Au commencement.. … première phrase de la Thorah.

Bonjour,

Je tiens à préciser qu’ici je vais vous présenter le raccourci d’une étude faite par un mystique sur la Genèse.
Elle sort de l’ordinaire et je la considère comme exceptionnelle, hors des chemins battus.
Je m’avance donc prudemment.
Je n’ai pas peur de YHWH, je n’ai peur que des hommes, de leur folies et de leurs orgueils.

Le fondement de la Thorah est ici, Bereshit, Dieu créa le ciel et la terre.

La première phrase de la Thorah était écrite en continue, 28 lettres, et après, 7 mots y ont été distingués.

Je considère que cette phrase est strictement Divine, Moïse a transmit intégralement et parfaitement la Parole. Pour moi ceci est un postulat de départ sur lequel je ne pourrai jamais revenir, c’est ma foi première.
Elle est Parole Divine, elle a nécessairement une logique de développement, tentons de la dévoiler en partie.

Il faut donc essayer de comprendre la structure de cette phrase par tous les moyens, elle ne peut que révèler Dieu, Lui seul. La parole Divine, son souffle qui se retranscrit lettre après lettre a sa logique de développement, c’est ceci qu’on peut ouvrir.

Shalom

Les sages étudiants la Torah expliquent, enfin certain, que l'on pourrais méditer le premier mot de la Bible pendant toute sa vie sans en avoir fait le tour.

Pour ce qui est des sept premiers mots, on retrouve toute la plénitude de l'alliance de feu, du Fils Bien Aimé, de la Fille Bienheureuse, mais également des notions d'informatiques et de mathématique, tous cela signé par la valeur d'El-Shaddaï.

Oui la Parole de Dieu est divine, comme pourrait-il en être autrement ?

Bonjour

Oui Mkd
Je suis d’accord en disant même que le premier mot enferme en lui toute la Thorah et bien plus.
Je continue.

Moïse connaissait, cette phrase par cœur, elle lui avait été sûrement transmise par ses ancêtres, elle était mémoire d’un peuple. Mais Moïse, plus qu’un autre a cru en cette Parole, Dieu s’est intéressé à Moïse, il venait d’inventer Dieu. Je pèse mes mots, je sais qu’au premier regard il pourrait être dit le contraire. Non, un jour Dieu demanda à Moïse s’il croyait en Lui. Au cœur de Moïse était déjà Dieu sans qu’il le sache.

28 lettres, et 7 mots y ont été distingués. Hors le discours de Dieu va se développer en sept séquences, les sept jours de la création. C’est pour cette raison toute simple que cette première phrase doit être considérée comme un titre.
Bien sûr qu’il peut être dit que ce nombre sept n’est que création humaine à partir de ce qu’il voyait, sept planètes. Il en est comme beaucoup d’autres nombres du croisant fertile. Mais ce ne serait que retrouver des racines purement humaines que de s’en arrêter à ce simple constat.

Remarquer que dès le départ est deux mondes, celui d’en haut, le ciel, et celui du bas, la terre. L’univers est un duel au départ, c’est d’ailleurs pour ceci que la phrase débute par la lettre Beth et non un Aleph. Et donc il y a dans tout étude ou exégèse que l’on peut faire deux possibilités d’explications, celle qui relève de l’homme, de sa psychologie, de son histoire dans la quelle il vit, et une autre explication qui elle ne relève que de Dieu, c’est la seule chose qui nous intéresse pour l’instant, la logique Divine.

Bonjour

Il est connu que le premier mot est déjà difficile à traduire car déjà on peut dire Dans le commencement ou par le commencement. Certains traduisent par le principe.
Enfin se trouve à l’intérieur de ce mot d’autres mots. Bra bien sur mais aussi le mot tête, le mot alliance avec au centre le feu. Je ne sais pas comment interpréter l’intrication de ces mots. Il me semble en tout cas que le souffle divin qui se déroule va de l’inachevé, qui est un potentiel, vers un réalisé, un actualisé. C’est en ce sens qu’il faut comprendre la Parole qui se déroule comme si chaque lettre emmenait la suivante.
On a d’ailleurs déjà ceci sur le plan de la structure des deux premiers mots B R A S I T et avec le Bra qui suit. C’est comme si cette potentialité créatrice se projetait vers un réalisé.
Pourquoi je raisonne avec les concepts potentiels réalisés ? Parce qu’on s’est aperçu que dans tous les domaines, notre logique formelle est incapable de dépasser le tout ou rien. Fondée sur le principe du tiers exclus, tous nos jugements sont de l’ordre, quelque chose est ou n’est pas, quelque chose est vrai ou faux etc. c’est toujours la dichotomie. Les logiques modernes acceptent par contre le tiers inclus. Et ceci est en total accord avec cette notion de trinitarisme. Je ne peux pas évidemment développer plus loin.

Il faut aussi considérer ce choix Divin pour le 7 mis en valeur dès le début.
Pourquoi sept et pas dix par exemple comme notre numération ?
Quel est la différence entre 10 et sept ? TROIS.
Une numération en base trois est possible. Nous ne la connaissons pas puisque l’homme sait compter sur ses doigts et a mis au point une « intelligence » en base deux remplie de tout ou rien, rien que des 1 et des 0. De là. toutes les incohérences de nos logiques et de nos dialectiques.

Une base 3 ne s’écrit qu’avec des 0 des 1 et des 2.

Alors abandonnons tous nos anciens repaires, nos comptabilités romaines ou grecques ou autres, comptons comme le fait Dieu, base trois, et 22 signes.

J’écris ton nom. Israël par amour pour toi. Y S R A L.

Ayez de la finesse, la simplicité arrive, et vous serez 153 à comprendre.

Bonjour je continue vaillamment. C’est dommage que personne….

Et donc à part le fait que ce nombre deux semble commander toute la phrase, il peut être lu Reschit, tête. Deux têtes ?
Faut-il comprendre ceci avec l’intrication des mots feu et alliance avec cette notion de deux fondements ? Serait-ce cette alliance d’amour entre le Divin et l’étudiant de la Thorah essayant de comprendre ? Je ne suis pas loin d’interpréter ceci ainsi car nous ne pouvons découvrir Dieu que si nous immergeons en son sein, comme faire corps avec Lui. Jamais se projeter vers le texte avec tous nos sous-entendus, ne jamais tordre la parole à notre convenance, mais laisser s’exprimer Dieu en nous.
Nous avons traduit les lettres en nombre ordinaux comme je l’ai expliqué plus haut.
Et voici le résultat du début :2 20 1 21 10 22 / 2 20 1 / 1 12 ……
Nous sommes en certitude en numération base trois. Base trinitaire.
On traduit ceci en nombres base 10 . Nous avons 261738 / 261 / …..
Le nombre 26 apparaît en premier. C’est le nombre de Dieu.
YHWH = 26. Mais il y a une autre coïncidence qui peut et doit faire réfléchir. C’est que si nous coupons ces six premiers nombres en deux, soit 261 et 738, le total est égal à 999. Ce qui n’a pas de valeur en soi mais qui sur le plan mathématique signifie que ces six nombres se correspondent deux par deux.
Et donc la façon la plus simple de représenter ce constat c’est celle d’inscrire ces six nombres en circonférence d’un cercle, dans le bon ordre. Et là est inscrit le sceau de Salomon ! Appelé aussi Magen David. Je crois que si ce signe est connu depuis l’antiquité ce n’est qu'au 16°siècle que la communauté juive de Prague utilisera ce symbole.
Si je me trompes vous dites.
Je suis loin d’avoir terminer ! Le plus beau est à venir !