Shabbat chez les Juifs Messianiques (vidéo)
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Re: Shabbat chez les Juifs Messianiques (vidéo)
c'est que tu n'a pas compris alors les profeties psalmique,et aussi le but de chaque croyant en yeshoua.reprends les psaumes indiques dans le post ,et reflichit si toi tu peux prier ces psaumes et en meme temps prier pour le salut des ennemis de D.ieu. c'est contradictoire admine.On ne peut etre un peuple de sacrificateur appeles a etre Saints et a benir ,lors que certains psaumes appellent a la destruction d'ennemi dont notre devoir et obligation est de benir. C'est donc que tu n'as pas compris a mon avis les differentes economies,et buts.
Bien sur que tout genoux flechiras devant yeshoua,bien sur que tout est d'actualite,mais notre missions est de benir, et non pas d'appeler a la vengeance.Ce temps la viendra,mais ce n'est pas encore l'heure! c'est pour cela qu'il ya des tehilim qui ne sont plus adecquoi avec notre mission que yeshoua nous a confies .d'apporter son message d'amour d'espoir et d'esperance et de pardon.lors qu'il ya des tehilim qui ne refletent un autre message (verifique mais non adecquois qui etait adecquois du temps de david,et qui sera de nouveau adequois plus tard) Il n'est pas adapte d'utiliser ces memes psaumes pour la Louange dans nos moments de louange et de priere. Il ya des tehilim qui sont porteurs d'Espereance,qui montre egalement la souverainete de Notre D.ieu qui eux oui sont adecquois.tel que dire que tout genoux se flechira devant le mashiah ,ce n'est pas un psaume qui appelle au jugement et a la dispersion ,mais un psaume qui annonce la souverainete de notre Messie,et un psaume profetique,sur un fait a venir.
Bien sur que tout genoux flechiras devant yeshoua,bien sur que tout est d'actualite,mais notre missions est de benir, et non pas d'appeler a la vengeance.Ce temps la viendra,mais ce n'est pas encore l'heure! c'est pour cela qu'il ya des tehilim qui ne sont plus adecquoi avec notre mission que yeshoua nous a confies .d'apporter son message d'amour d'espoir et d'esperance et de pardon.lors qu'il ya des tehilim qui ne refletent un autre message (verifique mais non adecquois qui etait adecquois du temps de david,et qui sera de nouveau adequois plus tard) Il n'est pas adapte d'utiliser ces memes psaumes pour la Louange dans nos moments de louange et de priere. Il ya des tehilim qui sont porteurs d'Espereance,qui montre egalement la souverainete de Notre D.ieu qui eux oui sont adecquois.tel que dire que tout genoux se flechira devant le mashiah ,ce n'est pas un psaume qui appelle au jugement et a la dispersion ,mais un psaume qui annonce la souverainete de notre Messie,et un psaume profetique,sur un fait a venir.
Invité- Invité
shabbah chez les juifs messianiques
Je crois que tant que le ciel et la terre subsistera, un iota ne sera pas enlevé à la parole de Dieu comme a dit le Seigneur Yeshoua. Cependant nous devons reconnaître les contextes et les dispensations. Nous n'avons plus à lutter contre la chair et le sang.
menwa charles- Messages : 31
Date d'inscription : 09/03/2010
Re: Shabbat chez les Juifs Messianiques (vidéo)
Shmouel a écrit:lors que certains psaumes appellent a la destruction d'ennemi dont notre devoir et obligation est de benir
Appeler à la destruction des ennemis de Dieu et donc des ennemis d'Israel comme David l'a fait, cela revient aussi à demander :
Luc 11.2
Quand vous priez, dites: Père! Que ton nom soit sanctifié; que ton règne vienne.
Tu sais ce qui va se passer au jour du Règne de Dieu ?
Zacharie 14:3-9
L'Éternel paraîtra, et il combattra ces nations, Comme il combat au jour de la bataille.
Ses pieds se poseront en ce jour sur la montagne des oliviers, Qui est vis-à-vis de Jérusalem, du côté de l'orient; La montagne des oliviers se fendra par le milieu, à l'orient et à l'occident, Et il se formera une très grande vallée: Une moitié de la montagne reculera vers le septentrion, Et une moitié vers le midi.
Vous fuirez alors dans la vallée de mes montagnes, Car la vallée des montagnes s'étendra jusqu'à Atzel; Vous fuirez comme vous avez fui devant le tremblement de terre, Au temps d'Ozias, roi de Juda. Et l'Éternel, mon Dieu, viendra, et tous ses saints avec lui.
En ce jour-là, il n'y aura point de lumière; Il y aura du froid et de la glace.
Ce sera un jour unique, connu de l'Éternel, Et qui ne sera ni jour ni nuit; Mais vers le soir la lumière paraîtra.
En ce jour-là, des eaux vives sortiront de Jérusalem, Et couleront moitié vers la mer orientale, Moitié vers la mer occidentale; Il en sera ainsi été et hiver.
L'Éternel sera roi de toute la terre; En ce jour-là, l'Éternel sera le seul Éternel, Et son nom sera le seul nom.
Quand David demande la destruction des ennemis de Dieu, c'est pour La Gloire de Dieu pas par haine de son ennemi mais par haine du mal.
Dernière édition par Admine le Jeu 11 Nov - 5:15, édité 1 fois
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"C'est ici la patience des saints, ce sont ici ceux qui gardent
Les Commandements d'Elohim, et La Foi de Yéhoshoua-Jésus."


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Re: Shabbat chez les Juifs Messianiques (vidéo)
Charles a écrit:Nous n'avons plus à lutter contre la chair et le sang.
Sous l'Ancienne Alliance non plus ils n'avaient pas à lutter contre la chair et le sang.
Le combat Spirituel a commencé depuis le jardin d'Eden.
Il est écrit :
Ephésiens 6.12 Car nous n'avons PAS à lutter contre la chair et le sang, mais contre les dominations, contre les autorités, contre les princes de ce monde de ténèbres, contre les esprits méchants dans les lieux célestes.
Il n'est pas écrit PLUS comme si sous l'Ancienne Alliance ils avaient à lutter contre la chair et le sang.
Le combat Spirituel se répercute sur la terre donc aussi sur la chair et le sang mais ce n'est pas contre la chair et le sang que nous luttons mais contre les esprits méchants.
Dernière édition par Admine le Jeu 11 Nov - 8:11, édité 2 fois
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Re: Shabbat chez les Juifs Messianiques (vidéo)
Quand David demande la destruction des ennemis de Dieu, c'est pour La Gloire de Dieu pas par haine de son ennemi mais par haine du mal. Il demande la destruction du mal.
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Re: Shabbat chez les Juifs Messianiques (vidéo)
Les dispensations : de quoi s’agit-il ?]
Dans le langage chrétien, on appelle volontiers dispensations ou économies les différentes périodes de l’histoire de l’humanité. Non pas les périodes définies par les grands événements qui retiennent l’attention du monde, mais les périodes caractérisées par les révélations que Dieu a faites aux hommes et par les dispositions qu’il a prises envers eux dans la souveraineté de son administration
(*) : Ce mot dispensation traduit le grec oikonomia = oikonomia (d’où l’expression économie par translittération) que la Bible version JND traduit par administration. Cet usage du mot administration se trouve dans le langage moderne à propos de l’administration de tel président des États-Unis. Le mot dispensation, plus connu en anglais, est devenu rare dans la langue française, mais figurait dans les dictionnaires du 19° siècle. Voir détails explicatifs aux points 2.2 et 2.3 ci-après.
La révélation de Dieu a été progressive. Ce n’est pas que l’intelligence de l’homme, au cours des temps, ait fait des progrès lui permettant de saisir toujours mieux ce qu’est Dieu ! Mais il a plu à Dieu de communiquer sa volonté, ses pensées, ses plans, par étapes successives — la révélation de chaque étape dépendant à la fois de la conduite de l’homme à l’égard de la révélation précédente et des plans souverains de Dieu.
Les communications divines ont placé les hommes qui les ont reçues — que ce soient Adam, Noé, Abraham, le peuple d’Israël, ou d’autres — dans une position particulière de responsabilité. Et l’histoire biblique nous montre, dans chaque cas, comment l’homme s’est acquitté de sa responsabilité. Mal, le plus souvent. Mais à l’histoire décevante de l’homme répond la révélation glorieuse de la grâce de Dieu, qui a «surabondé» là où le péché abondait (cf. Rom. 5:20).
Aujourd’hui, l’ensemble de la révélation de Dieu étant entre nos mains, comment pouvons-nous faire bon usage de ce qui a été communiqué à d’autres dans les temps qui ont précédé ? Sans doute, en recevant par la foi tout ce que la parole de Dieu nous dit. Mais aussi en comprenant les différences entre les diverses conditions dans lesquelles se trouvaient les hommes auxquels Dieu s’est adressé. Cela pourra nous éviter de regrettables méprises, en particulier celle d’appliquer aux messianiques des éléments périmés du système légal institué autrefois par Dieu en Israël, et de nous priver par là des pleines bénédictions du messianisme . Il serait aussi faux de laisser simplement l’Ancien Testament de côté, que de le lire sans la lumière du Nouveau.
Admine ,ta reponse me montre que tu ne fais aucune difference entre les differentes economies.
tu ne peux bibliquement appliquer au temps de grace specifique dans lequel nous sommes depuis 2 mille ans une economie de la Loi,du temps du Roi david.c'est une grande erreur que de penser cela! David demandait l'anneantissement de ses ennemis que ce soit pour la Gloire de D.ieu ou pas,la n'est pas la question!!.nous ne sommes pas de cette economie la!.Nous n'avons pas a demander l'anneantissement de qui que ce soit! meme pour la gloire de D.ieu!,car allant ainsi tu vas a l'encontre de la pensee de D.ieu surcette economie dans l'aquelle nous sommes aujourd'hui.
qui est basee sur la patience de D.ieu qui attend que touts ceux doivent venir au salut y parviennent.
La Gràce :
1. Dans l’Ancien Testament déjà, se trouve exprimée la pure bonté du Dieu qui aime le pécheur et désire, non pas sa mort, mais sa conversion et sa vie (#Ez 18:23). Sur la base de la loi, l’homme ne devait être justifié que par les œuvres, ce qui était une impossibilité (#Ga 3:10,12). C’est pourquoi le Seigneur laisse d’emblée entrevoir qu’il choisit Israël sans aucun mérite de sa part (#De 7:7-8; 9:4-5). Il déclare : « Je fais grâce à qui je fais grâce, et miséricorde à qui je fais miséricorde », car il est « miséricordieux et compatissant, lent à la colère, riche en bonté et en fidélité » (#Ex 33:19; 34:6-7). Par les sacrifices sanglants qui prophétisent la Croix, il accorde provisoirement à ceux qui croient la rémission et la purification des péchés (#Hé 9:22 ; #Ex 12:13 ; #Lé 4:20,26,31,35; 16:30, etc.). Aussi le Psalmiste peut-il déjà célébrer la grâce qui l’a sauvé (#Ps 32:1-5). Si Dieu gardait le souvenir des iniquités, nul ne pourrait subsister ; mais on trouve auprès de lui le pardon, la miséricorde et la rédemption en abondance (#Ps 130:3-4; 7-8). Et le croyant s’écrie : « Éternel, que ta grâce soit sur nous, comme nous espérons en toi ! » (#Ps 33:22).
2. La grâce est venue par Jésus-Christ, tandis que la loi a été donnée par Moïse (#Jn 1:17). « La grâce de Dieu, source de salut pour tous les hommes, a été manifestée » (#Tit 2:11). L’Ancien Testament ne pouvait que promettre, ou donner par anticipation, ce que la manifestation vivante et visible de la grâce de Dieu en Jésus-Christ allait rendre réel et définitif. « Car vous connaissez la grâce de notre Seigneur Jésus-Christ, qui pour vous s’est fait pauvre, de riche qu’il était, afin que par sa pauvreté vous fussiez enrichis » (#2Co 8:9).
3. C’est à la croix qu’éclate la grâce salvatrice. La venue du Seigneur ici-bas n’était pas suffisante. La grâce n’est pas seulement un effet de la miséricorde d’un Dieu prêt par bonté d’âme à tout pardonner. Sa sainteté et sa justice absolues devaient être satisfaites en même temps que son amour : il a fallu pour cela le sacrifice expiatoire du Calvaire. Jésus a été abaissé « afin que, par la grâce de Dieu, il souffrit la mort pour tous » (#Hé 2:9). « Tous ont péché... et ils sont gratuitement justifiés par sa grâce, par le moyen de la rédemption qui est en Jésus-Christ. » C’est lui qui est devenu « par son sang... victime propitiatoire » (#Ro 3:23-25).
4. La grâce ne peut être reçue que par la foi. Nous sommes « gratuitement justifiés par sa grâce... ; les héritiers le sont par la foi, pour que ce soit par grâce... Or, si c’est par grâce, ce n’est plus par les œuvres ; autrement la grâce n’est plus une grâce » (#Ro 3:24; 4:16; 11:6). Voilà la grande doctrine du salut par la foi seule, sans œuvres ni mérites personnels, que les Réformateurs ont si magnifiquement remise en lumière. Écoutons encore Paul : « C’est par la grâce que vous êtes sauvés, par le moyen de la foi. Et cela ne vient pas de vous, c’est le don de Dieu. Ce n’est point par les œuvres, afin que personne ne se glorifie » (#Ep 2:8-9). À Dieu, « nous devons d’avoir eu par la foi accès à cette grâce » (#Ro 5:2). C’est pourquoi il est plusieurs fois parlé du don de la grâce (#Ro 5:15,16 ; #Ep 2:8; 3:7; 4:7 ; etc.). Or, que faut-il faire pour recevoir un don si royalement offert, sinon l’accepter « avec actions de grâces »? Il est indispensable aussi de le prendre humblement par la foi, car Dieu fait grâce aux humbles mais il résiste aux orgueilleux (#1P 5:5 ; #Lu 18:11-14). Voir Reconnaissance.
5. Quels sont les effets de la grâce en nous ? Ils sont merveilleux et complets, au point qu’on peut dire de la grâce qu’elle est le Seigneur lui-même agissant pour nous sauver. Elle nous apporte le plein pardon de nos fautes : « Là où le péché a abondé, la grâce a surabondé » (#Ro 5:20). « Il nous a rendus à la vie avec lui (Christ), en nous faisant grâce pour toutes nos offenses » (#Col 2:13). « Nous sommes justifiés par sa grâce » (#Tit 3:7). « C’est par la grâce du Seigneur Jésus que nous croyons être sauvés » (#Ac 15:11). Notre cœur est affermi par la grâce (#Hé 13:9), qui nous donne une consolation éternelle et une bonne espérance (#2Th 2:16). Le bonheur et la grâce nous accompagnent tous les jours de notre vie (#Ps 23:6), car Dieu environne le juste de sa grâce comme d’un bouclier (#Ps 5:12). « Ceux qui reçoivent l’abondance de la grâce et du don de la justice régneront... dans la vie par Jésus-Christ » (#Ro 5:17,21). Cette grâce, en effet, dure toute la vie (#Ps 30:6). De tels bienfaits sont si nombreux que le croyant ne saurait rien désirer de plus. C’est pourquoi le souhait apostolique « que la grâce... soit avec vous » se retrouve 31 fois dans les épîtres et l’Apocalypse. Le résumé du message évangélique est le témoignage que le Seigneur et les siens rendent « à la parole de sa grâce » (#Ac 14:3; 20:32). Qui voit des âmes sauvées, peut dire qu’il a « vu la grâce de Dieu » (#Ac 11:23). Les nouveaux convertis sont exhortés à « rester attachés à la grâce de Dieu » (#Ac 13:43). Les ouvriers qui vont faire une œuvre au loin sont pour cela « recommandés à la grâce de Dieu » (#Ac 14:26).
S’il en est ainsi, refuser un tel don serait rejeter Dieu lui-même. On pourrait en effet se priver de la grâce de Dieu (#Hé 12:15), la recevoir en vain (#2Co 6:1), la changer en dissolution (#Jude 1:1.4 ; #Ro 6:1), en être même déchu (#Ga 5:4). Puissions-nous au contraire croître dans la grâce (#2P 3:18), en être remplis (#Ac 6:8), à tel point que Dieu puisse toujours nous dire « Ma grâce te suffit » (#2Co 12:9). Ainsi il atteindra son but, qui est « de montrer dans les siècles à venir l’infinie richesse de sa grâce, par sa bonté envers nous en Jésus-Christ... à la louange de la gloire de sa grâce » (#Ep 2:7; 1:6).
La Loi :
1. Force déterminante, agissant dans un sens unique, et contraignant la volonté (#Ro 7:23).
2. Règle de conduite, imposée par une autorité compétente, sous menace de sanction en cas de désobéissance. La Bible se sert du mot loi surtout dans cette acception. De nombreuses coutumes inhérentes à la vie en société ont été finalement codifiées, mais une loi peut être imposée par une autorité terrestre, ou divine, sans découler d’une coutume ou d’une législation antérieure. Le terme français loi (du latin lex et de ligare, lier) rend l’hébreu torah, instruction, l’araméen Dath, décret, et le grec nomos, coutume, loi. Excepté dans le sens exprimé sous 1, le mot loi signifie règle de conduite, émanant d’une autorité se révélant au cœur, ou s’imposant extérieurement. La loi peut être décrétée par les gouvernements (#Esd 7:26 ; #Est 1:19 ; #Da 6:8), ou procéder directement de Dieu, par révélation surnaturelle audible, comme sur le Sinaï, ou encore par le ministère des prophètes inspirés (#Za 7:12). La loi morale se fait aussi connaître par la conscience (#Ro 2:14,15). La sagesse provient de la crainte de Dieu, de l’obéissance à ses commandements, de l’étude de sa loi écrite, de la connaissance du cœur humain, de la pratique de la sainteté. Enseigner cette sagesse divine, c’est faire jaillir une source de vie (#Pr 13:14). Suivre les sages préceptes qu’énoncent les parents, c’est se couronner de grâce (#Pr 1:8,9).
La Loi de l’Ancien Testament. L’expression « la Loi », précédée de l’article défini, sans épithète, s’applique parfois à la totalité de l’Ancien Testament (#Jn 12:34 ; #1Co 14:21 ; cf. #Jn 10:34; 15:25), mais elle désigne plus souvent le Pentateuque (#Jos 1:8 ; #Né 8:2,3,14 ; #Mt 5:17; 7:12 ; #Lu 16:16 ; #Jn 1:17). Dieu se servit de Moïse pour communiquer la Loi (#Ex 20:19-22 ; #Mt 15:4 ; #Jn 1:17). Il s’agit de la Loi de l’Éternel (#Jos 24:26 ; #2Ch 31:3), écrite dans un livre (#Jos 1:7,8), renfermant les ordonnances de l’Exode, du Lévitique, des Nombres, du Deutéronome (cf. #Mr 12:26 et #Ex 3:6 ; #Mr 7:10 et #Ex 20:12; 21:17 ; #Lu 2:22 et #Jn 7:22,23 ; #Lé 12:2,3 ; #Mt 8:4 et #Lé 14:3 ; #Mt 19:8; 22:24 et #De 24:1; 25:5). Le Pentateuque (voir ce mot), première division du canon, était appelé la Loi (#Lu 24:44). Les 10 commandements et les statuts qui en découlent, donnés sur le Sinaï, sont la constitution de l’État théocratique. Le peuple entier entendit la promulgation de cette loi fondamentale. L’ensemble des ordonnances réglant le culte, sauvegardant les droits de l’homme, inspirant la conduite individuelle, prescrivant les cérémonies des sacrifices et des fêtes, fut donné en même temps que les 10 commandements, mais communiqué par Moïse (voir Théocratie).
La législation réglant en détail la manière de s’approcher de Dieu fut promulguée lors de l’érection du tabernacle (voir Lévitique). 38 ans plus tard, Moïse rappela publiquement la Loi à la génération nouvelle et introduisit les modifications qu’allait exiger l’entrée dans la Terre Promise (voir Deutéronome).
L’abrogation des ordonnances locales et temporaires n’entraîna pas celle du Décalogue, impératif divin, valable pour les chrétiens aussi bien que pour les Juifs (#Ex 20:12 ; #De 5:16 ; #Ep 6:2,3). Aucune société ne peut se passer des 10 commandements, expression de la nature immuable de Dieu. Leurs principes spirituels et moraux resteront valables tant qu’il y aura des hommes sur la terre ; le culte en esprit et en vérité rendu au Dieu unique ; la crainte de son nom ; le besoin de repos pour tous (mais non pas la fête cérémonielle du sabbat, voir ce mot) ; les égards vis-à-vis des parents ; le respect de la vie du prochain, de son honneur, de sa famille et de ses biens. Chacun de ces principes est repris dans son essence dans le Nouveau Testament (cf. #Mt 19:18-19; 22:37-39 ; #Ro 13:8-9 ; #Ep 4:25-5:5; 6:1-2 ; #Hé 4:9-11, etc.). Pourtant, les ordonnances cérémonielles de l’ancienne alliance (#Hé 8:7) étant périmées (#Hé 8:13 ; cf. #Hé 8$-10$), les apôtres refusèrent de les imposer aux convertis d’origine païenne (#Ac 15:23-29, etc.). Le sacerdoce lévitique, les sacrifices, les cérémonies, les fêtes, toutes ces choses ordonnées par la loi préfiguraient Christ, notre souverain sacrificateur et son sacrifice expiatoire. Ces types accomplis par la venue du Sauveur ne sont désormais plus nécessaires, quoique leur intérêt symbolique demeure. Le code civil et criminel des Israélites était admirablement adapté à leur degré de civilisation.
Pour les ressemblances entre les lois mosaïques et celles d’Hammourabi, voir ce dernier mot. Les découvertes archéologiques, surtout des 30 dernières années, ont beaucoup éclairé le contexte de la Loi de Moïse. En plus du Code d’Hammourabi découvert à Suse en 1901-1902, on a retrouvé des codes sumériens, babyloniens, assyriens, hittites et cananéens, qui font mieux comprendre la valeur de la législation mosaïque. Les lois de Lipit-Ishtar, roi d’Isin en Babylonie centrale (vers 1875 avant Jésus-Christ) et celles plus anciennes encore d’Eshunna, vieille cité au nord-est de Bagdad, démontrent que le Code d’Hammourabi lui-même était un aboutissement. D’autres documents assyriens et babyloniens du même ordre ont été découverts à Kanish en Cappadoce (XIXe siècle avant Jésus-Christ), ainsi que de nombreux textes juridiques (XVe siècle avant Jésus-Christ) à Nuzu près de la ville actuelle de Kirkuk, à partir de 1925. Des savants allemands ont tiré de la ville d’Assour, sur le Tigre, des textes de loi assyriens dont beaucoup sont de la période de Tiglath-Piléser (environ 1110 avant Jésus-Christ). Les lois hittites retrouvées sont plus anciennes de 1 ou 2 siècles. En comparaison avec ces diverses législations, « ce Livre de l’Alliance présente une simplicité dans la vie économique et une morale humanitaire dans les relations des individus telles qu’elles ne pouvaient exister que dans l’Israël primitif » (W. F. Albright, The Old Testament in Modern Study, 1951, pages 39 et suivantes).
Le rôle spirituel de la Loi. Dans quel but a-t-elle été donnée ?
1. Pour révéler les exigences de Dieu et mettre en évidence les transgressions (#Ga 3:19). Avant la Loi, les hommes faisaient le mal, mais le péché ne leur était pas imputé comme tel (#Ro 5:13 ; #1Jn 3:4) ; la Loi étant venue, elle excite encore plus leurs convoitises par l’attrait du fruit défendu (#Ro 7:7-9), sans communiquer aucune force à leur mauvaise nature pour accomplir le bien (#Ro 7:11-25).
2. Ayant convaincu les hommes de leurs transgressions (#Ro 3:19-20,23 ; #Ja 2:10-11), la Loi les condamne tous à la mort et au jugement (#Ga 3:10,22).
3. L’action de la Loi n’est que temporaire : elle dure jusqu’à la venue de la postérité d’Abraham (Christ, #Ga 3:16,19), jusqu’à ce que la foi puisse s’exercer (#Ga 3:23).
4. La Loi a donc été « comme un pédagogue pour nous conduire à Christ » (#Ga 3:24). Chez les Grecs et les Romains, le « pédagogue » (un esclave le plus souvent), était chargé d’éduquer et de prendre soin du jeune garçon jusqu’à sa majorité ; dès que celui-ci cessait d’être un enfant (#Ga 4:1) pour devenir un fils (#Ga 4:1-7), le rôle du pédagogue prenait fin. La Loi, en nous « renfermant sous le péché » et en nous plaçant sous la malédiction terrible du Dieu saint, ne nous a laissé qu’une issue : nous réfugier par la foi en Christ le Sauveur, qui a porté toute cette malédiction à notre place (#Ga 3:24; 11-13).
5. Maintenant, nous ne sommes plus sous le pédagogue (#Ga 3:25) ; ayant été comme mis à mort quant à la Loi, nous appartenons désormais à Christ qui nous a ressuscités avec lui (#Ro 7:4,6). Nous avons le privilège d’être non sous la Loi, mais sous la grâce (#Ro 6:14).
6. Étant régénéré par la présence de Christ en lui, le croyant peut désormais librement et joyeusement accomplir par l’Esprit ce que commandait la Loi (#Ro 8:2-4 ; #Ga 2:19-20) ; cette Loi n’est plus extérieure à lui, sur des tables de pierre ou dans un livre : elle est écrite dans son cœur (#Hé 8:10). Le fils devenu majeur accomplit volontairement ce qu’il faisait précédemment par crainte du pédagogue ; et même s’il y manque, l’affaire se règle directement entre son Père et lui, et n’est plus du ressort du pédagogue (#Hé 12:5-10 ; #1Jn 2:1-2).
7. Affranchi de la Loi, le messianique ne tombe évidemment pas dans la licence : il demeure soumis à l’éternelle loi de l’amour, seule garantie de sa liberté et de celle des autres (#Ga 5:13-14) ; porté par l’Esprit (#Ga 5:18; 22-23), il accomplit la Loi nouvelle, la Loi de Christ (#Ga 6:2 ; #Ro 13:8-10).
Sources :
a chacun de se postionner et de choisir
Dans le langage chrétien, on appelle volontiers dispensations ou économies les différentes périodes de l’histoire de l’humanité. Non pas les périodes définies par les grands événements qui retiennent l’attention du monde, mais les périodes caractérisées par les révélations que Dieu a faites aux hommes et par les dispositions qu’il a prises envers eux dans la souveraineté de son administration
(*) : Ce mot dispensation traduit le grec oikonomia = oikonomia (d’où l’expression économie par translittération) que la Bible version JND traduit par administration. Cet usage du mot administration se trouve dans le langage moderne à propos de l’administration de tel président des États-Unis. Le mot dispensation, plus connu en anglais, est devenu rare dans la langue française, mais figurait dans les dictionnaires du 19° siècle. Voir détails explicatifs aux points 2.2 et 2.3 ci-après.
La révélation de Dieu a été progressive. Ce n’est pas que l’intelligence de l’homme, au cours des temps, ait fait des progrès lui permettant de saisir toujours mieux ce qu’est Dieu ! Mais il a plu à Dieu de communiquer sa volonté, ses pensées, ses plans, par étapes successives — la révélation de chaque étape dépendant à la fois de la conduite de l’homme à l’égard de la révélation précédente et des plans souverains de Dieu.
Les communications divines ont placé les hommes qui les ont reçues — que ce soient Adam, Noé, Abraham, le peuple d’Israël, ou d’autres — dans une position particulière de responsabilité. Et l’histoire biblique nous montre, dans chaque cas, comment l’homme s’est acquitté de sa responsabilité. Mal, le plus souvent. Mais à l’histoire décevante de l’homme répond la révélation glorieuse de la grâce de Dieu, qui a «surabondé» là où le péché abondait (cf. Rom. 5:20).
Aujourd’hui, l’ensemble de la révélation de Dieu étant entre nos mains, comment pouvons-nous faire bon usage de ce qui a été communiqué à d’autres dans les temps qui ont précédé ? Sans doute, en recevant par la foi tout ce que la parole de Dieu nous dit. Mais aussi en comprenant les différences entre les diverses conditions dans lesquelles se trouvaient les hommes auxquels Dieu s’est adressé. Cela pourra nous éviter de regrettables méprises, en particulier celle d’appliquer aux messianiques des éléments périmés du système légal institué autrefois par Dieu en Israël, et de nous priver par là des pleines bénédictions du messianisme . Il serait aussi faux de laisser simplement l’Ancien Testament de côté, que de le lire sans la lumière du Nouveau.
Admine ,ta reponse me montre que tu ne fais aucune difference entre les differentes economies.
tu ne peux bibliquement appliquer au temps de grace specifique dans lequel nous sommes depuis 2 mille ans une economie de la Loi,du temps du Roi david.c'est une grande erreur que de penser cela! David demandait l'anneantissement de ses ennemis que ce soit pour la Gloire de D.ieu ou pas,la n'est pas la question!!.nous ne sommes pas de cette economie la!.Nous n'avons pas a demander l'anneantissement de qui que ce soit! meme pour la gloire de D.ieu!,car allant ainsi tu vas a l'encontre de la pensee de D.ieu surcette economie dans l'aquelle nous sommes aujourd'hui.
qui est basee sur la patience de D.ieu qui attend que touts ceux doivent venir au salut y parviennent.
La Gràce :
1. Dans l’Ancien Testament déjà, se trouve exprimée la pure bonté du Dieu qui aime le pécheur et désire, non pas sa mort, mais sa conversion et sa vie (#Ez 18:23). Sur la base de la loi, l’homme ne devait être justifié que par les œuvres, ce qui était une impossibilité (#Ga 3:10,12). C’est pourquoi le Seigneur laisse d’emblée entrevoir qu’il choisit Israël sans aucun mérite de sa part (#De 7:7-8; 9:4-5). Il déclare : « Je fais grâce à qui je fais grâce, et miséricorde à qui je fais miséricorde », car il est « miséricordieux et compatissant, lent à la colère, riche en bonté et en fidélité » (#Ex 33:19; 34:6-7). Par les sacrifices sanglants qui prophétisent la Croix, il accorde provisoirement à ceux qui croient la rémission et la purification des péchés (#Hé 9:22 ; #Ex 12:13 ; #Lé 4:20,26,31,35; 16:30, etc.). Aussi le Psalmiste peut-il déjà célébrer la grâce qui l’a sauvé (#Ps 32:1-5). Si Dieu gardait le souvenir des iniquités, nul ne pourrait subsister ; mais on trouve auprès de lui le pardon, la miséricorde et la rédemption en abondance (#Ps 130:3-4; 7-8). Et le croyant s’écrie : « Éternel, que ta grâce soit sur nous, comme nous espérons en toi ! » (#Ps 33:22).
2. La grâce est venue par Jésus-Christ, tandis que la loi a été donnée par Moïse (#Jn 1:17). « La grâce de Dieu, source de salut pour tous les hommes, a été manifestée » (#Tit 2:11). L’Ancien Testament ne pouvait que promettre, ou donner par anticipation, ce que la manifestation vivante et visible de la grâce de Dieu en Jésus-Christ allait rendre réel et définitif. « Car vous connaissez la grâce de notre Seigneur Jésus-Christ, qui pour vous s’est fait pauvre, de riche qu’il était, afin que par sa pauvreté vous fussiez enrichis » (#2Co 8:9).
3. C’est à la croix qu’éclate la grâce salvatrice. La venue du Seigneur ici-bas n’était pas suffisante. La grâce n’est pas seulement un effet de la miséricorde d’un Dieu prêt par bonté d’âme à tout pardonner. Sa sainteté et sa justice absolues devaient être satisfaites en même temps que son amour : il a fallu pour cela le sacrifice expiatoire du Calvaire. Jésus a été abaissé « afin que, par la grâce de Dieu, il souffrit la mort pour tous » (#Hé 2:9). « Tous ont péché... et ils sont gratuitement justifiés par sa grâce, par le moyen de la rédemption qui est en Jésus-Christ. » C’est lui qui est devenu « par son sang... victime propitiatoire » (#Ro 3:23-25).
4. La grâce ne peut être reçue que par la foi. Nous sommes « gratuitement justifiés par sa grâce... ; les héritiers le sont par la foi, pour que ce soit par grâce... Or, si c’est par grâce, ce n’est plus par les œuvres ; autrement la grâce n’est plus une grâce » (#Ro 3:24; 4:16; 11:6). Voilà la grande doctrine du salut par la foi seule, sans œuvres ni mérites personnels, que les Réformateurs ont si magnifiquement remise en lumière. Écoutons encore Paul : « C’est par la grâce que vous êtes sauvés, par le moyen de la foi. Et cela ne vient pas de vous, c’est le don de Dieu. Ce n’est point par les œuvres, afin que personne ne se glorifie » (#Ep 2:8-9). À Dieu, « nous devons d’avoir eu par la foi accès à cette grâce » (#Ro 5:2). C’est pourquoi il est plusieurs fois parlé du don de la grâce (#Ro 5:15,16 ; #Ep 2:8; 3:7; 4:7 ; etc.). Or, que faut-il faire pour recevoir un don si royalement offert, sinon l’accepter « avec actions de grâces »? Il est indispensable aussi de le prendre humblement par la foi, car Dieu fait grâce aux humbles mais il résiste aux orgueilleux (#1P 5:5 ; #Lu 18:11-14). Voir Reconnaissance.
5. Quels sont les effets de la grâce en nous ? Ils sont merveilleux et complets, au point qu’on peut dire de la grâce qu’elle est le Seigneur lui-même agissant pour nous sauver. Elle nous apporte le plein pardon de nos fautes : « Là où le péché a abondé, la grâce a surabondé » (#Ro 5:20). « Il nous a rendus à la vie avec lui (Christ), en nous faisant grâce pour toutes nos offenses » (#Col 2:13). « Nous sommes justifiés par sa grâce » (#Tit 3:7). « C’est par la grâce du Seigneur Jésus que nous croyons être sauvés » (#Ac 15:11). Notre cœur est affermi par la grâce (#Hé 13:9), qui nous donne une consolation éternelle et une bonne espérance (#2Th 2:16). Le bonheur et la grâce nous accompagnent tous les jours de notre vie (#Ps 23:6), car Dieu environne le juste de sa grâce comme d’un bouclier (#Ps 5:12). « Ceux qui reçoivent l’abondance de la grâce et du don de la justice régneront... dans la vie par Jésus-Christ » (#Ro 5:17,21). Cette grâce, en effet, dure toute la vie (#Ps 30:6). De tels bienfaits sont si nombreux que le croyant ne saurait rien désirer de plus. C’est pourquoi le souhait apostolique « que la grâce... soit avec vous » se retrouve 31 fois dans les épîtres et l’Apocalypse. Le résumé du message évangélique est le témoignage que le Seigneur et les siens rendent « à la parole de sa grâce » (#Ac 14:3; 20:32). Qui voit des âmes sauvées, peut dire qu’il a « vu la grâce de Dieu » (#Ac 11:23). Les nouveaux convertis sont exhortés à « rester attachés à la grâce de Dieu » (#Ac 13:43). Les ouvriers qui vont faire une œuvre au loin sont pour cela « recommandés à la grâce de Dieu » (#Ac 14:26).
S’il en est ainsi, refuser un tel don serait rejeter Dieu lui-même. On pourrait en effet se priver de la grâce de Dieu (#Hé 12:15), la recevoir en vain (#2Co 6:1), la changer en dissolution (#Jude 1:1.4 ; #Ro 6:1), en être même déchu (#Ga 5:4). Puissions-nous au contraire croître dans la grâce (#2P 3:18), en être remplis (#Ac 6:8), à tel point que Dieu puisse toujours nous dire « Ma grâce te suffit » (#2Co 12:9). Ainsi il atteindra son but, qui est « de montrer dans les siècles à venir l’infinie richesse de sa grâce, par sa bonté envers nous en Jésus-Christ... à la louange de la gloire de sa grâce » (#Ep 2:7; 1:6).
La Loi :
1. Force déterminante, agissant dans un sens unique, et contraignant la volonté (#Ro 7:23).
2. Règle de conduite, imposée par une autorité compétente, sous menace de sanction en cas de désobéissance. La Bible se sert du mot loi surtout dans cette acception. De nombreuses coutumes inhérentes à la vie en société ont été finalement codifiées, mais une loi peut être imposée par une autorité terrestre, ou divine, sans découler d’une coutume ou d’une législation antérieure. Le terme français loi (du latin lex et de ligare, lier) rend l’hébreu torah, instruction, l’araméen Dath, décret, et le grec nomos, coutume, loi. Excepté dans le sens exprimé sous 1, le mot loi signifie règle de conduite, émanant d’une autorité se révélant au cœur, ou s’imposant extérieurement. La loi peut être décrétée par les gouvernements (#Esd 7:26 ; #Est 1:19 ; #Da 6:8), ou procéder directement de Dieu, par révélation surnaturelle audible, comme sur le Sinaï, ou encore par le ministère des prophètes inspirés (#Za 7:12). La loi morale se fait aussi connaître par la conscience (#Ro 2:14,15). La sagesse provient de la crainte de Dieu, de l’obéissance à ses commandements, de l’étude de sa loi écrite, de la connaissance du cœur humain, de la pratique de la sainteté. Enseigner cette sagesse divine, c’est faire jaillir une source de vie (#Pr 13:14). Suivre les sages préceptes qu’énoncent les parents, c’est se couronner de grâce (#Pr 1:8,9).
La Loi de l’Ancien Testament. L’expression « la Loi », précédée de l’article défini, sans épithète, s’applique parfois à la totalité de l’Ancien Testament (#Jn 12:34 ; #1Co 14:21 ; cf. #Jn 10:34; 15:25), mais elle désigne plus souvent le Pentateuque (#Jos 1:8 ; #Né 8:2,3,14 ; #Mt 5:17; 7:12 ; #Lu 16:16 ; #Jn 1:17). Dieu se servit de Moïse pour communiquer la Loi (#Ex 20:19-22 ; #Mt 15:4 ; #Jn 1:17). Il s’agit de la Loi de l’Éternel (#Jos 24:26 ; #2Ch 31:3), écrite dans un livre (#Jos 1:7,8), renfermant les ordonnances de l’Exode, du Lévitique, des Nombres, du Deutéronome (cf. #Mr 12:26 et #Ex 3:6 ; #Mr 7:10 et #Ex 20:12; 21:17 ; #Lu 2:22 et #Jn 7:22,23 ; #Lé 12:2,3 ; #Mt 8:4 et #Lé 14:3 ; #Mt 19:8; 22:24 et #De 24:1; 25:5). Le Pentateuque (voir ce mot), première division du canon, était appelé la Loi (#Lu 24:44). Les 10 commandements et les statuts qui en découlent, donnés sur le Sinaï, sont la constitution de l’État théocratique. Le peuple entier entendit la promulgation de cette loi fondamentale. L’ensemble des ordonnances réglant le culte, sauvegardant les droits de l’homme, inspirant la conduite individuelle, prescrivant les cérémonies des sacrifices et des fêtes, fut donné en même temps que les 10 commandements, mais communiqué par Moïse (voir Théocratie).
La législation réglant en détail la manière de s’approcher de Dieu fut promulguée lors de l’érection du tabernacle (voir Lévitique). 38 ans plus tard, Moïse rappela publiquement la Loi à la génération nouvelle et introduisit les modifications qu’allait exiger l’entrée dans la Terre Promise (voir Deutéronome).
L’abrogation des ordonnances locales et temporaires n’entraîna pas celle du Décalogue, impératif divin, valable pour les chrétiens aussi bien que pour les Juifs (#Ex 20:12 ; #De 5:16 ; #Ep 6:2,3). Aucune société ne peut se passer des 10 commandements, expression de la nature immuable de Dieu. Leurs principes spirituels et moraux resteront valables tant qu’il y aura des hommes sur la terre ; le culte en esprit et en vérité rendu au Dieu unique ; la crainte de son nom ; le besoin de repos pour tous (mais non pas la fête cérémonielle du sabbat, voir ce mot) ; les égards vis-à-vis des parents ; le respect de la vie du prochain, de son honneur, de sa famille et de ses biens. Chacun de ces principes est repris dans son essence dans le Nouveau Testament (cf. #Mt 19:18-19; 22:37-39 ; #Ro 13:8-9 ; #Ep 4:25-5:5; 6:1-2 ; #Hé 4:9-11, etc.). Pourtant, les ordonnances cérémonielles de l’ancienne alliance (#Hé 8:7) étant périmées (#Hé 8:13 ; cf. #Hé 8$-10$), les apôtres refusèrent de les imposer aux convertis d’origine païenne (#Ac 15:23-29, etc.). Le sacerdoce lévitique, les sacrifices, les cérémonies, les fêtes, toutes ces choses ordonnées par la loi préfiguraient Christ, notre souverain sacrificateur et son sacrifice expiatoire. Ces types accomplis par la venue du Sauveur ne sont désormais plus nécessaires, quoique leur intérêt symbolique demeure. Le code civil et criminel des Israélites était admirablement adapté à leur degré de civilisation.
Pour les ressemblances entre les lois mosaïques et celles d’Hammourabi, voir ce dernier mot. Les découvertes archéologiques, surtout des 30 dernières années, ont beaucoup éclairé le contexte de la Loi de Moïse. En plus du Code d’Hammourabi découvert à Suse en 1901-1902, on a retrouvé des codes sumériens, babyloniens, assyriens, hittites et cananéens, qui font mieux comprendre la valeur de la législation mosaïque. Les lois de Lipit-Ishtar, roi d’Isin en Babylonie centrale (vers 1875 avant Jésus-Christ) et celles plus anciennes encore d’Eshunna, vieille cité au nord-est de Bagdad, démontrent que le Code d’Hammourabi lui-même était un aboutissement. D’autres documents assyriens et babyloniens du même ordre ont été découverts à Kanish en Cappadoce (XIXe siècle avant Jésus-Christ), ainsi que de nombreux textes juridiques (XVe siècle avant Jésus-Christ) à Nuzu près de la ville actuelle de Kirkuk, à partir de 1925. Des savants allemands ont tiré de la ville d’Assour, sur le Tigre, des textes de loi assyriens dont beaucoup sont de la période de Tiglath-Piléser (environ 1110 avant Jésus-Christ). Les lois hittites retrouvées sont plus anciennes de 1 ou 2 siècles. En comparaison avec ces diverses législations, « ce Livre de l’Alliance présente une simplicité dans la vie économique et une morale humanitaire dans les relations des individus telles qu’elles ne pouvaient exister que dans l’Israël primitif » (W. F. Albright, The Old Testament in Modern Study, 1951, pages 39 et suivantes).
Le rôle spirituel de la Loi. Dans quel but a-t-elle été donnée ?
1. Pour révéler les exigences de Dieu et mettre en évidence les transgressions (#Ga 3:19). Avant la Loi, les hommes faisaient le mal, mais le péché ne leur était pas imputé comme tel (#Ro 5:13 ; #1Jn 3:4) ; la Loi étant venue, elle excite encore plus leurs convoitises par l’attrait du fruit défendu (#Ro 7:7-9), sans communiquer aucune force à leur mauvaise nature pour accomplir le bien (#Ro 7:11-25).
2. Ayant convaincu les hommes de leurs transgressions (#Ro 3:19-20,23 ; #Ja 2:10-11), la Loi les condamne tous à la mort et au jugement (#Ga 3:10,22).
3. L’action de la Loi n’est que temporaire : elle dure jusqu’à la venue de la postérité d’Abraham (Christ, #Ga 3:16,19), jusqu’à ce que la foi puisse s’exercer (#Ga 3:23).
4. La Loi a donc été « comme un pédagogue pour nous conduire à Christ » (#Ga 3:24). Chez les Grecs et les Romains, le « pédagogue » (un esclave le plus souvent), était chargé d’éduquer et de prendre soin du jeune garçon jusqu’à sa majorité ; dès que celui-ci cessait d’être un enfant (#Ga 4:1) pour devenir un fils (#Ga 4:1-7), le rôle du pédagogue prenait fin. La Loi, en nous « renfermant sous le péché » et en nous plaçant sous la malédiction terrible du Dieu saint, ne nous a laissé qu’une issue : nous réfugier par la foi en Christ le Sauveur, qui a porté toute cette malédiction à notre place (#Ga 3:24; 11-13).
5. Maintenant, nous ne sommes plus sous le pédagogue (#Ga 3:25) ; ayant été comme mis à mort quant à la Loi, nous appartenons désormais à Christ qui nous a ressuscités avec lui (#Ro 7:4,6). Nous avons le privilège d’être non sous la Loi, mais sous la grâce (#Ro 6:14).
6. Étant régénéré par la présence de Christ en lui, le croyant peut désormais librement et joyeusement accomplir par l’Esprit ce que commandait la Loi (#Ro 8:2-4 ; #Ga 2:19-20) ; cette Loi n’est plus extérieure à lui, sur des tables de pierre ou dans un livre : elle est écrite dans son cœur (#Hé 8:10). Le fils devenu majeur accomplit volontairement ce qu’il faisait précédemment par crainte du pédagogue ; et même s’il y manque, l’affaire se règle directement entre son Père et lui, et n’est plus du ressort du pédagogue (#Hé 12:5-10 ; #1Jn 2:1-2).
7. Affranchi de la Loi, le messianique ne tombe évidemment pas dans la licence : il demeure soumis à l’éternelle loi de l’amour, seule garantie de sa liberté et de celle des autres (#Ga 5:13-14) ; porté par l’Esprit (#Ga 5:18; 22-23), il accomplit la Loi nouvelle, la Loi de Christ (#Ga 6:2 ; #Ro 13:8-10).
Sources :
a chacun de se postionner et de choisir
Dernière édition par shmouel le Jeu 11 Nov - 6:57, édité 1 fois
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Re: Shabbat chez les Juifs Messianiques (vidéo)
Le gouvernement et la grâce
Si le principe du gouvernement de Dieu est simple à comprendre, la manière dont Dieu l’exerce est souvent hors de notre compréhension.
Les voies de Dieu envers les hommes ne comportent pas seulement son gouvernement. Elles sont caractérisées par plusieurs principes, qui chacun ont leur source dans ce que Dieu est en lui-même. Juste et saint, il se doit de juger et de rétribuer justement. Dieu d’amour, il se doit d’user de grâce et de patience. Dans sa sagesse, il sait comment allier des éléments qui peuvent nous paraître inconciliables. «Ses jugements sont insondables, et ses voies introuvables» (Rom. 11:33).
Parce que la sentence contre les mauvaises oeuvres ne s’exécute pas immédiatement, à cause de cela le coeur des fils des hommes est au-dedans d’eux plein d’envie de faire le mal» (Éccl. 8:11). La patience de Dieu a sa place dans toutes ses voies envers l’homme, et celui-ci, bien trop souvent, n’en profite pas. Elle «attendait» déjà «dans les jours de Noé» (1 Pierre 3:20), et elle attend encore aujourd’hui, tandis que la bonté de Dieu pousse les hommes à la repentance. Mais ceux qui la méprisent amassent pour eux-mêmes la colère «au jour... de la révélation du juste jugement de Dieu, qui rendra à chacun selon ses oeuvres» (Rom. 2:4, 5).
Et ce n’est pas seulement la patience, mais la grâce de Dieu, que nous voyons constamment manifestée dans ses voies. Dès le début de l’histoire du peuple d’Israël, il se manifeste comme «l’Éternel, Dieu, miséricordieux et faisant grâce, lent à la colère, et grand en bonté et en vérité,... pardonnant l’iniquité, la transgression et le péché, et qui ne tient nullement celui qui en est coupable pour innocent» (Ex. 34:6, 7). Quelques siècles plus tard, le psalmiste reconnaît : «Il ne nous a pas fait selon nos péchés, et il ne nous a pas rendu selon nos iniquités» (Ps. 103:10).
8.3 Quand la rétribution a-t-elle lieu ?
«J’ai vu le méchant puissant, et s’étendant comme un arbre vert croissant dans son lieu natal ; mais il passa, et voici, il n’était plus ; et je l’ai cherché, et il ne s’est plus trouvé» (Ps. 37:35, 36). Ici la rétribution s’exécute sous les yeux de celui qui s’exprime. Dans d’autres passages, elle est présentée au futur ; elle interviendra au jour où Dieu prendra en mains ses droits sur la terre : «Encore un peu de temps, et le méchant ne sera plus ; et tu considéreras son lieu, et il n’y sera plus ; et les débonnaires posséderont le pays, et feront leurs délices d’une abondance de paix» (v. 10, 11). Dieu décide souverainement si son jugement doit s’exécuter maintenant ou plus tard. Dans la perspective de l’Ancien Testament, il s’agit de toute façon d’un jugement en rapport avec la terre, la vie et la bénédiction n’étant pas révélées au-delà du Millénium.
Dans le Nouveau Testament, la rétribution est le plus souvent envisagée en rapport avec la venue du Seigneur : «Car le Fils de l’homme viendra dans la gloire de son Père, avec ses anges, et alors il rendra à chacun selon sa conduite» (Matt. 16:27) ; «Voici, je viens bientôt, et ma récompense est avec moi, pour rendre à chacun selon que sera son oeuvre» (Apoc. 22:12). L’apôtre Paul parle très souvent du jour de la rétribution : «Ne jugez rien avant le temps, jusqu’à ce que le Seigneur vienne, qui aussi mettra en lumière les choses cachées des ténèbres, et qui manifestera les conseils des coeurs ; et alors chacun recevra sa louange de la part de Dieu» (1 Cor. 4:5 ; cf. 2 Cor. 5:10). La pensée de la rétribution est associée à la venue du Seigneur en gloire (1 Thess. 3:13 ; 2 Thess. 1:10), tandis que sa venue pour prendre les siens auprès de lui se lie plutôt à la pensée de la délivrance finale (1 Thess. 1:10 ; 4:16-18).Dans certains passages, le fait de la rétribution est mis en évidence sans que soit précisé le moment où elle est effectuée. Par exemple, à propos de l’aumône, le Seigneur dit : «Ton Père qui voit dans le secret, te récompensera» (Matt. 6:4). Il ne dit pas quand. De même, l’apôtre Paul écrit : «Celui qui sème chichement moissonnera aussi chichement, et celui qui sème libéralement moissonnera aussi libéralement» (2 Cor. 9:6). Dans d’autres passages, la rétribution est manifestement pour le temps pendant lequel nous sommes sur la terre : «Du jugement dont vous jugerez, vous serez jugés ; et de la mesure dont vous mesurerez, il vous sera mesuré» (Matt. 7:2). Parfois aussi, les deux étapes sont mentionnées : «Il n’y a personne qui ait quitté maison, ou frères, ou soeurs, ou père, ou mère, ou femme, ou enfants, ou champs, pour l’amour de moi et pour l’amour de l’évangile, qui n’en reçoive maintenant, en ce temps-ci, cent fois autant... avec des persécutions, et dans le siècle qui vient, la vie éternelle» (Marc 10:29, 30).
8.4 Qui est celui qui rétribue ?
Dans l’Ancien Testament, cette fonction appartient à l’Éternel, au «Dieu des rétributions» ; c’est lui qui «rend certainement ce qui est dû» (Jér. 51:56). «Il rend à l’homme selon son oeuvre» (Prov. 24:12). Cependant il utilise très souvent des instruments humains, qui, sans même en avoir conscience, agissent de sa part (voir par ex. Jug. 1:7 ; 2 Sam. 16:11 ; És. 10:5-7).
Dans le Nouveau Testament, le jugement final est présenté comme appartenant à Jésus Christ. «Le Père ne juge personne, mais il a donné tout le jugement au Fils ;... il lui a donné autorité de juger aussi, parce qu’il est Fils de l’homme» (Jean 5:22, 27 ; cf. Act. 17:31 ; Rom. 2:16). Par contre, le gouvernement des enfants de Dieu s’exerce de la part de leur Père : «Si vous invoquez comme Père celui qui, sans acception de personnes, juge selon l’oeuvre de chacun, conduisez-vous avec crainte...» (1 Pierre 1:17).
9.1 Des choses nouvelles et des choses vieilles
«Tout scribe qui a été fait disciple du royaume des cieux est semblable à un maître de maison qui produit de son trésor des choses nouvelles et des choses vieilles» (Matt. 13:52). Le Seigneur évoque ici le service du disciple qui, connaissant les richesses de l’Ancien Testament comme celles du Nouveau, peut tirer de l’un et de l’autre une nourriture abondante pour le peuple de Dieu. C’est un encouragement à lire et à sonder les Écritures qui avaient été données aux Juifs.
Cependant, tout ce que nous avons considéré jusqu’ici concernant
— la révélation progressive que Dieu a donnée de ses pensées et de ses plans,
— et les changements qui sont intervenus dans ses rapports avec les hommes,
tout cela nous incite à la prudence lors de la lecture, et encore davantage lors de l’exposition, de l’Ancien Testament.9.2 Explications et applications
Lors de cette remarquable lecture du livre de la loi faite sur la place publique par le résidu de Juda remonté de Babylone, «depuis l’aube jusqu’à midi, en présence des hommes et des femmes, et de ceux qui avaient de l’intelligence», nous voyons ce que signifie une explication. Des lévites «faisaient comprendre la loi au peuple», «ils lisaient distinctement dans le livre de la loi de Dieu,... ils en donnaient le sens et le faisaient comprendre lorsqu’on lisait» (Néh. 8:1-8).
Voici une première préoccupation nécessaire devant un passage de la Parole : quel est son sens, son sens premier ? À qui Dieu s’adresse-t-il ? Que dit-il ?
Cependant, si nous nous limitions à expliquer la Parole, nous pourrions passer à côté des enseignements qu’elle a pour nous. Si nous disons (même avec raison) : ceci concerne Israël, cela concerne Josué, David ou Timothée, et que nous ne nous sentions pas concernés par ce qui leur est dit, nous faisons une perte immense. Plus que cela, nous fermons nos oreilles alors que Dieu nous parle.
Les écrivains du Nouveau Testament tirent constamment des applications des textes de l’Ancien. Ils font des analogies entre des situations anciennes et des situations actuelles et en tirent des conclusions pour ceux auxquels ils s’adressent. L’auteur de l’épître aux Hébreux, par exemple, après nous avoir présenté «une grande nuée de témoins», au chapitre 11, nous encourage en nous disant : «C’est pourquoi, nous aussi..., courons avec patience la course qui est devant nous, fixant les yeux sur Jésus...» (12:1). Un peu plus loin, il prend une parole que Dieu a dite à Josué — «Je ne te laisserai point et je ne t’abandonnerai point» — et l’applique sans aucune réserve à ceux auxquels il écrit, comme si Dieu la leur avait adressée à eux-mêmes (13:4). Et il en est bien ainsi, cette parole est adressée par Dieu à chacun des siens !
Les applications que l’on peut faire, et que l’on doit faire, du texte biblique peuvent être envisagées sous deux aspects :
— Pour autant qu’il dépend de nous, elles doivent être faites avec intelligence. Nous ne devons pas nous appliquer des déclarations qui sont en contradiction avec la dispensation dans laquelle nous vivons. D’où la nécessité de connaître quelque chose des dispensations.
— D’un autre côté, souvenons-nous que l’Écriture est entre les mains de Dieu plus encore qu’entre nos mains ! Quand nous la lisons, c’est lui qui parle, et nous qui écoutons. Il agit sur nos coeurs et nos consciences. Elle est «vivante et opérante». Elle est «un marteau» ou «une épée» dans sa main. Comme la pluie qu’il envoie du ciel, «elle fera ce qui est son plaisir, et accomplira ce pour quoi il l’a envoyée» (És. 55:11). Et cela, en dépit de nos insuffisances.
Étudie-toi à te présenter approuvé à Dieu, ouvrier qui n’a pas à avoir honte, exposant justement la parole de la vérité — 2 Timothée 2:15
Si le principe du gouvernement de Dieu est simple à comprendre, la manière dont Dieu l’exerce est souvent hors de notre compréhension.
Les voies de Dieu envers les hommes ne comportent pas seulement son gouvernement. Elles sont caractérisées par plusieurs principes, qui chacun ont leur source dans ce que Dieu est en lui-même. Juste et saint, il se doit de juger et de rétribuer justement. Dieu d’amour, il se doit d’user de grâce et de patience. Dans sa sagesse, il sait comment allier des éléments qui peuvent nous paraître inconciliables. «Ses jugements sont insondables, et ses voies introuvables» (Rom. 11:33).
Parce que la sentence contre les mauvaises oeuvres ne s’exécute pas immédiatement, à cause de cela le coeur des fils des hommes est au-dedans d’eux plein d’envie de faire le mal» (Éccl. 8:11). La patience de Dieu a sa place dans toutes ses voies envers l’homme, et celui-ci, bien trop souvent, n’en profite pas. Elle «attendait» déjà «dans les jours de Noé» (1 Pierre 3:20), et elle attend encore aujourd’hui, tandis que la bonté de Dieu pousse les hommes à la repentance. Mais ceux qui la méprisent amassent pour eux-mêmes la colère «au jour... de la révélation du juste jugement de Dieu, qui rendra à chacun selon ses oeuvres» (Rom. 2:4, 5).
Et ce n’est pas seulement la patience, mais la grâce de Dieu, que nous voyons constamment manifestée dans ses voies. Dès le début de l’histoire du peuple d’Israël, il se manifeste comme «l’Éternel, Dieu, miséricordieux et faisant grâce, lent à la colère, et grand en bonté et en vérité,... pardonnant l’iniquité, la transgression et le péché, et qui ne tient nullement celui qui en est coupable pour innocent» (Ex. 34:6, 7). Quelques siècles plus tard, le psalmiste reconnaît : «Il ne nous a pas fait selon nos péchés, et il ne nous a pas rendu selon nos iniquités» (Ps. 103:10).
8.3 Quand la rétribution a-t-elle lieu ?
«J’ai vu le méchant puissant, et s’étendant comme un arbre vert croissant dans son lieu natal ; mais il passa, et voici, il n’était plus ; et je l’ai cherché, et il ne s’est plus trouvé» (Ps. 37:35, 36). Ici la rétribution s’exécute sous les yeux de celui qui s’exprime. Dans d’autres passages, elle est présentée au futur ; elle interviendra au jour où Dieu prendra en mains ses droits sur la terre : «Encore un peu de temps, et le méchant ne sera plus ; et tu considéreras son lieu, et il n’y sera plus ; et les débonnaires posséderont le pays, et feront leurs délices d’une abondance de paix» (v. 10, 11). Dieu décide souverainement si son jugement doit s’exécuter maintenant ou plus tard. Dans la perspective de l’Ancien Testament, il s’agit de toute façon d’un jugement en rapport avec la terre, la vie et la bénédiction n’étant pas révélées au-delà du Millénium.
Dans le Nouveau Testament, la rétribution est le plus souvent envisagée en rapport avec la venue du Seigneur : «Car le Fils de l’homme viendra dans la gloire de son Père, avec ses anges, et alors il rendra à chacun selon sa conduite» (Matt. 16:27) ; «Voici, je viens bientôt, et ma récompense est avec moi, pour rendre à chacun selon que sera son oeuvre» (Apoc. 22:12). L’apôtre Paul parle très souvent du jour de la rétribution : «Ne jugez rien avant le temps, jusqu’à ce que le Seigneur vienne, qui aussi mettra en lumière les choses cachées des ténèbres, et qui manifestera les conseils des coeurs ; et alors chacun recevra sa louange de la part de Dieu» (1 Cor. 4:5 ; cf. 2 Cor. 5:10). La pensée de la rétribution est associée à la venue du Seigneur en gloire (1 Thess. 3:13 ; 2 Thess. 1:10), tandis que sa venue pour prendre les siens auprès de lui se lie plutôt à la pensée de la délivrance finale (1 Thess. 1:10 ; 4:16-18).Dans certains passages, le fait de la rétribution est mis en évidence sans que soit précisé le moment où elle est effectuée. Par exemple, à propos de l’aumône, le Seigneur dit : «Ton Père qui voit dans le secret, te récompensera» (Matt. 6:4). Il ne dit pas quand. De même, l’apôtre Paul écrit : «Celui qui sème chichement moissonnera aussi chichement, et celui qui sème libéralement moissonnera aussi libéralement» (2 Cor. 9:6). Dans d’autres passages, la rétribution est manifestement pour le temps pendant lequel nous sommes sur la terre : «Du jugement dont vous jugerez, vous serez jugés ; et de la mesure dont vous mesurerez, il vous sera mesuré» (Matt. 7:2). Parfois aussi, les deux étapes sont mentionnées : «Il n’y a personne qui ait quitté maison, ou frères, ou soeurs, ou père, ou mère, ou femme, ou enfants, ou champs, pour l’amour de moi et pour l’amour de l’évangile, qui n’en reçoive maintenant, en ce temps-ci, cent fois autant... avec des persécutions, et dans le siècle qui vient, la vie éternelle» (Marc 10:29, 30).
8.4 Qui est celui qui rétribue ?
Dans l’Ancien Testament, cette fonction appartient à l’Éternel, au «Dieu des rétributions» ; c’est lui qui «rend certainement ce qui est dû» (Jér. 51:56). «Il rend à l’homme selon son oeuvre» (Prov. 24:12). Cependant il utilise très souvent des instruments humains, qui, sans même en avoir conscience, agissent de sa part (voir par ex. Jug. 1:7 ; 2 Sam. 16:11 ; És. 10:5-7).
Dans le Nouveau Testament, le jugement final est présenté comme appartenant à Jésus Christ. «Le Père ne juge personne, mais il a donné tout le jugement au Fils ;... il lui a donné autorité de juger aussi, parce qu’il est Fils de l’homme» (Jean 5:22, 27 ; cf. Act. 17:31 ; Rom. 2:16). Par contre, le gouvernement des enfants de Dieu s’exerce de la part de leur Père : «Si vous invoquez comme Père celui qui, sans acception de personnes, juge selon l’oeuvre de chacun, conduisez-vous avec crainte...» (1 Pierre 1:17).
9.1 Des choses nouvelles et des choses vieilles
«Tout scribe qui a été fait disciple du royaume des cieux est semblable à un maître de maison qui produit de son trésor des choses nouvelles et des choses vieilles» (Matt. 13:52). Le Seigneur évoque ici le service du disciple qui, connaissant les richesses de l’Ancien Testament comme celles du Nouveau, peut tirer de l’un et de l’autre une nourriture abondante pour le peuple de Dieu. C’est un encouragement à lire et à sonder les Écritures qui avaient été données aux Juifs.
Cependant, tout ce que nous avons considéré jusqu’ici concernant
— la révélation progressive que Dieu a donnée de ses pensées et de ses plans,
— et les changements qui sont intervenus dans ses rapports avec les hommes,
tout cela nous incite à la prudence lors de la lecture, et encore davantage lors de l’exposition, de l’Ancien Testament.9.2 Explications et applications
Lors de cette remarquable lecture du livre de la loi faite sur la place publique par le résidu de Juda remonté de Babylone, «depuis l’aube jusqu’à midi, en présence des hommes et des femmes, et de ceux qui avaient de l’intelligence», nous voyons ce que signifie une explication. Des lévites «faisaient comprendre la loi au peuple», «ils lisaient distinctement dans le livre de la loi de Dieu,... ils en donnaient le sens et le faisaient comprendre lorsqu’on lisait» (Néh. 8:1-8).
Voici une première préoccupation nécessaire devant un passage de la Parole : quel est son sens, son sens premier ? À qui Dieu s’adresse-t-il ? Que dit-il ?
Cependant, si nous nous limitions à expliquer la Parole, nous pourrions passer à côté des enseignements qu’elle a pour nous. Si nous disons (même avec raison) : ceci concerne Israël, cela concerne Josué, David ou Timothée, et que nous ne nous sentions pas concernés par ce qui leur est dit, nous faisons une perte immense. Plus que cela, nous fermons nos oreilles alors que Dieu nous parle.
Les écrivains du Nouveau Testament tirent constamment des applications des textes de l’Ancien. Ils font des analogies entre des situations anciennes et des situations actuelles et en tirent des conclusions pour ceux auxquels ils s’adressent. L’auteur de l’épître aux Hébreux, par exemple, après nous avoir présenté «une grande nuée de témoins», au chapitre 11, nous encourage en nous disant : «C’est pourquoi, nous aussi..., courons avec patience la course qui est devant nous, fixant les yeux sur Jésus...» (12:1). Un peu plus loin, il prend une parole que Dieu a dite à Josué — «Je ne te laisserai point et je ne t’abandonnerai point» — et l’applique sans aucune réserve à ceux auxquels il écrit, comme si Dieu la leur avait adressée à eux-mêmes (13:4). Et il en est bien ainsi, cette parole est adressée par Dieu à chacun des siens !
Les applications que l’on peut faire, et que l’on doit faire, du texte biblique peuvent être envisagées sous deux aspects :
— Pour autant qu’il dépend de nous, elles doivent être faites avec intelligence. Nous ne devons pas nous appliquer des déclarations qui sont en contradiction avec la dispensation dans laquelle nous vivons. D’où la nécessité de connaître quelque chose des dispensations.
— D’un autre côté, souvenons-nous que l’Écriture est entre les mains de Dieu plus encore qu’entre nos mains ! Quand nous la lisons, c’est lui qui parle, et nous qui écoutons. Il agit sur nos coeurs et nos consciences. Elle est «vivante et opérante». Elle est «un marteau» ou «une épée» dans sa main. Comme la pluie qu’il envoie du ciel, «elle fera ce qui est son plaisir, et accomplira ce pour quoi il l’a envoyée» (És. 55:11). Et cela, en dépit de nos insuffisances.
Étudie-toi à te présenter approuvé à Dieu, ouvrier qui n’a pas à avoir honte, exposant justement la parole de la vérité — 2 Timothée 2:15
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Re: Shabbat chez les Juifs Messianiques (vidéo)
Shmouel, trop long à lire...
De plus toi répond simplement à ceci :
Pourquoi le Seigneur Yéshoua (Jésus) nous a t-Il demandé de prier que Le Règne de Son Père Vienne ?
Appeler à la destruction des ennemis de Dieu et donc des ennemis d'Israel comme David l'a fait, cela revient aussi à demander :
Luc 11.2
Quand vous priez, dites: Père! Que ton nom soit sanctifié; que ton règne vienne.
Tu sais ce qui va se passer au jour du Règne de Dieu ?
Zacharie 14:3-9
L'Éternel paraîtra, et il combattra ces nations, Comme il combat au jour de la bataille.
Ses pieds se poseront en ce jour sur la montagne des oliviers, Qui est vis-à-vis de Jérusalem, du côté de l'orient; La montagne des oliviers se fendra par le milieu, à l'orient et à l'occident, Et il se formera une très grande vallée: Une moitié de la montagne reculera vers le septentrion, Et une moitié vers le midi.
Vous fuirez alors dans la vallée de mes montagnes, Car la vallée des montagnes s'étendra jusqu'à Atzel; Vous fuirez comme vous avez fui devant le tremblement de terre, Au temps d'Ozias, roi de Juda. Et l'Éternel, mon Dieu, viendra, et tous ses saints avec lui.
En ce jour-là, il n'y aura point de lumière; Il y aura du froid et de la glace.
Ce sera un jour unique, connu de l'Éternel, Et qui ne sera ni jour ni nuit; Mais vers le soir la lumière paraîtra.
En ce jour-là, des eaux vives sortiront de Jérusalem, Et couleront moitié vers la mer orientale, Moitié vers la mer occidentale; Il en sera ainsi été et hiver.
L'Éternel sera roi de toute la terre; En ce jour-là, l'Éternel sera le seul Éternel, Et son nom sera le seul nom.
Quand David demande la destruction des ennemis de Dieu, c'est pour La Gloire de Dieu pas par haine de son ennemi mais par haine du mal. David demande la destruction du mal, c'est tout à fait conforme avec l'Evangile.
je ne crois pas à la dispensation, ce mot ne se trouve pas dans La Bible ni cette doctrine.
Tu ne me convaincras pas Shmouel car La Parole de Dieu m'a convaincu du contraire.
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Apocalypse 14:12
"C'est ici la patience des saints, ce sont ici ceux qui gardent
Les Commandements d'Elohim, et La Foi de Yéhoshoua-Jésus."


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Re: Shabbat chez les Juifs Messianiques (vidéo)
Si tu es fatiguee en rentrant du boulot,alors repose toi et lit quand tu es en forme! cela te semblera moins long comme message!(c'est le conseil que tu as donnee a une autre personne ,et que tu ne prends pas pour toi meme chere admine!
la trinite n'est pasn un mot apparaissant dans la bible ,pourtant le concept est biblique! ainsi de meme pour ce qui est des differentes economies.
la parole de D.ieu t'as convaincue?...jais deja lu ce ,message de ta part ,pour ensuite lire ensuite que tu t'es en fait trompee!
es tu sure? de ce que tu dis?
le Seigneur yeshoua enseigne comment prier.le regne de D.ieu est dabord un regne de vie prive dans ;a vie de chaque jour,et ensuite le regne a venir de D.ieu plus tard dans une autre economie qui n'est plus cette economie de grace
tu prends des textes de zakaria profetiques qui annoncent des evenements a venir et tu les apliques a notre temps??!!!! et fait de meme avec ceux de david??!!
je pense que devant le Seigneur D.ieu tu dois revoir certaines choses!.maintenant je comprend pourquoi tu es si confuse quand aux temps lies aux profeties,les milles ans etc! .
que le Seigneur de toute grace t'eclaire sur ces sujets si importants.
Mais prends surtout le temps de lire les posts verifie avec la bible ,mets cela en priere,et L'Esprit qui nous conduit a la verite te guidera .

la trinite n'est pasn un mot apparaissant dans la bible ,pourtant le concept est biblique! ainsi de meme pour ce qui est des differentes economies.
la parole de D.ieu t'as convaincue?...jais deja lu ce ,message de ta part ,pour ensuite lire ensuite que tu t'es en fait trompee!


le Seigneur yeshoua enseigne comment prier.le regne de D.ieu est dabord un regne de vie prive dans ;a vie de chaque jour,et ensuite le regne a venir de D.ieu plus tard dans une autre economie qui n'est plus cette economie de grace
tu prends des textes de zakaria profetiques qui annoncent des evenements a venir et tu les apliques a notre temps??!!!! et fait de meme avec ceux de david??!!
je pense que devant le Seigneur D.ieu tu dois revoir certaines choses!.maintenant je comprend pourquoi tu es si confuse quand aux temps lies aux profeties,les milles ans etc! .
que le Seigneur de toute grace t'eclaire sur ces sujets si importants.
Mais prends surtout le temps de lire les posts verifie avec la bible ,mets cela en priere,et L'Esprit qui nous conduit a la verite te guidera .
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Re: Shabbat chez les Juifs Messianiques (vidéo)
Shmouel a écrit:Si tu es fatiguee en rentrant du boulot,alors repose toi et lit quand tu es en forme! cela te semblera moins long comme message!(c'est le conseil que tu as donnee a une autre personne ,et que tu ne prends pas pour toi meme chere admine!
Je sais j'y ai pensé bien que je n'ai pas dis cela exactement en ces termes.
Mais je sais que je serais en désaccord donc je n'ai pas envie de me fatiguer.
Shmouel a écrit:la trinite n'est pasn un mot apparaissant dans la bible ,pourtant le concept est biblique! ainsi de meme pour ce qui est des differentes economies.
J'y ai pensé aussi...
Disons que la doctrine de la dispensation ne se trouve pas dans La Bible.
Shmouel a écrit:la parole de D.ieu t'as convaincue?...jais deja lu ce ,message de ta part ,pour ensuite lire ensuite que tu t'es en fait trompee! es tu sure? de ce que tu dis?
Ici je suis sûre de moi. Je ne me trompe pas forcemment à chaque fois.
Tu sais Shmouel, je vais te dire une chose, je te sens juge et accusateur.
Que L'Eternel Dieu te bénisse

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Re: Shabbat chez les Juifs Messianiques (vidéo)
[quote="Admine"]
tu vois que je ne suis pas le seul à ne pas lire les post trop long !
Shmouel, trop long à lire...
tu vois que je ne suis pas le seul à ne pas lire les post trop long !
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Re: Shabbat chez les Juifs Messianiques (vidéo)
Sur ce coup là, je suis d'accord avec Admin.
Invité- Invité
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eddikhem- Messages : 0
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Re: Shabbat chez les Juifs Messianiques (vidéo)
Bravo et Merci à Shmouel pour cet exposé d'une grande qualité et le temps que tu as pris pour regrouper toutes ces données vitales.
A tous les autres qui ne prennent pas le temps... C'est dommage, vous manquez une analyse remarquable.
Non, c'est vrai que Shmouel n'est pas dans le coeur de chacun mais c'est Oublier que YHWH lui les connait et a définit lui-même un chemin pour tous les hommes, le principe du salut par la foi et non par la loi. Car Yeshoua est l'aboutissement de la loi, la finalité de la loi.
Bien sûr que la crainte de YHWH est une très bonne chose mais ce n'est pas par la crainte que YHWH attire les hommes à lui. Non, c'est parce qu'il est Amour.
Tu oublis cette parole de Johanan que personne ne doit oublier :
Jean 3:16: Car Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu'il ait la vie éternelle.
On est sous la dispensation de la grâce et non de la loi. Ne pas comprendre cela, c'est un comble pour des croyants en Yeshoua. Ce n'est pas parce qu'un mot ne figure pas dans la Bible que l'on ne peut pas l'employé dans notre vocabulaire pour faire comprendre un principe spirituel.
Romains 10:1: Frères, le voeu de mon coeur et ma prière à Dieu pour eux, c'est qu'ils soient sauvés.
Romains 10:2: Je leur rends le témoignage qu'ils ont du zèle pour Dieu, mais sans intelligence:
Romains 10:3: ne connaissant pas la justice de Dieu, et cherchant à établir leur propre justice, ils ne se sont pas soumis à la justice de Dieu;
Romains 10:4: car Christ est la fin de la loi, pour la justification de tous ceux qui croient.
Romains 10:5: En effet, Moïse définit ainsi la justice qui vient de la loi: L'homme qui mettra ces choses en pratique vivra par elles.
Romains 10:6: Mais voici comment parle la justice qui vient de la foi: Ne dis pas en ton coeur: Qui montera au ciel? c'est en faire descendre Christ;
Romains 10:7: ou: Qui descendra dans l'abîme? c'est faire remonter Christ d'entre les morts.
Romains 10:8: Que dit-elle donc? La parole est près de toi, dans ta bouche et dans ton coeur. Or, c'est la parole de la foi, que nous prêchons.
Romains 10:9: Si tu confesses de ta bouche le Seigneur Jésus, et si tu crois dans ton coeur que Dieu l'a ressuscité des morts, tu seras sauvé.
Romains 10:10: Car c'est en croyant du coeur qu'on parvient à la justice, et c'est en confessant de la bouche qu'on parvient au salut,
La dispensation a changé car Yeshoua est devenu le grand souverain sacrificateur selon l'ordre de Melchisédek.
Hébreux 10:1: En effet, la loi, qui possède une ombre des biens à venir, et non l'exacte représentation des choses, ne peut jamais, par les mêmes sacrifices qu'on offre perpétuellement chaque année, amener les assistants à la perfection.
Hébreux 10:2: Autrement, n'aurait-on pas cessé de les offrir, parce que ceux qui rendent ce culte, étant une fois purifiés, n'auraient plus eu aucune conscience de leurs péchés?
Hébreux 10:3: Mais le souvenir des péchés est renouvelé chaque année par ces sacrifices;
Hébreux 10:4: car il est impossible que le sang des taureaux et des boucs ôte les péchés.
Hébreux 10:5: C'est pourquoi Christ, entrant dans le monde, dit: Tu n'as voulu ni sacrifice ni offrande, Mais tu m'as formé un corps;
Hébreux 10:6: Tu n'as agréé ni holocaustes ni sacrifices pour le péché.
Hébreux 10:7: Alors j'ai dit: Voici, je viens Dans le rouleau du livre il est question de moi Pour faire, ô Dieu, ta volonté.
Hébreux 10:8: Après avoir dit d'abord: Tu n'as voulu et tu n'as agréé ni sacrifices ni offrandes, Ni holocaustes ni sacrifices pour le péché ce qu'on offre selon la loi,
Hébreux 10:9: il dit ensuite: Voici, je viens Pour faire ta volonté. Il abolit ainsi la première chose pour établir la seconde.
Éphésiens 2:15: ayant aboli dans sa chair l'inimitié, la loi des commandements [qui consiste] en ordonnances, afin qu'il créât les deux en lui-même pour être un seul homme nouveau, en faisant la paix ;
Là pour certains, il faut prier pour Yeshoua se révèle pleinement à eux.
A tous les autres qui ne prennent pas le temps... C'est dommage, vous manquez une analyse remarquable.
Non, c'est vrai que Shmouel n'est pas dans le coeur de chacun mais c'est Oublier que YHWH lui les connait et a définit lui-même un chemin pour tous les hommes, le principe du salut par la foi et non par la loi. Car Yeshoua est l'aboutissement de la loi, la finalité de la loi.
Admine a écrit:
Tu n'es pas dans le coeur de tous car sache que si certains se convertissent car appelés par l'Amour Infini de Dieu d'autres se convertissent par crainte de Dieu et oui tout n'est pas pareil Shmouel, donc avoir la crainte de L'Eternel Dieu devant les yeux est une très bonne chose. Car certains ne seront pas attirés par l'Amour de Dieu au premier abord mais par la crainte qu'ils ont de Lui et cette crainte les sauvera et ensuite ils découvriront Son Amour.
Bien sûr que la crainte de YHWH est une très bonne chose mais ce n'est pas par la crainte que YHWH attire les hommes à lui. Non, c'est parce qu'il est Amour.
Tu oublis cette parole de Johanan que personne ne doit oublier :
Jean 3:16: Car Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu'il ait la vie éternelle.
On est sous la dispensation de la grâce et non de la loi. Ne pas comprendre cela, c'est un comble pour des croyants en Yeshoua. Ce n'est pas parce qu'un mot ne figure pas dans la Bible que l'on ne peut pas l'employé dans notre vocabulaire pour faire comprendre un principe spirituel.
Romains 10:1: Frères, le voeu de mon coeur et ma prière à Dieu pour eux, c'est qu'ils soient sauvés.
Romains 10:2: Je leur rends le témoignage qu'ils ont du zèle pour Dieu, mais sans intelligence:
Romains 10:3: ne connaissant pas la justice de Dieu, et cherchant à établir leur propre justice, ils ne se sont pas soumis à la justice de Dieu;
Romains 10:4: car Christ est la fin de la loi, pour la justification de tous ceux qui croient.
Romains 10:5: En effet, Moïse définit ainsi la justice qui vient de la loi: L'homme qui mettra ces choses en pratique vivra par elles.
Romains 10:6: Mais voici comment parle la justice qui vient de la foi: Ne dis pas en ton coeur: Qui montera au ciel? c'est en faire descendre Christ;
Romains 10:7: ou: Qui descendra dans l'abîme? c'est faire remonter Christ d'entre les morts.
Romains 10:8: Que dit-elle donc? La parole est près de toi, dans ta bouche et dans ton coeur. Or, c'est la parole de la foi, que nous prêchons.
Romains 10:9: Si tu confesses de ta bouche le Seigneur Jésus, et si tu crois dans ton coeur que Dieu l'a ressuscité des morts, tu seras sauvé.
Romains 10:10: Car c'est en croyant du coeur qu'on parvient à la justice, et c'est en confessant de la bouche qu'on parvient au salut,
La dispensation a changé car Yeshoua est devenu le grand souverain sacrificateur selon l'ordre de Melchisédek.
Hébreux 10:1: En effet, la loi, qui possède une ombre des biens à venir, et non l'exacte représentation des choses, ne peut jamais, par les mêmes sacrifices qu'on offre perpétuellement chaque année, amener les assistants à la perfection.
Hébreux 10:2: Autrement, n'aurait-on pas cessé de les offrir, parce que ceux qui rendent ce culte, étant une fois purifiés, n'auraient plus eu aucune conscience de leurs péchés?
Hébreux 10:3: Mais le souvenir des péchés est renouvelé chaque année par ces sacrifices;
Hébreux 10:4: car il est impossible que le sang des taureaux et des boucs ôte les péchés.
Hébreux 10:5: C'est pourquoi Christ, entrant dans le monde, dit: Tu n'as voulu ni sacrifice ni offrande, Mais tu m'as formé un corps;
Hébreux 10:6: Tu n'as agréé ni holocaustes ni sacrifices pour le péché.
Hébreux 10:7: Alors j'ai dit: Voici, je viens Dans le rouleau du livre il est question de moi Pour faire, ô Dieu, ta volonté.
Hébreux 10:8: Après avoir dit d'abord: Tu n'as voulu et tu n'as agréé ni sacrifices ni offrandes, Ni holocaustes ni sacrifices pour le péché ce qu'on offre selon la loi,
Hébreux 10:9: il dit ensuite: Voici, je viens Pour faire ta volonté. Il abolit ainsi la première chose pour établir la seconde.
Éphésiens 2:15: ayant aboli dans sa chair l'inimitié, la loi des commandements [qui consiste] en ordonnances, afin qu'il créât les deux en lui-même pour être un seul homme nouveau, en faisant la paix ;
Là pour certains, il faut prier pour Yeshoua se révèle pleinement à eux.
Invité- Invité
Re: Shabbat chez les Juifs Messianiques (vidéo)
Guillaume a écrit:Romains 10:4: car Christ est la fin de la loi, pour la justification de tous ceux qui croient.
Romains 10:4:
car Machiach (Messie) est l'aboutissement de La Torah, pour la justification de tous ceux qui croient.
La Torah n'est pas finit.
Yéshoua (Jésus) en est l'aboutissement absolue, l'accomplissement absolue,
Il Est La Torah !
Romains 2.13
Ce ne sont pas, en effet, ceux qui écoutent la Torah qui sont justes devant Dieu, mais ce sont ceux qui la mettent en pratique qui seront justifiés.
lorsque tu cites :
Hébreux 10:8: Après avoir dit d'abord: Tu n'as voulu et tu n'as agréé ni sacrifices ni offrandes, Ni holocaustes ni sacrifices pour le péché ce qu'on offre selon la loi,
Hébreux 10:9: il dit ensuite: Voici, je viens Pour faire ta volonté. Il abolit ainsi la première chose pour établir la seconde.
il s'agit ici des sacrifices.
Éphésiens 2:15: ayant aboli dans sa chair l'inimitié, la loi des commandements [qui consiste] en ordonnances, afin qu'il créât les deux en lui-même pour être un seul homme nouveau, en faisant la paix ;
afin qu'il créât les deux en lui-même pour être un seul homme nouveau, en faisant la paix
car La Loi Est en Yéshoua (Jésus) Il Est Notre Loi car Il Est La Torah faite chair !
Nul être humain n'a suivit La Torah dans la perfection comme L'a fait Yéshoua (Jésus) !
Matthieu 5.17-19
Ne croyez pas que je sois venu pour abolir la loi ou les prophètes; je suis venu non pour abolir, mais pour accomplir.
Car, je vous le dis en vérité, tant que le ciel et la terre ne passeront point, il ne disparaîtra pas de la loi un seul iota ou un seul trait de lettre, jusqu'à ce que tout soit arrivé.
Celui donc qui supprimera l'un de ces plus petits commandements, et qui enseignera aux hommes à faire de même, sera appelé le plus petit dans le royaume des cieux; mais celui qui les observera, et qui enseignera à les observer, celui-là sera appelé grand dans le royaume des cieux.
ensuite si tu continue à dire et à penser que la Torah est finit, terminée, pourquoi continues-tu à La lire et à La citer ? Tu n'as alors besoin que de La Nouvelle Alliance (Nouveau Testament) mais le fait est que sans La Torah, il te manquerait beaucoup de choses concernant Dieu.
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Apocalypse 14:12
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Re: Shabbat chez les Juifs Messianiques (vidéo)
Ai-je dis que la Torah était fini ? Non.
La Torah fait partie de la révélation comme étant un des points, une des étapes de cette révélation les plus importante mais ce n'est qu'une étape.
Pour le juif qui a reçu le don de la Torah, son obéissance a la Torah est juste si du moins au préalable sa justification est fondé sur la foi et non sur la loi.
Pour les non-juifs (toi en l'occurrence et moi) nous n'avons pas reçu le don de la Torah qui a été donné par Moïse à Israël. Nous ne sommes pas concerné par toutes les ordonnances de la loi seul Israël. La seule ordonnance universelle concerne les dix commandements. Dix principes fondamentaux qui nous renvoies aux dix attributs divins tel qu'Il se dévoile dans ce monde.
La Torah ne justifie personne car personne ne peut obéir à toute la Torah. Tous ont péché dit Dieu par l'intermédiaire de Paul, et sont privé de la gloire de Dieu.
Jacques 2:10: Car quiconque observe toute la loi, mais pèche contre un seul commandement, devient coupable de tous.
Galates 2:16: Néanmoins, sachant que ce n'est pas par les oeuvres de la loi que l'homme est justifié, mais par la foi en Jésus-Christ, nous aussi nous avons cru en Jésus-Christ, afin d'être justifiés par la foi en Christ et non par les oeuvres de la loi, parce que nulle chair ne sera justifiée par les oeuvres de la loi.
Moi, je ne condamne pas le juif qui obéit à la Torah et qui a placé toute sa foi en Yeshoua reconnaissant son incapacité à obéir aux 613 Mitsvots de la Torah. Il se confie alors en Yeshoua.
Qu'est-il écrit par rapport à la foi ?
Hébreux 10:38: Et mon juste vivra par la foi; mais, s'il se retire, mon âme ne prend pas plaisir en lui.
Habakuk 2:4: Voici, son âme s'est enflée, elle n'est pas droite en lui; Mais le juste vivra par sa foi.
C'est toujours par la foi que l'homme est sauvé et non par la loi.
Lorsqu'il est écrit que Yeshoua est la finalité, l'aboutissement de la loi, c'est à dire que dans le cadre de la révélation progressive, nous sommes passé à un niveau bien plus élevé car si YHWH s'était révélé à Moïse par les tables de la loi (dimension terrestre), Nous Yeshoua s'est révélée dans nos coeurs (dimension céleste de la révélation).
Sous la dispensation de la grâce, nous sommes entrés dans un réalité bien plus glorieuse que le simple cadre de la loi qui n'était qu'une étape en vue de nous faire connaître Yeshoua comme Sauveur et Maître. C'est le fondement même de la loi. Mais toutes ces lois et ces ordonnances étaient une ombre d'une relation à YHWH bien plus grande, glorieuse et céleste.
La Torah fait partie de la révélation comme étant un des points, une des étapes de cette révélation les plus importante mais ce n'est qu'une étape.
Pour le juif qui a reçu le don de la Torah, son obéissance a la Torah est juste si du moins au préalable sa justification est fondé sur la foi et non sur la loi.
Pour les non-juifs (toi en l'occurrence et moi) nous n'avons pas reçu le don de la Torah qui a été donné par Moïse à Israël. Nous ne sommes pas concerné par toutes les ordonnances de la loi seul Israël. La seule ordonnance universelle concerne les dix commandements. Dix principes fondamentaux qui nous renvoies aux dix attributs divins tel qu'Il se dévoile dans ce monde.
La Torah ne justifie personne car personne ne peut obéir à toute la Torah. Tous ont péché dit Dieu par l'intermédiaire de Paul, et sont privé de la gloire de Dieu.
Jacques 2:10: Car quiconque observe toute la loi, mais pèche contre un seul commandement, devient coupable de tous.
Galates 2:16: Néanmoins, sachant que ce n'est pas par les oeuvres de la loi que l'homme est justifié, mais par la foi en Jésus-Christ, nous aussi nous avons cru en Jésus-Christ, afin d'être justifiés par la foi en Christ et non par les oeuvres de la loi, parce que nulle chair ne sera justifiée par les oeuvres de la loi.
Moi, je ne condamne pas le juif qui obéit à la Torah et qui a placé toute sa foi en Yeshoua reconnaissant son incapacité à obéir aux 613 Mitsvots de la Torah. Il se confie alors en Yeshoua.
Qu'est-il écrit par rapport à la foi ?
Hébreux 10:38: Et mon juste vivra par la foi; mais, s'il se retire, mon âme ne prend pas plaisir en lui.
Habakuk 2:4: Voici, son âme s'est enflée, elle n'est pas droite en lui; Mais le juste vivra par sa foi.
C'est toujours par la foi que l'homme est sauvé et non par la loi.
Lorsqu'il est écrit que Yeshoua est la finalité, l'aboutissement de la loi, c'est à dire que dans le cadre de la révélation progressive, nous sommes passé à un niveau bien plus élevé car si YHWH s'était révélé à Moïse par les tables de la loi (dimension terrestre), Nous Yeshoua s'est révélée dans nos coeurs (dimension céleste de la révélation).
Sous la dispensation de la grâce, nous sommes entrés dans un réalité bien plus glorieuse que le simple cadre de la loi qui n'était qu'une étape en vue de nous faire connaître Yeshoua comme Sauveur et Maître. C'est le fondement même de la loi. Mais toutes ces lois et ces ordonnances étaient une ombre d'une relation à YHWH bien plus grande, glorieuse et céleste.
Invité- Invité
Re: Shabbat chez les Juifs Messianiques (vidéo)
Je suis d'accord avec beaucoup de ce que tu dis ci-dessus, tu vois on arrive à se comprendre parfois.
Par contre juste un bémol lorsque tu dis :
Guillaume a écrit:Pour les non-juifs (toi en l'occurrence et moi) nous n'avons pas reçu le don de la Torah qui a été donné par Moïse à Israël. Nous ne sommes pas concerné par toutes les ordonnances de la loi seul Israël
Fouille bien et tu verras qu'il y a des ordonnances auxquelles nous devons aussi obéir nous non-Juifs et qui ne font pas partie des 10 commandements.
Deutéronome 6.5
Tu aimeras l'Éternel, ton Dieu, de tout ton coeur, de toute ton âme et de toute ta force.
C'est une ordonnance de La Torah qui ne se trouve pas dans les 10 commandements.
Lévitique 19.18
Tu ne te vengeras point, et tu ne garderas point de rancune contre les enfants de ton peuple. Tu aimeras ton prochain comme toi-même. Je suis l'Éternel.
Autre ordonnance de La Torah qui ne se trouve pas dans les 10 Commandements.
Ensuite lorsque les Anciens à Jérusalem ont prescrit ceci pour les non-Juifs :
Actes des Apôtres 15.29
savoir, de vous abstenir des viandes sacrifiées aux idoles, du sang, des animaux étouffés, et de l'impudicité, choses contre lesquelles vous vous trouverez bien de vous tenir en garde. Adieu.
ce sont également des ordonnances de La Torah qui ne sont pas dans les 10 Commandements.
Si on prend l'exemple de l'impudicité, cela comprend l'obéissance à beaucoup d'ordonnance de La Torah :
Lévitique 18.9
Tu ne découvriras point la nudité de ta soeur, fille de ton père ou fille de ta mère, née dans la maison ou née hors de la maison.
Lévitique 18.11
Tu ne découvriras point la nudité de la fille de la femme de ton père, née de ton père. C'est ta soeur.
Lévitique 18.12
Tu ne découvriras point la nudité de la soeur de ton père. C'est la proche parente de ton père.
Lévitique 18.13
Tu ne découvriras point la nudité de la soeur de ta mère. Car c'est la proche parente de ta mère.
Lévitique 18.18
Tu ne prendras point la soeur de ta femme, pour exciter une rivalité, en découvrant sa nudité à côté de ta femme pendant sa vie.
ect, ect, ect...
Deutéronome 18:10-13
Qu'on ne trouve chez toi personne qui fasse passer son fils ou sa fille par le feu, personne qui exerce le métier de devin, d'astrologue, d'augure, de magicien,
d'enchanteur, personne qui consulte ceux qui évoquent les esprits ou disent la bonne aventure, personne qui interroge les morts.
Car quiconque fait ces choses est en abomination à l'Éternel; et c'est à cause de ces abominations que l'Éternel, ton Dieu, va chasser ces nations devant toi.
Tu seras entièrement à l'Éternel, ton Dieu.
Deutéronome 24.17
Tu ne porteras point atteinte au droit de l'étranger et de l'orphelin, et tu ne prendras point en gage le vêtement de la veuve.
Deutéronome 27.19
Maudit soit celui qui porte atteinte au droit de l'étranger, de l'orphelin et de la veuve! -Et tout le peuple dira: Amen!
Lévitique 18.21
Tu ne livreras aucun de tes enfants pour le faire passer à Moloc, et tu ne profaneras point le nom de ton Dieu. Je suis l'Éternel.
ect, ect, ect, ect....
Le fait d'avoir une seule femme vient de La Torah :
Genèse 2.24
C'est pourquoi l'homme quittera son père et sa mère, et s'attachera à sa femme, et ils deviendront une seule chair.
Nous voyons aussi le rappel que l'homme dans le Plan de Dieu est censé ne prendre qu'une seule femme et non plusieurs, le fait d'avoir plusieurs femmes était une tolérance de la part de Dieu mais non une ordonnance.
Les seules ordonnances dont les non-Juifs ont été déchargées sont relatives au Temple, ce sont tous les rites liés au Temple, les sacrifices et aussi la circoncision, le reste, nous devons le suivre en majorité. Bien sûr c'est Yéshoua (Jésus) qui nous donne la force de suivre Sa Torah.
Donc dire que Le Don de La Torah n'a pas été donné aussi aux non-Juifs, ce n'est pas exact. Disons que la Torah nous l'avons gravé dans nos coeurs et nous l'accomplissons en suivant Yéshoua (Jésus) Qui Est Notre Torah.
je vais te dire, dans le milieu dit Chrétien, certains font passer les oeuvres comme un objet de salut, je prend par exemple le baptême, aller à l'église tous les dimanches, ect... Il ne faut pas croire que le salut par les oeuvres n'est prêché que parmi les Juifs, bien au contraire.
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Apocalypse 14:12
"C'est ici la patience des saints, ce sont ici ceux qui gardent
Les Commandements d'Elohim, et La Foi de Yéhoshoua-Jésus."


Mon pseudo Ruth pour ceux qui veulent me nommer
Ruth Administratrice- Admin
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Date d'inscription : 22/10/2007
Re: Shabbat chez les Juifs Messianiques (vidéo)
Shalom Ruth,
j’apprécie vraiment de recevoir le rappel du soir du shabat par mail. Car comme je suis seul à suivre, j'oublie parfois, et je suis entraîné par la famille qui m'entoure.
Merci vraiment pour ce service
Marc
j’apprécie vraiment de recevoir le rappel du soir du shabat par mail. Car comme je suis seul à suivre, j'oublie parfois, et je suis entraîné par la famille qui m'entoure.
Merci vraiment pour ce service
Marc
Marc-de-Niort- Messages : 19
Date d'inscription : 17/02/2017
Re: Shabbat chez les Juifs Messianiques (vidéo)
shalom à tous,
quand j'étais en Israël (eh oui je suis un enfant gâté !), j'ai visité une synagogue avec mon groupe et les Juifs étaient assis à table, en rond, se faisant face les uns aux autres, ils lisaient la thora à voix haute.
Lorsque nous nous rassemblons, nous préférons nous faire face, et comme l'a dit quelqu'un, c'est à table, ensuite, lors des agapes, que l'on partage le mieux, comme le faisait Jésus.
Dans cette vidéo, on voit des habitudes de rassemblements avec des gens en avant, dans les premières places, et un second clergé qui fait la musique. Les gens se tournent le dos. C'est un peu dommage.
Marc
quand j'étais en Israël (eh oui je suis un enfant gâté !), j'ai visité une synagogue avec mon groupe et les Juifs étaient assis à table, en rond, se faisant face les uns aux autres, ils lisaient la thora à voix haute.
Lorsque nous nous rassemblons, nous préférons nous faire face, et comme l'a dit quelqu'un, c'est à table, ensuite, lors des agapes, que l'on partage le mieux, comme le faisait Jésus.
Dans cette vidéo, on voit des habitudes de rassemblements avec des gens en avant, dans les premières places, et un second clergé qui fait la musique. Les gens se tournent le dos. C'est un peu dommage.
Marc
Marc-de-Niort- Messages : 19
Date d'inscription : 17/02/2017
Re: Shabbat chez les Juifs Messianiques (vidéo)
Tu as raison, les repas sont les moments où l'on échange le mieux entre frères et soeurs.
Je précise juste que cette vidéo que j'ai posté date d'un moment déjà, je ne suis pas en accord total avec les Juifs Messianiques au niveau doctrinal, j'explique d'ailleurs dans une autre étude la différence entre les Juifs Messianiques et les Israelites Nazareens.
Pour être allée dans des congrégations Messianiques telle que celle dans cette vidéo, après l'office religieux, un repas a lieu avec un buffet et c'est le moment où les frères et soeurs échangent.
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