne que Le Père et Le Fils Sont bien Deux Personnes Distinctes formant Un Seul et Même DieuX Unis L'un dans l'autre avec bien sûr L'Esprit de Dieu, Ils Sont Ehad = UN = Unis. Yéshoua (Jésus) Etant Sorti du Père et étant L'Image du Père.
Mais par contre je ne crois pas que L'Esprit de Dieu Est Une autre Personne distincte du Père et de Yéshoua (Jésus) car L'Esprit Saint Est Le Souffle de Dieu selon la définition Hébraïque.
Le Souffle de Dieu Sort de Dieu, Il Est Son Souffle et Il Est L'Union entre Le Père et Le Fils mais Il n'est donc pas une autre Personne que La Personne du Père et du Fils car Le Souffle de Dieu fait partie de La Personne de Dieu, Père et Fils.
De même notre esprit= notre souffle fait partie de nous-même, nous ne pouvons pas dire que notre esprit=notre souffle est une autre personne distincte de nous même.
Je crois à Un Seul Elohim (DieuX) dont Le Seul Nom Est YHWH (L'Eternel)
Poxacutor a écrit:« Nous croyons en un seul Dieu, Père tout-puissant, Créateur de toutes choses visibles et invisibles ; et en un seul Seigneur Jésus-Christ, Fils unique de Dieu, engendré du Père, c'est-à-dire, de la substance du Père. Dieu de Dieu, lumière de lumière, vrai Dieu de vrai Dieu ; engendré et non fait, consubstantiel au Père ; par qui toutes choses ont été faites au ciel et en la terre. Qui, pour nous autres hommes et pour notre salut, est descendu des cieux, s'est incarné et s'est fait homme ; a souffert et est mort crucifié sur une croix, est ressuscité le troisième jour, est monté aux cieux, et viendra juger les vivants et les morts. Nous croyons aussi au Saint-Esprit. »
sur cette citation, je ne trouve rien à redire et je partage aussi cette croyance.
_________________
Apocalypse 14:12
"C'est ici la patience des saints, ce sont ici ceux qui gardent
Les Commandements d'Elohim, et La Foi de Yéhoshoua-Jésus."
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