Porté du fruit pour Dieu
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Porté du fruit pour Dieu
(Jean 15. 1-11)
L'expression le vrai cep, est une allusion au côté terrestre des choses de Christ, c'est-à-dire à ce qui en est manifesté ici-bas. Israël est la vigne de l'Eternel, selon. Esaïe 5 et Psaume 80, mais Jésus dit : Israël n'est plus le vrai cep ; c'est moi, moi, le véritable résidu d'Israël. Il s'agit donc ici, noir (le la position céleste du Seigneur Jésus, mais (le sa position comme représentant Israël, et prenant sa place ici-bas.
Nous trouvons ensuite celui qui prend soin de ce cep : «Mon Père est le cultivateur». Le cep a des sarments qui sortent de lui et produisent du fruit sur, la terre ; c'est la profession de christianisme, ce à quoi les soins et la discipline du Père s'appliquent. S'agissait-il du vieux cep, Israël, un Juif pouvait ne pas porter de fruit et cependant ne pas être retranché, pourvu qu'il évitât d’enfreindre la loi d'une manière grossière. Il n'en est pas de même du vrai cep, dans lequel il s'agit de porter du fruit d'une manière positive. Dieu cherche ce fruit ; il veut qu'il se manifeste sur la terre, en contraste avec les principes du gouvernement de Dieu envers Israël. Dieu cherche dans l'Église un fruit positif à la gloire de son nom par Jésus-Christ. Nos campagnes peuvent être ornées de beaux arbres qui ne sont pas des arbres fruitiers, mais un cep qui n'a pas de fruit ne vaut rien, son bois même n'est bon qu'à être brûlé.
Le Père émonde le sarment pour qu'il porte du fruit et ôte celui qui n'en porte pas. Dans tout ce passage, le mot demeurer désigne la communion habituelle. Quant à notre position et à notre conduite sur la terre, nous avons à demeurer en Lui et en son amour. Jésus lui-même, dans sa nature, est un avec le Père, mais quand il parle de sa position sur la terre, dans l'obéissance, et l'accomplissement de la volonté du Père, il dit qu'il «demeure dans son amour». Il ne s'agit pas ici de l'union, mais de la communion. La communion découle de l’union et nous est présentée comme l'objet à rechercher.
Un chrétien pourrait se contenter de ne pas faire des choses que le monde réprouve ; ce ne serait pas demeurer dans l'amour de Christ. Son amour à Lui ne s'en est pas tenu là ; il n'aurait pas été manifesté comme Fils de Dieu s'il s'était borné à ne pas faire de mal. Dieu est amour; Jésus était l'activité de l'amour de Dieu sur la terre, et cet amour produisait du fruit. Il en est de même pour nous ; nous sommes la manifestation de la vie de Christ sur la terre, et l'effet naturel de la conscience de son amour et de la communion avec Lui, sera de nous faire produire du fruit. Ce dernier se trouvera nécessairement là où l'amour de Jésus se trouve; il manquera s'il n'y a pas une communion habituelle avec Lui.
Pour que nous ayons à cœur la gloire du Seigneur, il faut que Sa vie en nous soit nourrie, soit entretenue par la communion avec Lui. Si nous demeurons en Lui, c'est-à-dire si nous sommes dans sa communion, nous désirerons sa gloire, et c'est déjà beaucoup, mais ce n'est pas tout. Jésus ajoute (v. 7) : «Si mes paroles demeurent en vous» : si vous recevez de mes paroles l'instruction pour pouvoir me glorifier, alors vous aurez ce qu'il faut afin de pouvoir demander tout ce que vous voudrez.
(v. 8). «En ceci mon Père est glorifié, que vous portiez beaucoup de fruit, et vous serez mes disciples». Le mot disciple va quelquefois plus loin que celui de chrétien. Un disciple est instruit par, son maître, tandis que les chrétiens, quoique de vrais chrétiens, tirent souvent leur instruction du monde, de leur propre sagesse et de leurs pensées. Un homme pourrait ainsi être chrétien sans être disciple ; il peut vouloir que le christianisme soit honorable parmi le monde, ce qui est le contraire de la pensée de Christ, tandis que le disciple connaît et suit la pensée et l'instruction de son Maitre.
(v. 9). C'est infiniment précieux de voir Jésus nous placer à son égard dans la position où il est à l'égard du Père. Christ s'occupe de nous, comme le Père s'occupait de Lui quand il était sur la terre.
(v. 11). «Je vous ai dit ces choses, afin que ma joie soit en vous, et que votre joie soit accomplie». La joie d'un père, c'est que ses enfants se conduisent selon son cœur. Jésus est dans le ciel et nous envoie dans le monde ; il est joyeux en pensant aux siens, quand ils glorifient le Père; son cœur n'a pas de plus grande joie. Mais il y a aussi une pleine joie dans les enfants quand ils portent beaucoup de fruit, accomplissant la volonté du Père et le glorifiant. Une maison n'est pas heureuse, si les enfants se conduisent bien un jour, et mal un autre. Ce qui constitue la joie du Seigneur, c'est que nous demeurions dans son amour. S'il n'en est pas ainsi, notre vie chrétienne devient souvent la proie du monde. Le Seigneur nous appelle spécialement à demeurer dans son amour et à ne pas être tantôt mondains, tantôt chrétiens. L'activité de l'Esprit de Dieu en nous, nous conduira toujours à demeurer en Lui, et c'est ainsi que nous porterons beaucoup de fruit. Jésus ajoute : «Et que votre joie soit accomplie». Il ne peut y avoir de joie quand on est au-dessous de sa tâche ou qu'on y succombe, mais, dans la communion de Jésus, nous Sommes au niveau de notre tâche ; la joie déborde dans nos cœurs et nous fait agir.
Que Dieu nous fasse la grâce d'être remplis d'affection pour le Seigneur, car alors nous dirons : Il faut que je le glorifie.
PENSÉE
Si nous abandonnons l'état chrétien, à quoi nous servira la position chrétienne? Satan nous l'aura bientôt fait perdre de vue. C'est ce qui était arrivé aux Éphésiens, dont il nous est dit dans l'Apocalypse qu'ils avaient «abandonné leur premier amour».
Article puplier sur le "Messagé Evangélique" 1901.
Je me trouve manquant en ce qui conserne porté des fruits pour Dieu. Il faudrait apprendre que nous sommes aimé de Dieu sachant que Lui nous a donné son Fils. Et qu'il a payer chair notre salut.
Shalom.
L'expression le vrai cep, est une allusion au côté terrestre des choses de Christ, c'est-à-dire à ce qui en est manifesté ici-bas. Israël est la vigne de l'Eternel, selon. Esaïe 5 et Psaume 80, mais Jésus dit : Israël n'est plus le vrai cep ; c'est moi, moi, le véritable résidu d'Israël. Il s'agit donc ici, noir (le la position céleste du Seigneur Jésus, mais (le sa position comme représentant Israël, et prenant sa place ici-bas.
Nous trouvons ensuite celui qui prend soin de ce cep : «Mon Père est le cultivateur». Le cep a des sarments qui sortent de lui et produisent du fruit sur, la terre ; c'est la profession de christianisme, ce à quoi les soins et la discipline du Père s'appliquent. S'agissait-il du vieux cep, Israël, un Juif pouvait ne pas porter de fruit et cependant ne pas être retranché, pourvu qu'il évitât d’enfreindre la loi d'une manière grossière. Il n'en est pas de même du vrai cep, dans lequel il s'agit de porter du fruit d'une manière positive. Dieu cherche ce fruit ; il veut qu'il se manifeste sur la terre, en contraste avec les principes du gouvernement de Dieu envers Israël. Dieu cherche dans l'Église un fruit positif à la gloire de son nom par Jésus-Christ. Nos campagnes peuvent être ornées de beaux arbres qui ne sont pas des arbres fruitiers, mais un cep qui n'a pas de fruit ne vaut rien, son bois même n'est bon qu'à être brûlé.
Le Père émonde le sarment pour qu'il porte du fruit et ôte celui qui n'en porte pas. Dans tout ce passage, le mot demeurer désigne la communion habituelle. Quant à notre position et à notre conduite sur la terre, nous avons à demeurer en Lui et en son amour. Jésus lui-même, dans sa nature, est un avec le Père, mais quand il parle de sa position sur la terre, dans l'obéissance, et l'accomplissement de la volonté du Père, il dit qu'il «demeure dans son amour». Il ne s'agit pas ici de l'union, mais de la communion. La communion découle de l’union et nous est présentée comme l'objet à rechercher.
Un chrétien pourrait se contenter de ne pas faire des choses que le monde réprouve ; ce ne serait pas demeurer dans l'amour de Christ. Son amour à Lui ne s'en est pas tenu là ; il n'aurait pas été manifesté comme Fils de Dieu s'il s'était borné à ne pas faire de mal. Dieu est amour; Jésus était l'activité de l'amour de Dieu sur la terre, et cet amour produisait du fruit. Il en est de même pour nous ; nous sommes la manifestation de la vie de Christ sur la terre, et l'effet naturel de la conscience de son amour et de la communion avec Lui, sera de nous faire produire du fruit. Ce dernier se trouvera nécessairement là où l'amour de Jésus se trouve; il manquera s'il n'y a pas une communion habituelle avec Lui.
Pour que nous ayons à cœur la gloire du Seigneur, il faut que Sa vie en nous soit nourrie, soit entretenue par la communion avec Lui. Si nous demeurons en Lui, c'est-à-dire si nous sommes dans sa communion, nous désirerons sa gloire, et c'est déjà beaucoup, mais ce n'est pas tout. Jésus ajoute (v. 7) : «Si mes paroles demeurent en vous» : si vous recevez de mes paroles l'instruction pour pouvoir me glorifier, alors vous aurez ce qu'il faut afin de pouvoir demander tout ce que vous voudrez.
(v. 8). «En ceci mon Père est glorifié, que vous portiez beaucoup de fruit, et vous serez mes disciples». Le mot disciple va quelquefois plus loin que celui de chrétien. Un disciple est instruit par, son maître, tandis que les chrétiens, quoique de vrais chrétiens, tirent souvent leur instruction du monde, de leur propre sagesse et de leurs pensées. Un homme pourrait ainsi être chrétien sans être disciple ; il peut vouloir que le christianisme soit honorable parmi le monde, ce qui est le contraire de la pensée de Christ, tandis que le disciple connaît et suit la pensée et l'instruction de son Maitre.
(v. 9). C'est infiniment précieux de voir Jésus nous placer à son égard dans la position où il est à l'égard du Père. Christ s'occupe de nous, comme le Père s'occupait de Lui quand il était sur la terre.
(v. 11). «Je vous ai dit ces choses, afin que ma joie soit en vous, et que votre joie soit accomplie». La joie d'un père, c'est que ses enfants se conduisent selon son cœur. Jésus est dans le ciel et nous envoie dans le monde ; il est joyeux en pensant aux siens, quand ils glorifient le Père; son cœur n'a pas de plus grande joie. Mais il y a aussi une pleine joie dans les enfants quand ils portent beaucoup de fruit, accomplissant la volonté du Père et le glorifiant. Une maison n'est pas heureuse, si les enfants se conduisent bien un jour, et mal un autre. Ce qui constitue la joie du Seigneur, c'est que nous demeurions dans son amour. S'il n'en est pas ainsi, notre vie chrétienne devient souvent la proie du monde. Le Seigneur nous appelle spécialement à demeurer dans son amour et à ne pas être tantôt mondains, tantôt chrétiens. L'activité de l'Esprit de Dieu en nous, nous conduira toujours à demeurer en Lui, et c'est ainsi que nous porterons beaucoup de fruit. Jésus ajoute : «Et que votre joie soit accomplie». Il ne peut y avoir de joie quand on est au-dessous de sa tâche ou qu'on y succombe, mais, dans la communion de Jésus, nous Sommes au niveau de notre tâche ; la joie déborde dans nos cœurs et nous fait agir.
Que Dieu nous fasse la grâce d'être remplis d'affection pour le Seigneur, car alors nous dirons : Il faut que je le glorifie.
PENSÉE
Si nous abandonnons l'état chrétien, à quoi nous servira la position chrétienne? Satan nous l'aura bientôt fait perdre de vue. C'est ce qui était arrivé aux Éphésiens, dont il nous est dit dans l'Apocalypse qu'ils avaient «abandonné leur premier amour».
Article puplier sur le "Messagé Evangélique" 1901.
Je me trouve manquant en ce qui conserne porté des fruits pour Dieu. Il faudrait apprendre que nous sommes aimé de Dieu sachant que Lui nous a donné son Fils. Et qu'il a payer chair notre salut.
Shalom.
Liandry- Messages : 14
Date d'inscription : 15/10/2008
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